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Artmarket.com : Pak permet à des milliers de collectionneurs d’acheter une partie d’une oeuvre NFT dont le prix global atteint 91,8m USD
Acheter une œuvre à plusieurs est un très vieux rêve sur le Marché de l’Art. Mais comment pouvoir revendre ses parts quand on le souhaite ? Ce problème trouve enfin une solution avec les NFTs, selon Artprice.
L’artiste anonyme Pak a mis pendant 48 heures des « unités de masse » en vente sur Nifty Gateway. L’oeuvre finale, intitulée The Merge, est constituée de 266 445 « unités » qui peuvent être revendues séparément et instantanément sur la blockchain.
Invader – Rubik Mona Lisa (2005), vendue 520 000$ par Artcurial le 23 février 2020

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice : « La Blockchain et les NFTs permettent de concevoir des formes de titrisation enfin efficaces sur le Marché de l’Art. Les tokens non fongibles ouvrent une infinité de façons d’acquérir une partie d’oeuvre, comme l’a démontré Pak avec cette vente extraordinaire. Le Marché de l’Art est en train de vivre une révolution par ce changement de paradigme. »
28 000 collectionneurs
Désormais, l’inconnue n’est plus le prix de vente (fixé à l’avance) mais le nombre d’unités achetées. Aussi Pak et Nifty Gateway avaient-ils mis au point toute une stratégie pour dynamiser la demande pendant les 48h de la vente :
– prix initial de 299$ pour les fidèles collectionneurs de Pak et 400$ pour les nouveaux entrants
– prix incrémenté de 25$ toutes les six heures
– pour 10 unités achetées, une onzième est offerte ; pour 1 000 unités achetées, 300 sont offertes
– un classement continu des meilleurs acheteurs (sous pseudo)
– l’œuvre Alpha Mass offerte au plus grand acheteur
Au total, 266 445 « unités de masse » ont été achetées pour 91,8 m$ par 29 000 acheteurs différents. Cela fait un prix moyen de 316$ par unité et une moyenne de 9 unités acquises par acheteur. C’est, selon Artprice by Artmarket, une véritable communauté que l’artiste fédère ici pour créer une œuvre gigantesque et dématérialisée, dont chacun est libre de revendre ses parts à tout moment.
En règle générale, les œuvres d’art sont vendues aux enchères en tant que pièces uniques plutôt qu’en séries. La sculpture Rabbit, de 1986, a fait de Jeff Koons l’artiste vivant le plus cher en 2019 lorsqu’elle s’est vendue à 91,12 millions de dollars.
Une ou plusieurs œuvres ?
En avril 2021, Pak avait organisé avec Sotheby’s une vente intitulée « The Fungible Collection ». Trois jours durant, pendant 15 minutes seulement à chaque fois, n’importe qui pouvait acquérir des « cubes » a prix fixe :
– 1er jour : 19 737 cubes vendus à 500$ = 9 868 500$
– 2ème jour : 3 268 cubes vendus à 1 000$ = 3 268 000$
– 3ème jour : 593 cubes vendus à 1 500$ = 718 500$
Si les cubes se combinaient dans le portefeuille de chaque acheteur, les 23 598 cubes ne faisaient pas une œuvre totale : chacun possède son propre ensemble de cubes dont le prix d’achat moyen atteint 587$. De même, l’œuvre de Beeple The first 5,000 days, vendue chez Christie’s en mars 2021 pour 69,4m$, est théoriquement constituée de 5 000 œuvres à part entière, dont le prix moyen avoisine donc les 14 000$.
À titre de comparaison, la vente de la Maclowe Collection le 15 novembre 2021 chez Sotheby’s New York a récolté 676 m$ avec 35 œuvres, soit une valeur moyenne de 19,3 m$ par lot. La comparaison n’a pas beaucoup de sens, sinon de questionner l’homogénéité des œuvres et leur titrisation. Imaginez que vous ayez la possibilité d’acquérir pour 500$ une part de l’œuvre No. 7 de Mark Rothko, entrée dans la Macklowe Collection en 1987. Vous posséderiez un 165 000ème de la toile (vendue 82,5 m$).
Seulement la démarche de Pak est inverse, dans la mesure où l’œuvre The Merge n’existait pas encore à l’heure de la vente. Personne ne savait à quoi elle allait ressembler. C’est en achetant une part de cette inconnue que chaque collectionneur y contribue. Encouragé par un faible prix de départ mais aussi à acquérir le plus grand nombre d’unités pour recevoir une œuvre de récompense, The Merge est un jeu qui rassemble les passionnés de technologies, les adeptes de cryptomonnaies et de NFTs ainsi que les amateurs d’art de plus en plus fascinés par cet univers.
L’artiste se réjouit de redevenir le noyau central sur lequel s’articule l’ensemble Marché de l’Art.
Il peut ainsi faire entrer ses collectionneurs dans son univers/métavers, en créant une interactivité avec eux.
Selon Artmarket.com, les NFTs sont une véritable lame de fond qui a créé son écosystème, avec une économie vertueuse et une croissance exponentielle.
En effet, le chiffre d’affaires des NFTs d’art de cette année, arrêté au 09/12/2021, est de 26,9 milliards de dollars, associés au contrat ERC 721 et ERC 1155, qui sont des contrats intelligents Ethereum, associés au Marché de l’Art et aux collections (source Chainalysis).
Images : [https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/12/Invader-Joconde.jpg]
Copyright 1987-2021 thierry Ehrmann www.artprice.com – www.artmarket.com
Le département d’économétrie d’Artprice répond à toutes vos questions relatives aux statistiques et analyses personnalisées : econometrics@artprice.com
En savoir plus sur nos services avec l’artiste en démonstration gratuite :
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Artmarket.com : 3T 2021 croissance à double chiffre, un immense potentiel de CA pour la Marketplace NFT d’Artprice-nft.com par sa caution.
Chiffre d’affaires en K€ | 3T2021 | 3T2020 | Variation en % |
Internet | 1 721 | 1 696 | +1 |
Indices et autres prestations | 30 | 39 | -23 |
Total 3ème Trimestre | 1 751 | 1 735 | +1 |
Variation des produits constatés d’avance* | 226 | ||
Total CA 3ème trimestre | 1 977 | 1 735 | +14 |
(*) changement de méthode comptable pour l’enregistrement du Chiffre d’Affaires depuis le 30/06/2021 – Voir « Artmarket.com : Rapport financier S1 2021, les capitaux propres bondissent de +49% passant de 19,8 millions d’euros à 29,5 millions d’euros, RN à +78,50 % »
Chiffre d’affaires en K€ | 1S2021* | 1S2020 | Variation en % |
Internet | 3 432 | 3 310 | +4 |
Indices et autres prestations | 159 | 179 | -11 |
Total 1er Semestre | 3 591 | 3 489 | +3 |
Variation des produits constatés d’avance* | 232 | ||
TOTAL C.A. CONSOLIDÉ | 3 823 | 3489 | +10 |
(*) changement de méthode comptable pour l’enregistrement du Chiffre d’Affaires depuis le 30/06/2021 – Voir « Artmarket.com : Rapport financier S1 2021, les capitaux propres bondissent de +49% passant de 19,8 millions d’euros à 29,5 millions d’euros, RN à +78,50 % »
Événements futurs
Il est possible que la Marketplace NFT ® d’Artprice by Artmarket puisse réaliser dans le futur un chiffre d’affaires de plusieurs dizaines de millions d’euros, pour les raisons suivantes :
thierry Ehrmann, PDG d’Artmarket.com, Fondateur d’Artprice et du Groupe Serveur : « Depuis leur création en 1987, Artprice et Groupe Serveur (l’actionnaire de référence) possèdent une forte légitimité dans la connaissance de la cyberculture et celle du Marché de l’Art, en contribuant pleinement à leur essor par la validation de leur postulat initial, à savoir la dématérialisation et la transparence de ce Marché de l’Art historique. »

Le Metavers d’Artprice by Artmarket s’inscrit comme une destination immersive pour les collectionneurs et amateurs d’art numérique, avec une sélection rigoureuse de NFT et les cautions nécessaires pour établir cet écosystème, dans lequel Artprice et son actionnaire de référence Groupe Serveur sont présents en tant pionniers de l’Internet depuis 1987. Peu de groupes ont été cités dans le Time Magazine en tant que tels.
Depuis près d’un an, Artprice by Artmarket a reçu spontanément de nombreuses demandes de partenariats, de rapprochements, de participations ou fusions acquisitions pour le marché émergent et considérable des NFT (Non Fungible Token) qui est un objet de collection numérique stocké sur une blockchain.
Il ressort, de manière incontestable, que les opérateurs NFT sont chacun à la recherche d’une crédibilité et d’une logique de création de valeur propre au Marché de l’Art sur Internet et, bien sûr, trouver des artistes déjà identifiés par leurs performances ainsi que des acheteurs et des vendeurs ayant une crédibilité et des moyens financiers certains.
En synthèse, ils recherchent dans leurs demandes, à tout prix la caution légitime d’Artprice en tant que Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art avec ses 5,4 millions de membres et sa Marketplace créée en 2005 avec désormais plus de 72 000 œuvres en ligne en temps réel et 765 000 artistes. Pour les compétiteurs acharnés des NFT, Artprice by Artmarket est la garantie parfaite d’une réussite mondiale, leur donnant une avance incroyable sur leurs concurrents.
Afin de répondre aux besoins urgents et vitaux des compétiteurs des NFT ainsi que les acteurs du Marché de l’Art dans ce nouveau paradigme et comme annoncé lors des derniers communiqués financiers, Artprice by Artmarket.com, prépare sa plateforme NFT intégrant l’ensemble des process et services industriels avec des DNS et marques déjà déposés (artprice-nft.com, artmarket-nft.com, etc.)
Il est possible que la Place de Marché Normalisée ® d’Artprice puisse réaliser dans le futur un chiffre d’affaires de plusieurs dizaines de millions d’euros avec une capitalisation en adéquation avec celles des valeurs NFT cotées (exemple Crypto Blockchain industrie CBI), basée entre autres, sur les différents postes récurrents payables en devises physiques, tout au long de la chaîne des process industriels et services formant l’économie des NFT.
Nous assistons à une déferlante médiatique et une obsession de tous les grands acteurs du Marché de l’Art à incorporer, quel qu’en soit le prix, les NFT dans leur modèle économique, comme Christie’s ou Sotheby’s qui a annoncé sa plateforme NFT, Sotheby’s Metaverse le 14 octobre 2021.
Artprice by Artmarket, par ses différents départements spécialisés, a mené des audits et études très poussés et constate que le phénomène NFT est bien plus complexe qu’il ne paraît.
Il faut d’abord acquérir le savoir-faire de la Blockchain sur lequel Artprice travaille depuis plusieurs années, notamment par le label « Entreprise innovante » que lui a décerné à deux reprises la Banque Publique d’Investissement (BPI).
Bien sûr, il faut posséder ses propres salles blanches et l’ensemble des OS en mode propriétaire. Puis, il faut connaître parfaitement l’historique et le maniement des crypto-monnaies et le système Wallet pour éviter les pièges. Enfin, il faut effectuer un travail d’historien de l’Art pour diagnostiquer, à travers la cyber culture depuis les origines d’Internet, ce qui relève réellement du fine art numérique. Ces différents savoirs requièrent des compétences tant verticales qu’entrecroisées entre elles, que maîtrise parfaitement Artmarket.com.
Dans ses différents audits et recherches, Artprice by Artmarket a examiné les véritables centres de profits sur toute la chaîne des process et savoirs des NFT, à savoir l’analytique d’une plateforme avec les émetteurs primaires de NFT, les buy side et sell side de NFT du second marché et a bien évidemment identifié et validé quels étaient les différents postes de recettes récurrents ou soumis aux aléas du marché. Il est intéressant de voir que les postes récurrents et rémunérateurs sont principalement accessibles en dollars ou en euros.
Il apparaît très nettement que les principaux acteurs des NFT sont avant tout de grands acteurs des crypto-monnaies. Écarter cette filiation serait une erreur tragique pour la compréhension de cet écosystème que peu de gens maîtrisent réellement.
Artmarket.com a donc soigneusement examiné les principales ventes qui ont contribué à la légende des NFT et constate qu’elle retrouve les mêmes acteurs tant dans les crypto-monnaies que dans les NFT qui sont une porte de sortie de la crypto-monnaie par un actif non fongible. Cette grille de lecture est indispensable, car elle met en lumière les forces et faiblesse de ces jeunes acteurs de l’univers des crypto.
Et pour cause, la vente de la première œuvre digitale chez Christie’s a eu l’effet d’un véritable séisme en propulsant BEEPLE (alias Mike Winkelmann), inconnu aux profanes de l’art numérique, sur la troisième marche du podium des artistes vivants, après Jeff Koons et David Hockney. Après la vente record de Everydays: The first 5000 Days, un fichier numérique au format JPEG de cet artiste emporté au prix exorbitant de 69,3m$ le 11 mars 2021, l’art digital doit être considéré comme un courant créateur de grandes valeurs.
Le but de cet achat de Everydays: The first 5000 Days de 69,3m$ par deux hommes d’affaires indiens était donc de revendiquer l’égalité entre tous les pays du monde et de montrer qu’acheter de l’art n’était pas l’apanage des collectionneurs occidentaux. Cette égalité serait permise par l’émergence des cryptomonnaies, une posture logique de la part de ces deux hommes qui ont bâti leur fortune sur l’achat d’Ethereum, une des centaines de cryptomonnaies en circulation dans le monde.
Dans les audits et études d’Artprice by Artmarket sur le marché des NFT, il apparaît alors une somme importante de questions juridiques auxquelles quelques rares acteurs comme Artprice peuvent répondre.
Un exemple est donné en termes de droit de la propriété intellectuelle : tout le monde est d’accord pour considérer que les différentes cessions d’un NFT en tant qu’œuvre d’art enregistre de manière certaine les actes de propriété mais faut-il encore être certain du détenteur de droits (droit d’auteur, droits patrimoniaux, droit moral, droit de reproduction etc.) dans l’émission primaire du NFT. Artprice, par sa caution et son expertise, peut répondre à ce vide en créant ainsi la passerelle obligatoire entre le NFT et le Marché de l’Art physique.
À l’Adagp où Artprice by Artmarket est un des principaux contributeurs financiers (société des Auteurs Dans les Arts Graphiques et Plastiques) : « On est attentif aux NFT tout en gardant la tête froide. Il est nécessaire de sécuriser juridiquement le lien entre le NFT et l’artiste et ses ayants droit, de structurer les pratiques et de prévoir des tiers de confiance », recommande son directeur juridique Thierry Maillard. Ses propos abondent dans le sens d’Artprice.
De même, l’émission d’un NFT primaire doit manifestement répondre aux dispositions du Code Monétaire et Financier (actifs numériques en droit français ou en droit européen des crypto-actifs) selon Blanche Sousi, Professeure émérite de l’Université Lyon 3. Titulaire de la Chaire Jean Monnet en Droit bancaire et monétaire européen et Directeur honoraire de l’Institut de droit et d’économie des affaires (cf : Institut Art et Droit dont Artprice est un membre historique).
Concernant enfin la naissance d’un nouveau mouvement, nous pouvons faire sienne de l’analyse de l’historien Michael Maizels qui a déclaré : « I am an art historian who has carried out extensive research on the evolution of the market for “recent art.” And I can tell you that something generational is now happening with NFTs. » Dont voici la traduction française : « Je suis un historien de l’art qui a mené des recherches approfondies sur l’évolution du marché de « l’art récent ». Et je peux vous dire qu’il se passe quelque chose de générationnel avec les NFT. »
À ce stade, il faut une solide connaissance de la cyber-culture et de son interaction sur le Marché de l’Art depuis désormais près de 40 ans, pour là aussi définir l’émergence de nouveaux artistes contemporains dont les œuvres NFT parlent à de nouveaux collectionneurs.
Tout l’enjeu, à travers ce déluge médiatique et élogieux, est d’identifier et posséder ces différents savoirs qui ne s’acquièrent qu’avec le temps, puis détenir sa propre Marketplace NFT pour s’accaparer les produits récurrents et fortement rémunérateurs, en monnaie physique (Euro / Dollar) afin de se couvrir d’un risque de change propre aux crypto-monnaies et d’une fiscalité en cours de qualification.
La clientèle mondiale d’Artprice est donc prête à franchir le cap à partir du moment où elle se sent sécurisée dans sa transaction, au même titre que les artistes référencés par Artprice pour la création de leur NFT sur le marché primaire de l’émission.
De même, il ressort que tous les gros opérateurs éprouvent le besoin impératif d’appuyer leur crédibilité sur des données macro et microéconomiques avec une analyse pointue du marché que seule Artprice by Artmarket peut leur amener par sa position de Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art depuis près de 25 ans par ses rapports, ses indices, graphiques et data qui sont utilisés par plus de 7 200 médias de presse écrite et numérique.
La confiance dans les NFT ne peut venir que par un acteur maîtrisant naturellement l’économie du Marché de l’Art et son évolution exponentielle depuis 2000 (+2 700 % pour l’Art Contemporain).
L’objectif final d’Artprice by Artmarket est de considérer qu’il s’agit indiscutablement d’un changement de paradigme mais que seuls quelques rares acteurs pourront proposer l’intégration de toute la chaîne industrielle des process et services avec les bons environnements juridiques, la véritable analyse économique et financière et bien sûr, la pédagogie client, élément indispensable pour créer la confiance dans ce Métavers, future version d’Internet initiée par la vision de Neal Stephenson en 1992 dans l’univers cyberpunk post apo du Samouraï virtuel.
Artprice by Artmarket saura mettre en lumière les véritables protagonistes de la cyber culture qui bien avant tout le monde étaient immergés dans le monde digital. Artprice et Groupe Serveur, son actionnaire de référence, ont vu naître dès 1987 ce nouveau monde.
Pour information, le siège social d’Artprice by Artmarket est le Musée d’Art Contemporain L’Organe, mondialement connu, gérant la Demeure du Chaos/ Abode of Chaos dixit the NYT, qui est cité dans les ouvrages d’histoire de l’art comme une des références majeures de l’univers cyberpunk post apo (plus de 3600 reportages internationaux en 22 ans). Le Musée d’Art Contemporain La Demeure du Chaos/Abode of Chaos sera lui-même émetteur de milliers de NFT par son auteur unique qui est thierry Ehrmann, sculpteur plasticien, Fondateur d’Artprice et du Groupe Serveur (lien biographie Who’s Who in France : Biographie_nov2020_WhosWho_thierryEhrmann.pdf)
Ce changement de paradigme demande un véritable engagement de plusieurs dizaines d’années pour pouvoir définir les instances de légitimation et la définition de la valeur cognitive de l’œuvre d’art numérique. À ce niveau, Artprice by Artmarket et quelques rares acteurs peuvent répondre à un tel engagement.
Artprice by Artmarket va sélectionner ses artistes et œuvres NFT de sa Place de Marché pour transmettre sa vision de l’art digital.
Selon l’étude d’Artprice by Artmarket, les plateformes NFT les plus prisées par les artistes sont OpenSea, SuperRare, Nifty Gateway, Rarible, Known Origin, Hic et Nunc (la moins énergivore).
Pour rappel : « (AFP) 2021 Les enchères d’art contemporain dopées par les NFT (rapport Artprice)
Les ventes en ligne font désormais pleinement partie de la stratégie des Maisons de Ventes. Christie’s, Sotheby’s et Phillips ont dématérialisé un peu plus de la moitié de leurs opérations. Il en est de même sur l’ensemble des Maisons de Ventes mondiales avec 41 % de ventes en ligne pour 2021. Un nouveau pas est franchi avec l’arrivée tonitruante des NFT.
Les ventes aux enchères d’art contemporain ont atteint un niveau historique de 2,7 milliards de dollars sur l’exercice 2020-2021, dopées par les NFT et les ventes aux enchères en ligne, selon le rapport annuel de la société Artprice, publié lundi. »
Pour Artmarket.com, toutes les options sont sur la table y compris l’autre hypothèse, à savoir un partenariat immédiat avec une plateforme majeure de NFT. Ce serait dans ce cas un gain de temps et donc un gain financier immédiat, par l’économie d’échelle avec pour conséquence du résultat net instantané qui viendrait s’ajouter à un bilan très nettement bénéficiaire et, de ce fait, serait un relais de croissance significatif.
La Marketplace NFT d’Artprice by Artmarket ® bénéficie notamment des DNS génériques « Artmarket.com, Artmarket.net, Artmarket.org » qui captent naturellement les recherches sur le Marché de l’Art, la langue anglaise étant la langue du Marché de l’Art. Sur la requête « art market », il apparaît que les 12 premiers résultats naturels non sponsorisés sur 3,33 milliards de résultats sur Google.com pointent sur les banques de données d’Artprice by Artmarket.
Enfin, il est essentiel de rappeler que la Marketplace d’Artprice by Artmarket bénéficiera avec Artprice et Cision® (PR Newswire), de la première agence de presse dédiée à l’information sur le Marché de l’Art : Artpress agency ®, qui est l’agence de presse, née en 1999 et détenue à 100 % par Artprice, Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art.
Depuis 120 ans, Cision PR Newswire a bâti peu à peu un réseau mondial de diffusion d’informations, reconnu par plus de 100 000 clients notoirement connus sur les marchés financiers. Cision est le Leader mondial du logiciel de RP & Influence et de la recherche média.
Avec sa base de données de 1,6 million de journalistes et de médias, Cision diffuse pour Artprice by Artmarket, sur l’ensemble des 5 continents sans aucune exception, une information qualitative, sur une cible de 450 millions de contacts les informations quotidiennes de ses agences de presse Artpress Agency et Artmarket Insight® dans la langue native de chaque pays.
L’accord est le résultat direct d’une longue relation qui s’étend sur deux décennies entre Artprice et Cision, deux leaders puissants sur leur marché respectif
Image : [https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/11/NFT-bill.jpg]
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Artmarket.com: as the health crisis recedes, the FIAC keeps one foot in the virtual world while promoting the Parisian marketplace, the world’s fourth most dynamic in Artprice’s latest report
This year, the FIAC (Paris’s International Contemporary Art Fair) is taking place in the Grand-Palais Ephémère at the opposite end of the Champs-de-Mars park from the Eiffel Tower and is hosting 170 of the world’s most prestigious galleries until Sunday 24 October. But Jennifer Flay, the fair’s Artistic Director, has not forgotten the crisis which forced the cancellation of the 2020 edition and called into question much of the way our society (and the art market) functions. She has therefore decided to maintain an online version.
Breakdown of fin e art auction turnover by medium in H1 2021

Robert Delaunay, La Tour Eiffel (1928)

According to thierry Ehrmann, CEO and Founder of Artmarket.com and of its Artprice department: “The FIAC online may not be the main event, but this version (which has 40 additional galleries) reflects a profound change in the art world, with the coexistence of two m arkets: the physical one with the FIAC (and its extra-mural shows/installations including a majestic sculpture by Alexander Calder in Place Vendôme) , and the other, fully online, that everyone can visit from their homes on fiac.viewingrooms.com”.
The art market is not just about NFTs…
For the last six months the art world has been super-excited about blockchain, a technology that made a sensational entry to the auction world in March 2021 with the sale of Beeple’s NFT Everydays for $69.4 million at Christie’s New York. This was followed by Pak’s NFTs at Sotheby’s and Mad Dog Jones’s NFTs at Phillips, all of which prompted massive media commentary and substantially rocked the notion of what artistic creation is and how it circulates in the early 21st century.
In its H1 2021 Art Market Report (https://www.artprice.com/artprice-reports/the-contemporary-art-market-report-2021) Artprice nevertheless point outs that public sales of NFTs only accounted for 2% of global fine art auction turnover, a niche market, divided between New York (90%) and Hong Kong (9%) and represented less than 100 lots in total during the first six months of 2021.
The traditional market for painting therefore remained 35 times larger than that of NFTs. However, in just six months of existence, the latter is already twice as prosperous as the market for photographic art works, which saw 10,000 lots sold, but only generated $66 million (half the NFT market over the same period).
Paris: cautious but not backseat
Like every autumn, the French capital hosts an extraordinary range of exhibitions, covering almost the entire history of art: from Botticelli at the Jaquemart-André Museum to Georg Baselitz and Georgia O’Keeffe at the Pompidou Center, through to the Morozov Collection at the Louis Vuitton Foundation and the newly-opened Pinault Collection at the Bourse de Commerce.
At the same time, Almine Rech and Galerie Perrotin are presenting the work of one of the most talented representatives of current French artistic creation, Claire Tabouret. Two other galleries, Lévy Gorvy and Nathalie Obadia, are showing work by the African-American artist Mickalene Thomas.
Top 3 living French artists by auction turnover (H1 2021)
1 – Pierre Soulages (1919): $30,680,000
2 – Claire Tabouret (1981): $3,011,000
3 – Robert Combas (1957): $2,820 000
Paris wants to be eclectic and forward-looking as reflected in the award this year of the Marcel Duchamp Prize (which Artprice is very proud to support) to Lili Reynaud Dewar. Meanwhile, the 4th International Digital Arts Biennial is currently taking place at Centquatre-Paris.
Still behind London
The Parisian art market hopes to benefit from Brexit and a number of prominent galleries like Lévy Gorvy and David Zwirner have opened Parisian outlets in anticipation of a certain isolation of the UK market and Larry Gagosian is inaugurating a third space in the French capital. But since the UK’s official exit from the EU, the balance between the two capitals has not changed that much.
During Frieze Week high-quality works by Basquiat, Richter and Hockney were successfully auctioned in London bringing a measure of reassurance to the local market. And the reappearance of Banksy’s Girl with Balloon, re-baptized Love is in the bin (the one that partially self-destructed in 2018 after selling for $1.4 million) generated a spectacular ‘event’, and a very spectacular result at $25.4 million.
In Paris, no lot offered by Christie’s or Sotheby’s is expected to reach such heights during the FIAC, despite the sale of some excellent Avant-Garde pieces by Magritte, Manet and Picabia, among others… So while the galleries show the best Contemporary creations at FIAC and in their respective outlets, the auction houses continue reminding us that Paris was long the artistic capital of the world…
Images: [https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/10/image1-artmarket-artprice_categories-NFT.jpg]
[https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/10/image2-Robert-DELAUNAY-La-Tour-Eiffel.jpeg]
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Artmarket.com : La FIAC se dédouble avec une édition dans le monde virtuel post-Covid tout en faisant briller la place de marché parisienne, classée 4ème dans le rapport Artprice
La Foire Internationale d’Art Contemporain prend ses quartiers au bout du Champs-de-Mars, à quelques centaines de mètres de la Tour Eiffel : 170 galeries, parmi les plus prestigieuses au monde, sont rassemblées dans le Grand-Palais Ephémère jusqu’au dimanche 24 octobre. Mais la directrice artistique de la foire, Jennifer Flay, n’oublie pas la crise qui a forcé l’annulation de l’édition 2020 et remis en question une bonne partie du fonctionnement de notre société. Elle a donc décidé de maintenir une version online.
Répartition des ventes aux enchères par catégorie au S1 2021

Robert Delaunay, La Tour Eiffel (1928)

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice : « La FIAC online n’est peut-être pas l’événement principal, mais cette version (qui compte 40 galeries supplémentaires) atteste d’un profond changement dans le monde de l’art, avec la coexistence de deux Marchés : l’un physique représenté par la FIAC et la FIAC hors les murs (dont une majestueuse sculpture de Calder installée Place Vendôme) ; l’autre entièrement dématérialisé, que chacun peu visiter de chez lui sur fiac.viewingrooms.com ».
Parce qu’il n’y a pas que les NFT dans la vie
Depuis six mois, le monde de l’art se passionne pour la blockchain : cette technologie qui a fait une entrée fracassante aux enchères en mars 2021 avec la vente d’une œuvre numérique de Beeple, pour 69,4 m$ chez Christie’s New York. La vente de ce NFT, suivie par celle de Pak chez Sotheby’s et de Mad Dog Jones chez Phillips, a fait couler énormément d’encre, reposant la question de ce qu’est la création artistique et comment celle-ci circule au début du 21ème siècle.
Dans son rapport du Marché de l’Art au 1er semestre 2021, (https://fr.artprice.com/artprice-reports/le-marche-de-lart-contemporain-2021) Artprice tient tout de même à préciser que les ventes aux enchères publiques de NFT ne pèsent encore que 2 % du produit de ventes mondial. Un marché de niche, réparti entre New York (90%) et Hong Kong (9%), et qui compte moins d’une centaine de lots au total au S1 2021.
Le marché de la peinture traditionnelle reste donc 35 fois plus important que celui des NFT. Cependant, en six mois d’existence, ce dernier est déjà deux fois plus faste que le marché de la photographie, qui compte 10 000 lots vendus mais pour seulement 66 m$ (deux fois moins que le produit de ventes des NFT sur la même période).
Paris capitale prudente mais non pas attentiste
Comme chaque automne, la capitale française accueille la plus incroyable palette d’expositions, couvrant à peu près toute l’Histoire de l’Art : de Botticelli au Musée Jaquemart-André à Georg Baselitz et Georgia O’Keeffe au Centre Pompidou, en passant par la Collection Morozov à la Fondation Louis Vuitton et l’ouverture de la Collection Pinault à la Bourse de Commerce.
Au même moment, Almine Rech et la Galerie Perrotin présentent le travail d’une des plus talentueuses représentantes de la création artistique française actuelle, Claire Tabouret. Deux autres galeries, Lévy Gorvy et Nathalie Obadia présentent quant à elles le travail de l’artiste afro-américaine Mickalene Thomas.
Top 3 des artistes français vivants par produit de ventes aux enchères (S1 2021)
1 – Pierre Soulages (1919) : 30 680 000 $
2 – Claire Tabouret (1981) : 3 011 000 $
3 – Robert Combas (1957) : 2 820 000 $
Paris se veut éclectique et résolument tournée vers l’avenir, comme en témoigne le Prix Marcel Duchamp que la société Artprice est très fière de soutenir, décerné cette année à Lili Reynaud Dewar. Enfin, la 4ème Biennale Internationale d’Arts Numériques se déroule en ce moment même au Centquatre-Paris.
Toujours après Londres
La capitale française espère pouvoir tirer profit du Brexit sur le Marché de l’Art. De proéminents galeristes, à l’instar de Lévy Gorvy et de David Zwirner, ont ouvert un espace parisien pour anticiper l’isolement du marché britannique. Larry Gagosian inaugure quant à lui un 3ème espace dans la capitale française. Mais depuis la sortie officielle du Royaume-Uni de l’UE, la rivalité entre les deux capitales n’a pas tellement évolué.
Durant la Frieze Week, de très belles pièces signées Basquiat, Richter, Hockney ont été adjugées à Londres. De quoi rassurer en partie le marché local. L’événement a même été créé avec la réapparition de l’oeuvre Girl with Balloon de Banksy, celle-là même qui s’était autodétruite en 2018 après avoir été vendue 1,4 m$. Trois ans plus tard, l’oeuvre a changé de titre (Love is in the bin) mais aussi de prix : 25,4 m$.
A Paris, aucun lot proposé par Chirstie’s ou Sotheby’s ne devrait atteindre de tels sommets pendant la FIAC. Pourtant de très belles pièces de l’Avant-Garde seront mise en vente dans les salles parisiennes : Magritte, Manet, Picabia, … Ainsi pendant que les galeries montrent le meilleur de la création contemporaine à la FIAC et dans leurs espaces respectifs, les maisons de ventes continuent de rappeler que Paris a longtemps été la capitale artistique du monde.
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Le département d’économétrie d’Artprice répond à toutes vos questions relatives aux statistiques et analyses personnalisées : econometrics@artprice.com
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Artmarket.com : Rapport financier S1 2021, les capitaux propres bondissent de +49% passant de 19,8 millions d’euros à 29,5 millions d’euros, RN à +78,50 %
Comme annoncé lors de la publication détaillée du 09 Août 2021 : https://www.actusnews.com/fr/artmarket/cp/2021/08/09/artmarket_com-2t-2021-en-croissance-a-double-chiffre-reevaluation-du-fonds-documentaire-d_artprice-augmentation-tarifaire-des
Artmarket.com indique ce jour au marché un bond de 48,81% de ses fonds propres qui passent de 19 819 000 € à 29 493 000 €, sous l’effet de la réévaluation du fonds documentaire d’Artprice by Artmarket, dans les conditions légales des articles 123-18 du Code de Commerce, de la norme IAS 16 et de l’article 31 (V) de la loi 20201721 du 29 décembre 2020 codifié à l’article 238 bis JB du Code Général des Impôts, avec une demande de rescrit fiscal déposée à Bercy.
Artmarket.com précise par ailleurs à ses actionnaires que cette augmentation de 49 % de ses capitaux propres n’entraîne pas d’émission de nouvelles actions et constitue un renforcement de ses capitaux propres.
Le rapport financier semestriel 2021 d’Artmarket.com est disponible sur les sites d’Actusnews et d’Artprice by Artmarket aux adresses suivantes :
Le résultat net du premier semestre clos au 30 juin 2021 se solde par un bénéfice de 523 K€ contre un bénéfice de 293 K€ au 30 juin 2020. Le résultat d’Artmarket.com est donc très nettement bénéficiaire avec une progression de 78,50 %.
Malgré la crise mondiale du Covid-19, Artmarket.com atteint au premier semestre 2021 son record de chiffre d’affaires Internet depuis sa création en 1997 avec 3 823 K€, soit une progression de +10% par rapport au 1S2020 (3 489 K€), pour la partie abonnements aux banques de données Artprice, et ce en dépit de la crise sanitaire mondiale qui a éprouvé un grand nombre de business models et de secteurs économiques.
Cela se confirme par les connexions Internet gratuites ou payantes d’Artprice by Artmarket qui ont progressé au 1S2021 de 270 %, aidé en cela par l’Internet mobile pour la même période qui constitue plus de 92% des requêtes d’Artmarket.
Pour information, à compter du 1er janvier 2018, la norme IFRS15, remplaçant les anciennes normes de constatation et de rattachement du chiffre d’affaires lié à la clientèle des sociétés cotées sur le marché réglementé, est entrée en vigueur. À cette occasion, des questions se sont posées sur le fait de savoir si cette entrée en vigueur concernait l’enregistrement annuel du chiffre d’affaires de la société Artmarket.com.
Eu égard à la complexité de la norme, après plusieurs mois de réflexions et d’études, la société a été amenée à mettre en œuvre cette évolution réglementaire et en tirer les conséquences sur les présentations des comptes de la société. Cette mise en œuvre vise pour la première fois les comptes du premier semestre 2021.
Il est précisé que cette évolution réglementaire qui s’impose désormais à la société ne change strictement en rien les conditions juridiques et techniques des contrats liant la société à sa clientèle.
En particulier, restent inchangées les caractéristiques des produits et services, les obligations en résultant et le cadre juridique global que sont les garanties, les conditions générales de ventes et d’utilisation, les périodes couvertes par les contrats, les modes de règlement des produits et services, etc. De même, la trésorerie de l’entreprise et son modèle économique basés sur un BFR négatif demeurent exactement les mêmes, avec la nouvelle norme IFRS15.
La très saine gestion d’Artmarket.com permet désormais d’abaisser le point mort à un niveau remarquable. Artmarket, au fil des années, a mis en place l’ensemble des process industriels permettant de limiter l’effectif à une moyenne de 49 personnes pour un groupe où l’intégralité des charges en 2021, avec Artprice Images®, demeure inchangée jusqu’à désormais 90 M€ de C.A.
Artmarket n’a aucun emprunt obligataire et une absence de dette bancaire. Elle n’a jamais fait l’objet d’augmentation de capital, à la stricte exception des opérations antérieures de levées d’options réservées à ses salariés. Ceci résulte d’une volonté affichée du Conseil d’administration d’Artmarket.com et de son PDG Fondateur thierry Ehrmann de ne pas diluer ses actionnaires, ni d’affaiblir le cours de l’action.
Artprice by Artmarket possède de plus, le label étatique « Entreprise Innovante » décerné par la B.P.I. Par conséquent, Artmarket consacre chaque année 80 % de ses ressources à sa R&D et à la création de valeur par ses nouvelles banques de données. Son fondateur et PDG thierry Ehrmann, à travers le Groupe Serveur, reste bien sûr de très loin le premier actionnaire, un critère fondamental selon Warren Buffet et de nombreux fonds de gestion européens.
Depuis l’origine en 1997, Artprice by Artmarket anticipe la dématérialisation du Marché de l’Art. Cette dématérialisation est désormais la seule issue pour les acteurs influents du Marché de l’Art que sont les Maisons de Ventes, galeries, Experts, musées, foires et salons, etc. Il n’y aura pas de retour en arrière.
En témoigne notamment l’article de FranceTvInfo.fr au titre explicite : « Coronavirus : les ventes aux enchères en ligne explosent ». Ce changement de paradigme, accéléré par la crise du Covid-19, fait exploser les ventes de biens matériels et immatériels sur Internet. De plus, selon Marc Lolivier, Délégué Général de la Fevad : « La crise a fait gagner 4 ans au développement de l’e-commerce » dans Les Echos.
Les grandes Maisons de Ventes, notamment Sotheby’s, affirment qu’elles vont atteindre, au cours de l’année 2021, leur objectif de 2025 en matière de dématérialisation sur Internet.
Le passage des enchères via Internet et le temps passé à domicile en très nette augmentation font que les internautes ont besoin de données fiables et indépendantes, celles d’Artprice by Artmarket, pour participer aux enchères en toute sécurité, que ce soit en tant que vendeur ou acheteur, et s’informer sur le Marché de l’Art. La fréquentation des banques de données d’Artprice by Artmarket, en très nette hausse, est un bon marqueur.
Artprice by Artmarket enregistre le plus grand nombre d’adjudications de l’histoire des enchères, en hausse de +10,5 % par rapport au S1 2019, qui avait déjà établi un record historique.
Au 1er semestre 2021, le Marché de l’Art a donc retrouvé toute son intensité en salles de ventes. Les foires, qui reprendront en octobre, devront toutefois composer avec un nouveau Marché. L’arrivée fracassante des NFT et des prix étourdissants pour les œuvres de très jeunes artistes en vogue attestent d’un profond désir de bousculer l’ordre établi. Les collectionneurs se montrent pressés d’investir sur un Marché de l’Art 2.0. De nombreux artistes ont eux-mêmes le désir de tirer parti de la transformation numérique du Marché de l’Art. Enfin, les Maisons de Ventes veulent désormais jouer le jeu de la disruption.
Les ventes en ligne font désormais pleinement partie de la stratégie des Maisons de Ventes. En ce début d’année, les géantes anglo-saxonnes Christie’s, Sotheby’s et Phillips ont dématérialisé un peu plus de la moitié de leurs opérations. Il en est de même sur l’ensemble des Maisons de Ventes mondiales avec 41 % de ventes en ligne pour 2021.
À ce titre, Artprice by Artmarket a publié ses indicateurs témoignant de la bonne santé du Marché de l’Art (S1 2000 – S1 2021) : produit de ventes, adjudications, taux d’invendus et prix record (au 1er semestre).
Activités et événements importants survenus au cours du 1S2021 :
Pour rappel, Artmarket.com précise ce jour au marché un bond de +48,81% de ses fonds propres qui passent de 19 819 000 € à 29 493 000 €, sous l’effet de la réévaluation du fonds documentaire d’Artprice by Artmarket.
En effet, suite au communiqué du 22 février 2021 intitulé « Artmarket.com : Le fonds documentaire d’Artprice est l’alternative mondiale à la fermeture des archives de Christie’s Londres pour les professionnels de l’art », à celui du T1 2021 diffusé au mois de mai 2021 ainsi que celui du T2 2021 le 09 août 2021, Artprice by Artmarket a régulièrement informé le marché sur sa prise de conscience relative à l’importance d’exploiter son fonds physique de catalogues papier de ventes aux enchères d’œuvres d’art.
« Les catalogues de ventes, dont les premiers remontent à 1766, sont une ressource inestimable pour les spécialistes. Face à cette décision de fermeture, ils ont exprimé leur colère et leur incompréhension. » lisait-on le 22 Févier 2021 dans Le Figaro et comme rapporté par The Art Newspaper.
Avec cette somme d’archives uniques au monde appelée « la Collection Artprice », remontant au plus tôt jusqu’en 1766, Artprice by Artmarket confirme et consolide sa place de Leader mondial de l’Information sur le Marché de l’Art. Cet avantage concurrentiel décisif se traduira par le rajout de nouveaux services payants basés sur le fonds de catalogues de ventes et manuscrits physiques depuis 1700 à nos jours détenus par Artprice by Artmarket.
L’incapacité désormais pour un concurrent de reconstituer une collection identique confère à Artmarket.com un avantage définitif et une barrière d’entrée quasiment infranchissable.
Plus que jamais en 2021, l’original papier, reste désormais, face aux cyberattaques, la seule preuve juridique, judiciaire et historique, incontestable et opposable aux tiers. Ce n’est pas pour rien que les grands groupes mondiaux investissent des sommes colossales pour leurs fonds documentaires qui représentent leur cœur de métier.
Artmarket.com fournira un service exclusif générant de nouveaux revenus consistant à procéder à des recherches certifiées sur la traçabilité des œuvres d’Art, à travers les centaines de milliers de catalogues de ventes et notes manuscrites depuis 1700.
Artprice répond ainsi à des besoins croissants venant des études notariales pour les successions, pour les collectionneurs, les musées, les professionnels, les marchands d’Art, les assureurs, les avocats (pour la recherche des biens spoliés par exemple pendant la Seconde Guerre mondiale), qui désireront valoriser au mieux les œuvres détenues en connaissant très exactement leur parcours et leurs origines dans les méandres des ventes aux enchères.
Seuls les experts, professionnels et institutionnels accrédités par Artmarket.com seront autorisés à entreprendre physiquement des recherches au sein même des multiples salles d’archives sécurisées bâties au fil des décennies sur plusieurs plateformes sécurisées et bâtiments.
Ce service unique au monde va permettre de faire émerger, au sein du groupe Artmarket, une nouvelle source d’activité s’appuyant sur un fonds documentaire corporel d’une très haute valeur financière révélant par ailleurs de nouvelles ressources incorporelles de dimension historique à exploiter.
Il s’agit effectivement du plus grand fonds mondial de catalogues de ventes papier et manuscrits, avec en plus le document ou manuscrit original de la Maison de Ventes ou étude certifiant le résultat de la vente.
Le catalogue de vente (papier) est une source fondamentale pour l’histoire de l’art. Les renseignements qu’il délivre sont essentiels pour retracer l’histoire des œuvres et des collections mais aussi pour comprendre et étudier la structure du Marché de l’Art, ou encore pour appréhender le goût d’une époque.
La valeur documentaire des catalogues de vente (papier) est incontestable et ils sont devenus des instruments de recherche indispensables.
Le catalogue de vente (papier) présente toute information utile sur les biens vendus et les conditions de leur vente. Il engage la responsabilité de l’opérateur (Maison de Ventes, commissaire-priseur judiciaire, maître d’enchères, auctioneer, expert, plateforme d’enchères numériques agréée …). Voir la définition officielle et juridique des catalogues de vente par l’institut National d’Histoire de l’Art (INHA) :
https://www.inha.fr/fr/bibliotheque/collections/le-catalogue-de-vente.html
La description des objets est sincère et précise. Elle informe sur l’état réel et visible du bien. Lorsque la valeur de l’objet le justifie, il est recommandé d’établir un rapport d’état («condition report») qui signale tout défaut visible, manque, altération, accident, ajout, restauration et modification apportés aux biens.
Il faut préciser que le catalogue de vente papier a une singularité unique en son genre qui n’existe pas dans l’édition. Son tirage mondial, pour les plus grandes Maisons de Ventes n’excède pas les 5 000 à 10 000 exemplaires au maximum. Le catalogue de vente papier, pour des raisons juridiques, contractuelles et coutumières, ne peut pas être réédité, ce qui explique sa forte valeur marchande.
De plus, Artprice by Artmarket possède pour la plupart des catalogues de ventes papier originaux la lettre officielle de la Maison de Ventes avec les résultats d’adjudications. Ce document est une pièce juridique, historique et économique extrêmement rare, comportant une multitude de mentions, au-delà de celle du prix d’adjudication. Figurent au premier rang : les œuvres invendues, suivies des droits de préemption, des droits de repentir et droits de retrait, interventions des ayants droit, avis à tiers détenteurs, interdiction de sortie du territoire etc …) et, pour les plus anciens, le nom de l’acheteur et du vendeur.
Dans le passé, avant 1960, le tirage mondial du catalogue de vente papier n’excédait jamais ou que rarement quelques centaines d’exemplaires.
De 1840 à 1930, pour séduire les grands collectionneurs, les catalogues anciens étaient constitués de lithographies originales parfois signées par la main de l’artiste.
Autres Perspectives 2021 / 2022 :
– Nouveauté : Artprice prépare sa plateforme NFT, artprice-nft.com, artmarket-nft.com, qui pourra répondre à la demande des 763 000 artistes référencés dans les banques de données Artprice by Artmarket et de l’ensemble des professionnels du Marché de l’Art. Les NFT sont la preuve de la dématérialisation du Marché de l’Art que certains voulaient ne pas croire possible.
– La Place de Marché Normalisée ® aux enchères et à prix fixe d’Artprice by Artmarket est appelée à sortir de la législation européenne.
Les grandes Maisons de Ventes, notamment Sotheby’s, affirment qu’elles vont atteindre, au cours de l’année 2021, leur objectif de 2025 en matière de dématérialisation sur Internet.
Artprice by Artmarket est à la base de la normalisation du Marché de l’Art et donc de sa dématérialisation à travers sa Place de Marché Normalisée® aux enchères et à prix fixe.
Cette normalisation, initiée depuis 2001 par le rachat de Xylogic Suisse (SSII spécialisée dans la transformation numérique, forte d’un portefeuille de grandes Maisons de Ventes internationales), fait l’objet d’une protection intellectuelle sur l’ensemble des pays où le Marché de l’Art opère.
Le nombre d’annonces en ligne de la Place de Marché Normalisée® d’Artprice by Artmarket est en forte croissance. Plus de 72 000 œuvres (avec un prix moyen de 8000 euros) sont en ligne : https://www.artprice.com/marketplace?p=1&sort=price_sorted_eur-desc
La Place de Marché Normalisée® bénéficie notamment des DNS génériques « Artmarket.com, Artmarket.net, Artmarket.org » qui captent naturellement les recherches sur le Marché de l’Art, la langue anglaise étant la langue du Marché de l’Art. Sur la requête « art market », il apparaît que les 12 premiers résultats naturels non sponsorisés sur 3,33 milliards de résultats sur Google.com pointent sur les banques de données d’Artprice by Artmarket.
Plus que jamais, en 2021, dans un Marché de l’Art dématérialisé, la règle d’or pour le commerce en ligne est la confiance. Dans le cadre du Marché de l’Art, Artprice by Artmarket.com est l’unique référent mondial depuis plus de 23 ans.
Pour information, l’Art présente une alternative de placement de plus en plus recherchée, notamment par les taux nuls ou proches de zéro qui laminent l’épargne.
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Artprice by ArtMarket présente le Top 25 des street artists : le succès de Banksy n’est pas une anomalie du Marché
Avec un nouveau record à 12,2 m$ au début du mois d’octobre, le street artist Banksy fait figure d’exception sur le Marché de l’Art. Il ne faut pourtant pas oublier qu’en avril 2019, Kaws – un autre artiste issu de la scène graffiti – a enregistré un record à 14,8 m$ à Hong Kong. Et que dire de Jean-Michel Basquiat ou de Keith Haring ?
Le street art n’est plus un art anonyme : qui n’a jamais entendu parler de Sherpard Fairey (Obey) ou d’Invaders ? Qui ne connais pas le petit bonhomme de Stik ? Du Mur de Berlin à Wynwood Miami, le street art n’est plus seulement toléré par les autorités locales, il est devenu une vitrine et même un ‘must-see’ touristique. Pour le Marché de l’Art, il est une pépinière extraordinaire.
thierry Ehrmann, président et fondateur d’ArtMarket.com et de son département Artprice : « Longtemps considéré comme une pratique illégale, le street art est devenu le comble du luxe, que collectionnent même les stars : Brad Pitt, Pharrell Williams, Leonardo DiCaprio. Basquiat parait-il repeignait parfois les murs des appartements de ses amis. Qui s’en plaindrait aujourd’hui ? Il est dans la nature de l’homme – et surtout des autorités politiques – de s’insurger d’abord, et puis seulement de regarder et d’écouter les amateurs ainsi que les professionnels. Le Marché de l’Art a ainsi toujours une longue avance sur la reconnaissance publique. Une situation que vit La Demeure du Chaos, musée d’art contemporain gratuit et siège social d’ArtMarket.com, que dépeint Julien Bouisset dans son dernier article paru dans L’OBS : La Demeure du Chaos, prototype du musée de demain ».
Lire l’article : https://www.nouvelobs.com/2049/20191022.OBS20117/la-demeure-du-chaos-prototype-du-musee-de-demain.html
Regarder la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=29LXBPJrs-o&feature=youtu.be
Produit des ventes aux enchères annuel (gauche)
Kaws – Untitled (SM1) (2000) – $176,500, SBI art auction Tokyo, 3 Nov. 2018 (droite)
© Kaws
Dans « Le street art au carrefour des droits », numéro 75 du Journal spécial des Sociétés, Françoise Labarthe explique : « Aujourd’hui, le street art ou art urbain n’est plus uniquement lié à son emplacement physique. Il est devenu une catégorie, une façon de s’exprimer. Tant et si bien qu’un artiste peut être qualifié de street artist sans avoir jamais peint dans la rue. Il s’adapte, à tel point qu’il s’expose désormais dans des galeries, qu’il fait l’objet d’‘urban art fair’, passant de l’illégalité à la légalité, de l’opprobre à la reconnaissance, de l’éphémère au pérenne ».
A la question « Pensez-vous que l’art urbain participe d’une transgression, d’un interdit ? », l’artiste Miss Tic répond « Comme tous les mouvements, au début, ils sont transgressifs, puis ils deviennent officiels. J’ai fait partie du transgressif, mais aujourd’hui, le street art a perdu cet aspect. Bien entendu, le contenu peut être subversif. Ma pensée peut l’être, mais peindre dans la rue ne l’est que si c’est fait de manière sauvage et sans autorisation préalable ».
Et Miss Tic d’ajouter : « La rue permet un coup de projecteur, mais aujourd’hui, c’est aussi devenu un marché et une économie. »
Lire le dossier complet : https://www.jss.fr/JSS_AS_WEB/DOC/JSS/2019/JSS_75.pdf
Top 25 artistes issus de la scène street art et graffiti aux enchères en 2019*
* Du 01/01/2019 au 20/10/2019
Artiste – Pays d’origine – Produit de ventes (2019*)
1 Jean-Michel BASQUIAT – États-Unis – 93 849 000$
2 KAWS – États-Unis – 90 305 600$
3 Keith HARING – États-Unis – 26 445 400$
4 BANKSY – Royaume-Uni – 24 594 500$
5 INVADER – France – 1 507 800$
6 STIK – Royaume-Uni – 1 184 800$
7 JONONE – États-Unis – 710 700$
8 Shepard FAIREY – États-Unis – 623 300$
9 FUTURA 2000 – États-Unis – 328 3200$
10 MR BRAINWASH – France – 258 800$
11 VHILS – Portugal – 204 300$
12 BLEK LE RAT – France – 174 500$
13 RETNA – États-Unis – 145 100$
14 JR – France – 125 800$
15 CRASH – États-Unis – 117 900$
16 SPEEDY GRAPHITO – France – 109 400$
17 A-ONE – États-Unis – 99 300$
18 SEEN – États-Unis – 65 000$
19 C215 – France – 60 000$
20 QUIK – États-Unis – 54 700$
21 FAILE – États-Unis – 49 800$
22 ZHANG Dali – Chine – 31 300$
23 D * FACE – Royaume-Uni – 21 700$
24 SWOON – États-Unis – 20 300$
25 COPE2 – États-Unis – 17 600$
Le classement des artistes associés au street art, par produit de ventes aux enchères en 2019, apporte un éclairage puissant sur un marché en pleine expansion :
– Kaws est désormais presque aussi performant que Basquiat en salles de ventes
– Invader et Stik cumulent plus d’1 m$ aux enchères chacun depuis le début de l’année
– Les street artists américains dominent les ventes, devant les français et les anglais
– Zhang Dali fait monter la Chine sur la scène street art internationale
Zhang Dali participe actuellement à l’exposition From China with love à la Galerie Danysz à Paris (jusqua’au 30 novembre 2019).
Lien de l’exposition : http://magdagallery.com/fr/expositions/presentation/128/from-china-with-love
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Discover Artmarket and its Artprice department on video: https://en.artprice.com/video
Artmarket and its Artprice department was founded in 1997 by its CEO, thierry Ehrmann. Artmarket and its Artprice department is controlled by Groupe Serveur, created in 1987.
See certified biography in Who’s who ©:
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Artmarket is a global player in the Art Market with, among other structures, its Artprice department, world leader in the accumulation, management and exploitation of historical and current art market information in databanks containing over 30 million indices and auction results, covering more than 700,000 artists.
Artprice Images® allows unlimited access to the largest Art Market image bank in the world: no less than 180 million digital images of photographs or engraved reproductions of artworks from 1700 to the present day, commented by our art historians.
Artmarket with its Artprice department accumulates data on a permanent basis from 6300 Auction Houses and produces key Art Market information for the main press and media agencies (7,200 publications). Its 4.5 million ‘members log in’ users have access to ads posted by other members, a network that today represents the leading Global Standardized Marketplace® to buy and sell artworks at a fixed or bid price (auctions regulated by paragraphs 2 and 3 of Article L 321.3 of France’s Commercial Code).
Artmarket with its Artprice department, has been awarded the State label “Innovative Company” by the Public Investment Bank (BPI) (for the second time in November 2018 for a new period of 3 years) which is supporting the company in its project to consolidate its position as a global player in the market art.
Artprice by Artmarket’s 2018 Global Art Market Report published in March 2019: https://fr.artprice.com/artprice-reports/le-marche-de-lart-en-2018
Index of press releases posted by Artmarket with its Artprice department:
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Follow all the Art Market news in real time with Artmarket and its Artprice department on Facebook and Twitter:
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Artprice by Art Market : Paris et la FIAC peuvent-elles briller après le succès de la Frieze London ?
Il y a peu de chances de nos jours de croiser, au hasard d’une rue de Montmartre ou de Montparnasse, le nouveau Giacometti ou le nouveau Picasso. Si l’on est amateur d’arts plastiques, mieux vaut se rendre directement dans le Marais pour faire le tour des galeries. Chez Perrotin rue de Turenne, on découvrira les travaux de l’Américain Josh Sperling, du Coréen Park Seo-Bo et du Mexicain Gabriel de La Morta ; rue Vieille-du-Temple, dans le tout nouvel espace de la galerie David Zwirner, l’Américain Raymond Pettibon est exposé pour la première fois en exposition individuelle dans la capitale française depuis 1995.
Mieux encore, il faut se rendre cette semaine au Grand Palais, où la Foire Internationale d’Art Contemporain est installée jusqu’à dimanche. Trois semaines après la Frieze et la Frieze Masters à Londres, la FIAC met Paris au centre du Marché de l’Art avec « 197 galeries issues de 29 pays ». Dans son sillage, d’autres foires ont éclos (Asia Now, Art Elysées, etc.) et surtout la France décerne son plus grand prix artistique, le prix Marcel Duchamp, qui récompense cette année le travail d’Eric Baudelaire. Mais cela est-il suffisant ?
thierry Ehrmann, président et fondateur d’ArtMarket.com et son département Artprice : « A Paris, l’Art Contemporain pèse 8 % du produit des ventes Fine Art aux enchères, depuis plusieurs années. Cette proportion atteint pourtant 20 % à Londres, dont le chiffre d’affaires total est quatre fois supérieur à celui de Paris. L’artiste français contemporain le plus performant en salles de ventes, Robert Combas, se classe seulement 50ème dans notre Rapport du Marché de l’Art Contemporain en 2019, derrière 16 artistes américains, 11 chinois, 9 anglais, 5 allemands…
Le Marché de l’Art français n’a pas encore compris que l’Art Contemporain est le véritable moteur du Marché de l’Art. Trop souvent, la capitale française préfère courir moins de risque, que ce soit dans sa programmation muséale, dans l’espace public ou aux enchères, avec des œuvres mieux connues, plus consensuelles ».
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Les musées parisiens préfèrent de toute évidence les grands Maîtres Anciens et l’Avant-garde moderne, comme le montrent les expositions actuelles, consacrées au Greco et à Toulouse-Lautrec au Grand Palais, à Francis Bacon au Centre Pompidou et à Hans Hartung au Musée d’Art Moderne. En attendant, bien sûr, le blockbuster « Léonard de Vinci » au Louvre dès le 24 octobre.
A l’inverse, à Londres pendant la Frieze week, la Tate Modern a accueilli dans son grand hall d’entrée une immense fontaine de l’artiste afro-américaine Kara Walker, une œuvre qui s’en prend au colonialisme britannique, financée par la Hyundai Commission. La programmation muséale de la capitale britannique fait presque partout la part belle à l’Art Contemporain, avec Olafur Eliasson à la Tate Modern, Antony Gormley à la Royal Academy, Paul Gauguin à la National Gallery.
Londres embrasse la création contemporaine et joue pleinement le jeu du Marché de l’Art, sans complexe vis-à-vis du mécénat d’entreprise. Paris au contraire freine et choisit souvent de se retourner vers un passé glorieux, lorsqu’elle était une terre d’accueil pour Léonard de Vinci, Pablo Picasso, Zao Wou-Ki, etc. La France se méfie de l’Art Contemporain, comme le montre cette année encore la réaction de plusieurs grands intellectuels qui s’offusquent de l’arrivée des Tulipes de Koons ? « Onze anus colorés montés sur tiges ! » (Yves Michaux, l’Obs, 5 octobre 2019).
La différence entre Paris et Londres se ressent aussi dans les ventes aux enchères. Pendant la Frieze, Christie’s et Sotheby’s organisent à Londres trois ventes d’Art Contemporain et d’Après-Guerre chacune, alors qu’à Paris pendant la FIAC, les deux grandes maisons anglo-saxonnes tiennent désormais des sessions d’Art Impressionniste et Moderne.
Top 5 œuvres vendues aux enchères pendant la Frieze (prix avec frais) :
Jean-Michel Basquiat – Pyro (1984) – 12,2m$, Sotheby’s
Banksy – Devolved Parliament (2009) – 12,2m$, Sotheby’s
Jean-Michel Basquiat – Four Big (1982) – 10,6m$, Christie’s
Gerhard Richter – Abstracktes Bild (1984) – 8,6m$, Christie’s
Sigmar Polke – Alpenveilchen/Flowers (1967) – 7m$, Christie’s
Top 5 des œuvres mises en vente pendant la Fiac (estimations) :
Nicolas de Staël – Parc des Princes (1952) – [20m$ – 27 m$] – 17/10 Christie’s
Pablo Picasso – Mousquetaire. Buste (1967) – [3,5m$ – 5,5m$]– 17/10 Christie’s
Marc Chargall – Le cirque mauve (1966) – [3,3m$ – 5,5m$] – 16/10 Sotheby’s
Pierre Soulages – Peinture 263 x 181cm, 29 décembre 2007 – [1,6m$ – 2,7m$] – 17/10 Christie’s
Francis Picabia – Médéa (c. 1929) – [1,6m$ – 2,2m$] – 16/10 Sotheby’s
La France reste un extraordinaire grenier à chefs-d’oeuvre anciens, comme le prouve la très récente découverte à Dijon d’une œuvre de Cimabue, Le Christ moqué (circa XIII). Ce petit tableau rarissime sera mis en vente le 27 octobre 2019 par l’Hôtel des Ventes de Senlis, qui a estimé sa valeur entre 4,4m$ et 6,6m$.
Mais à ce compte-là, Londres n’a rien à envier à Paris. A la Frieze Masters, Trinity Fine Arts a mis en vente le portrait de Michele Marullo Tarchianota, attribué à Boticelli lui-même. Son prix était de 30m$.
Artmarket et Artprice félicitent Eric Baudelaire lauréat du prix Marcel Duchamp 2019.
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Arptrice by Art Market : Les enjeux géo-politiques de la 15ème Biennale de Lyon
Une cinquantaine d’artistes ont été commissionnés cette année pour produire une œuvre in situ dans les anciennes usines Fagor de Lyon. 29 000 m² situés à quelques encablures de cet endroit hautement symbolique, où la Saône se jette dans le Rhône, ont été investis pour la première fois par la Biennale de Lyon. Là où les eaux se mêlent, titre d’un poème de l’écrivain américain Raymond Carver, a été choisi comme thème de cette édition 2019, confiée à la jeune équipe de curateurs du Palais de Tokyo.
La Biennale de Lyon se veut un événement majeur pour l’Art Contemporain international, doté d’un budget en conséquence mais qui a le devoir de faire briller la culture française et de montrer tout son rayonnement. Une tâche délicate, qui nécessite une nouvelle renaissance tous les deux ans, un défi pour la nouvelle directrice Isabelle Bertolotti.
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thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artprice, tient à rappeler : « Créée en 1991 par Thierry Raspail, la Biennale de Lyon s’est imposée de manière mondiale comme l’une des plus remarquables manifestations culturelles de son genre. J’en veux pour exemple l’édition mythique de 2000. A cette occasion Jean-Hubert Martin avait réussi un véritable tour de force avec sa biennale « Partage d’exotisme », un événement d’une cohérence et pertinence exceptionnelles, directement placé sous le signe de son exposition fondatrice « Les Magiciens de la Terre », présentée en 1989 au Centre Pompidou.
Portée par Thierry Raspail pendant près de 30 ans, la Biennale de Lyon s’est taillé une réputation à l’échelle mondiale et a été soutenue notamment pour « Partage d’exotisme » par son partenaire institutionnel Artprice et le Musée d’Art Contemporain l’Organe, gérant la Demeure du Chaos / The Abode of Chaos. Au fil des ans elle a pris l’ascendant sur la Biennale de Paris, fondée par André Malraux en 1959 et dont la dernière édition s’est achevée en 2008. »
La Biennale de Lyon se trouve aujourd’hui à un moment crucial, avec le premier changement de direction de son histoire, et l’arrivée d’Isabelle Bertolotti à sa tête, la nouvelle directrice du Musée d’Art Contemporain de la ville de Lyon. Celle-ci doit donner une nouvelle voie à la Biennale, et son premier projet se veut ambitieux : « Cette 15e édition de la Biennale d’art contemporain de Lyon est conçue comme un écosystème, à la jonction de paysages biologiques, économiques et cosmogoniques. Elle se fait ainsi le témoin des relations mouvantes entre les êtres humains, les autres espèces du vivant, le règne minéral, les artefacts technologiques et des histoires qui les unissent. »
Par ailleurs les contraintes fixées aux curateurs et aux artistes sont particulièrement nombreuses. D’abord celles imposées par le lieu lui-même : une immense usine implantée en dehors du centre ville et conservée dans son état, avec son balisage d’origine, sa machinerie abandonnée et toutes les traces d’usure.
Les artistes, pour la plupart très peu exposés en France et souvent sans cote en ventes publiques, comptent un tiers de ressortissants français, respectent scrupuleusement la parité homme-femme et ont dû faire appel, pour la production de leurs œuvres, aux artisans du bassin rhodanien.
La Biennale ne se cantonne pas au vaste espace Fagor et se déploie sur l’ensemble du territoire régional. Ce nouveau modèle s’organise autour de quatre plate-formes complémentaires : le Musée d’art contemporain de Lyon, qui constitue une excroissance de l’exposition principale avec une demi-douzaine d’artistes dont le célèbre duo Gregory & Daniel GICQUEL & DEWAR; la Jeune Création Internationale qui s’installe comme par le passé à l’Institut d’Art Contemporain de Villeurbanne ; Veduta qui favorise la rencontre entre les artistes et les habitants de la région ; enfin, un large programme d’expositions associées dont des expositions en Résonance avec la Biennale dans diverses galeries et lieux culturels de la région. Cette mobilisation d’envergure met en évidence 150 lieux couvrant non seulement le champ de l’art contemporain mais aussi de la littérature, de la danse, du théâtre, de la musique ou du cinéma.
Temps fort de l’actualité artistique internationale, la Biennale d’art contemporain de Lyon compte parmi les cinq biennales les plus importantes après celle de Venise. L’édition précédente avait rassemblé plus de 300 000 visiteurs, le plus grand succès public de l’histoire de la biennale jusqu’à présent. L’édition 2019 passe de nouveaux caps avec des espaces plus vastes, la promesse d’installations ambitieuses, l’intensification du maillage régional, et des passerelles inédites entre le monde de l’art et celui de l’entreprise.
Pour comprendre la Biennale de Lyon, le propos de Thierry Raspail, dans une discussion avec thierry Ehrmann en 1999, résumait à lui tout seul la place des Biennales dans le monde : « les biennales sont un acte géo-politique. Elles marquent le territoire, là où il y a tout, ou là il n’y a rien. » Cette phrase abrupte explique avec une rare clarté, le mécanisme primaire et caché des biennales.
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Au sujet d’Artron :
Partenaires depuis 2009, Artron et Artprice ont signé en octobre 2018 un accord historique pour créer une « nouvelle route de la soie de l’art », cette alliance s’inscrivant dans le plan « One Belt One Road » (OBOR) / « Belt and Road Initiative » (BRI), lancé en 2013 et connu en Europe sous le nom de « Nouvelle Route de la Soie ».
Artprice couvre le monde entier et notamment la Chine avec son fidèle partenaire institutionnel Artron Art Group (Artron) fondé en 1993 et présidé par son Fondateur Mr Wan Jie qui est le plus grand imprimeur de livres d’art au monde, avec plus de 60 000 livres et catalogues de ventes aux enchères et un volume de publications total de 300 millions par an.
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