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Artmarket.com: Pak allows thousands of collectors to buy part of a work whose total price reaches USD 91.8 million
The idea of buying an artwork collectively goes back a long way and has been entertained in various schemes and formats. But the problem of how to resell your ‘shares’ was always a complicated obstacle.
However, according to Artprice, this problem has finally found a solution with NFTs. Anonymous artist Pak put « mass units » up for sale on Nifty Gateway for 48 hours. The final work, titled The Merge, is made up of 266,445 “units” that can be sold separately and instantly on the blockchain.
Invader – Rubik Mona Lisa (2005), sold for $520,000 by Artcurial on February 23, 2020

thierry Ehrmann, CEO and Founder of Artmarket.com and its Artprice department: “Blockchain and NFTs have at last made it possible to design properly effective forms of securitization on the art market. Non-fungible tokens open up endless possibilities for the acquisition of shares in a work, as Pak has demonstrated with this extraordinary sale. This represents a veritable paradigm shift for the art market”.
28,000 collectors
From now on, the unknown factor is no longer the sale price (fixed in advance) but rather the number of units purchased. Moreover, Pak and Nifty Gateway developed a whole strategy to boost demand during the 48 hours that the sale lasted:
– initial price of $299 for loyal collectors of Pak and $400 for new entrants
– increasing price by $25 every six hours
– for 10 units purchased an eleventh is free; for 1,000 units purchased 300 more are free
– a continuous real-time ranking of the best buyers (under pseudonyms)
– the work Alpha Mass offered to the largest buyer
In total, 266,445 “mass units” were purchased for $91.8 million by 29,000 different buyers. This makes an average price of $316 per unit and an average of 9 units acquired per buyer. According to Artprice by Artmarket, the result is a genuine ‘community’ that the artist has brought together to create a gigantic and dematerialized work, in which everyone is free to resell their shares at any time.
Typically, works of art are auctioned off as one-offs rather than as a series. Jeff Koons’ Rabbit sculpture (1986) made Koons the most expensive living artist in 2019 when it sold for $91.12 million.
One or more works?
In April 2021, Pak organized a sale with Sotheby’s called The Fungible Collection. For three days, for only 15 minutes each day, anyone could acquire “cubes” at a fixed price:
– 1st day: 19,737 cubes sold at $500 = $9,868,500
– 2nd day: 3,268 cubes sold at $1,000 = $3,268,000
– 3rd day: 593 cubes sold at $1,500 = $718,500
While the cubes in each buyer’s wallet were linked, the 23,598 cubes did not make a total work per se: each purchaser acquired his own set of cubes with an average purchase price of $587. Similarly, Beeple’s The first 5,000 days (sold at Christie’s in March 2021 for $ 69.4 million), is theoretically made up of 5,000 full works, the average price of which is therefore around $14,000.
By way of comparison, the sale of the Macklowe Collection on 15 November 2021 at Sotheby’s New York raised $676 million from 35 works; that’s an average value of $19.3 million per lot. The comparison doesn’t make a lot of sense except from the point of view of the homogeneity of the works and their securitization. Imagine you’d been given the opportunity of acquiring a share in Mark Rothko’s No. 7 (which entered the Macklowe Collection in 1987) for $500. After its sale for $82.5 million, you would own a 165,000th part of the painting.
However, Pak’s approach is the opposite since the work, The Merge, did not yet exist at the time of the sale. No-one knew what it was going to look like. By buying a part of this unknown work, each collector contributes to it. Encouraged by a low starting price but also encouraged to acquire the largest number of units in order to receive a reward, The Merge is a game that brings together technology buffs, cryptocurrency and NFT devotees and art enthusiasts increasingly fascinated by this universe.
Artists have now moved into the primary position around which the art market revolves.
According to Artmarket.com, NFTs represent a genuine grassroots movement that has created its own ecosystem, with a virtuous economy and exponential growth potential.
Indeed, the turnover generated by NFTs so far this year (to 9 December 2021) – as measured by ERC 721 and ERC 1155 Ethereum smart contracts relating to the art market and collections – is 26.9 billion dollars (source Chainalysis).
Image: [https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/12/Invader-Joconde.jpg]
Copyright 1987-2021 thierry Ehrmann www.artprice.com – www.artmarket.com
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Artmarket.com : Pak permet à des milliers de collectionneurs d’acheter une partie d’une oeuvre NFT dont le prix global atteint 91,8m USD
Acheter une œuvre à plusieurs est un très vieux rêve sur le Marché de l’Art. Mais comment pouvoir revendre ses parts quand on le souhaite ? Ce problème trouve enfin une solution avec les NFTs, selon Artprice.
L’artiste anonyme Pak a mis pendant 48 heures des « unités de masse » en vente sur Nifty Gateway. L’oeuvre finale, intitulée The Merge, est constituée de 266 445 « unités » qui peuvent être revendues séparément et instantanément sur la blockchain.
Invader – Rubik Mona Lisa (2005), vendue 520 000$ par Artcurial le 23 février 2020

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice : « La Blockchain et les NFTs permettent de concevoir des formes de titrisation enfin efficaces sur le Marché de l’Art. Les tokens non fongibles ouvrent une infinité de façons d’acquérir une partie d’oeuvre, comme l’a démontré Pak avec cette vente extraordinaire. Le Marché de l’Art est en train de vivre une révolution par ce changement de paradigme. »
28 000 collectionneurs
Désormais, l’inconnue n’est plus le prix de vente (fixé à l’avance) mais le nombre d’unités achetées. Aussi Pak et Nifty Gateway avaient-ils mis au point toute une stratégie pour dynamiser la demande pendant les 48h de la vente :
– prix initial de 299$ pour les fidèles collectionneurs de Pak et 400$ pour les nouveaux entrants
– prix incrémenté de 25$ toutes les six heures
– pour 10 unités achetées, une onzième est offerte ; pour 1 000 unités achetées, 300 sont offertes
– un classement continu des meilleurs acheteurs (sous pseudo)
– l’œuvre Alpha Mass offerte au plus grand acheteur
Au total, 266 445 « unités de masse » ont été achetées pour 91,8 m$ par 29 000 acheteurs différents. Cela fait un prix moyen de 316$ par unité et une moyenne de 9 unités acquises par acheteur. C’est, selon Artprice by Artmarket, une véritable communauté que l’artiste fédère ici pour créer une œuvre gigantesque et dématérialisée, dont chacun est libre de revendre ses parts à tout moment.
En règle générale, les œuvres d’art sont vendues aux enchères en tant que pièces uniques plutôt qu’en séries. La sculpture Rabbit, de 1986, a fait de Jeff Koons l’artiste vivant le plus cher en 2019 lorsqu’elle s’est vendue à 91,12 millions de dollars.
Une ou plusieurs œuvres ?
En avril 2021, Pak avait organisé avec Sotheby’s une vente intitulée « The Fungible Collection ». Trois jours durant, pendant 15 minutes seulement à chaque fois, n’importe qui pouvait acquérir des « cubes » a prix fixe :
– 1er jour : 19 737 cubes vendus à 500$ = 9 868 500$
– 2ème jour : 3 268 cubes vendus à 1 000$ = 3 268 000$
– 3ème jour : 593 cubes vendus à 1 500$ = 718 500$
Si les cubes se combinaient dans le portefeuille de chaque acheteur, les 23 598 cubes ne faisaient pas une œuvre totale : chacun possède son propre ensemble de cubes dont le prix d’achat moyen atteint 587$. De même, l’œuvre de Beeple The first 5,000 days, vendue chez Christie’s en mars 2021 pour 69,4m$, est théoriquement constituée de 5 000 œuvres à part entière, dont le prix moyen avoisine donc les 14 000$.
À titre de comparaison, la vente de la Maclowe Collection le 15 novembre 2021 chez Sotheby’s New York a récolté 676 m$ avec 35 œuvres, soit une valeur moyenne de 19,3 m$ par lot. La comparaison n’a pas beaucoup de sens, sinon de questionner l’homogénéité des œuvres et leur titrisation. Imaginez que vous ayez la possibilité d’acquérir pour 500$ une part de l’œuvre No. 7 de Mark Rothko, entrée dans la Macklowe Collection en 1987. Vous posséderiez un 165 000ème de la toile (vendue 82,5 m$).
Seulement la démarche de Pak est inverse, dans la mesure où l’œuvre The Merge n’existait pas encore à l’heure de la vente. Personne ne savait à quoi elle allait ressembler. C’est en achetant une part de cette inconnue que chaque collectionneur y contribue. Encouragé par un faible prix de départ mais aussi à acquérir le plus grand nombre d’unités pour recevoir une œuvre de récompense, The Merge est un jeu qui rassemble les passionnés de technologies, les adeptes de cryptomonnaies et de NFTs ainsi que les amateurs d’art de plus en plus fascinés par cet univers.
L’artiste se réjouit de redevenir le noyau central sur lequel s’articule l’ensemble Marché de l’Art.
Il peut ainsi faire entrer ses collectionneurs dans son univers/métavers, en créant une interactivité avec eux.
Selon Artmarket.com, les NFTs sont une véritable lame de fond qui a créé son écosystème, avec une économie vertueuse et une croissance exponentielle.
En effet, le chiffre d’affaires des NFTs d’art de cette année, arrêté au 09/12/2021, est de 26,9 milliards de dollars, associés au contrat ERC 721 et ERC 1155, qui sont des contrats intelligents Ethereum, associés au Marché de l’Art et aux collections (source Chainalysis).
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Artprice présente le classement n°32 des Musées d’Art Contemporain en France selon les avis Google
Méthodologie : Artprice, leader mondial de l’information sur le marché de l’Art a souhaité mesurer l’empreinte sur Internet la plus fiable possible des musées d’Art Contemporain en France.
A ce titre, un consensus est né avec les statisticiens et économètres de groupe Serveur et d’Artprice sur le fait que seul l’écosystème Google (moteurs de recherche, Google Maps, Google Street View, Google Earth, Google Photos, et les autres applications Google) est légitimement le support Internet de référence, tant en termes de nombre d’utilisateurs que de visibilité, de fiabilité et en temps réel avec des mesures de sécurité que Google maîtrise pour éviter toute forme de fraude.
La méthodologie retenue est de prendre les Musées d’Art Contemporain français quel que soit le lieu, dès lors où ceux-ci ont recueilli un nombre d’avis supérieur à 1000 afin d’éviter toute manipulation ou manque de fiabilité sur un nombre d’avis trop faible.
Les avis sur Google ne sont pas impactés par des actions commerciales de Google ou de tiers. Ce cas est rare dans l’Internet et plus encore chez les GAFA.
Ce classement qui fait l’objet d’un constat mensuel par Huissier de Justice ne doit en aucun cas être considéré comme un quelconque classement qualitatif ; il restitue seulement une analyse factuelle et économétrique des grands flux d’information en provenance des banques de données de Google.
Notre siège social le Musée d’Art Contemporain l’Organe est n°2 en France, derrière le Centre Pompidou suivi par la Fondation Louis Vuitton et le Palais de Tokyo, selon les données Google et Flickr en nombre de visiteurs uniques virtuels en 360°4K et 8k (4,5 millions) relatif à l’Art Contemporain.
Toutes les marques et dénominations citées dans le présent classement, notamment le descriptif de l’écosystème Google, sont la propriété de leurs auteurs respectifs.
Méthodologie et constat d’Huissier de Justice (3 janvier 2022 SELARL Estelle PONS – Sarah MERGUI). Intégralité des constats mensuels :
Artmarket.com: ahead of Art Basel Miami 2021, art market gender parity is still wanting; but could NFTs change that?
Despite the big result for an exceptional (and relatively small) painting by Frida Kahlo, the Mexican artist was still only 18th in Artprice’s ranking of artists by auction turnover for the month of November 2021, behind 17 male artists. And while this trend was completely reversed for the generation of artists born after 1985 (the 8 top-selling signatures were all young women!), we ask: what is the gender parity situation on the NFT market?

[https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/11/image1-Frida-KAHLO.jpg]
thierry Ehrmann, CEO and Founder of Artmarket.com and its Artprice department: “The creation of the NFTs market should be an opportunity to achieve some sort of gender parity on the a rt m arket. Th e technology is revolutionizing an entire industry, as shown by Art Basel Miami Beach which opens its doors this year to Tezos (“ home to one of the fastest growing NFT artist communities”) and Scope Miami which has decided to issue its VIP invitations in the form of non-fungible tokens”.
“World of Women”
It’s only a few years since NFTs first appeared on the web, and only a few months since the general public discovered non-fungible digital tokens; but some have already commented the lack of a female presence in this new world. Several projects have nevertheless been developed to try to correct this imbalance, starting with a collection of exclusively female PFPs (profile pictures) by World of Women: https://opensea.io/collection/world-of-women-nft
“World of Women was created to bring more diversity and inclusiveness to the NFT space while bridging the gap between collectibles and single edition art worlds”.
Considering the traditional art market’s long-standing gender disparity, fears of a male-dominated digital world seem perfectly rational. New York’s prestige sales in November – driven by the Macklowe Collection at Sotheby’s and the Cox Collection at Christie’s – were once again dominated by the likes of Warhol, Van Gogh, Picasso, Monet, Twombly, Rothko, Giacometti, Richter, etc.
But things are changing…
Frida Kahlo was the top-selling female artist at the November auctions this year, but she was behind eighteen men. A study published by Ken Bromley Art Supplies in 2020 revealed that the Mexican painter ranked second among the world’s most searched artists on Google (first in 29 countries) behind Leonardo Da Vinci.
Diego y yo (1949) is one of the most important paintings by Frida Kahlo that doesn’t belong to a museum. On 16 November 2021 it fetched $34 million at Sotheby’s, 22 times its previous value in 1990. Although it was a very impressive result for the Mexican artist, Frida Kahlo is still not competing with Andy Warhol, whose signature generated $165 million at the November 2021 prestige auctions.
Top 10 female artists at auction in November 2021
Global ranking – Artist – Auction Turnover
18th – Frida KAHLO (1907-1954): $34,883,000
28th – Agnes MARTIN (1912-2004): $21,765,500
30th – Cecily BROWN (1969- ): $20,706,150
32nd – Joan MITCHELL (1926-1992): $20,053,500
41st – Georgia O’KEEFFE (1887-1986): $14,561,300
52nd – Yayoi KUSAMA (1929-): $9,198,600
53rd – Lee BONTECOU (1931-): $9,176,500
58th – Helen FRANKENTHALER (1928-2011): $8,177,100
59th – Cindy SHERMAN (1954-): $8,162,100
62nd – Tamara DE LEMPICKA (1898-1980): $7,896,300
Over the past decade, female artists under 40 have nevertheless established themselves as the most successful artists of their generation on the auction market. In 2013 – 2014, collectors became enamoured with the work of Tauba Auerbach (1981) represented by the Paula Cooper gallery. This trend has gradually intensified to the point where the turnover ranking of artists born after 1985 (for November 2021) is heavily dominated by female painters.
Top 10 artists born after 1985 at auction in November 2021
Global ranking – Artist – Auction turnover
1st – Avery SINGER (1987-): $4,638,900
2nd – Toyin Ojih ODUTOLA (1985-): $2,235,900
3rd – Flora YUKHNOVICH (1990 -): $1,951,100
4th – Jadé FADOJUTIMI (1993-): $1,053,400
5th – Christina QUARLES (1985-): $948,000
6th – Jordan CASTEEL (1989-): $806,500
7th – Issy WOOD (1993-): $768,750
8th – Allison ZUCKERMAN (1990-): $636,600
9th – Ismail ISSHAQ (1989-): $589,300
10th – Oscar MURILLO (1986-): $432,900
Image: [https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/11/image1-Frida-KAHLO.jpg]
Copyright 1987-2021 thierry Ehrmann www.artprice.com – www.artmarket.com
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Artmarket.com : Avant Art Basel Miami 2021, la question de la parité se pose toujours, mais les NFTs pourraient changer la donne
Malgré la vente d’une toile exceptionnelle de Frida Khalo, celle-ci n’atteint que la 18ème place dans le classement Artprice des artistes par produit de ventes aux enchères sur le mois de novembre 2021, derrière 17 artistes hommes. Si la tendance se renverse complètement pour la génération des artistes nés après 1985 (les 8 signatures les plus performantes du moment sont toutes des jeunes femmes), quelle est leur place sur le marché des NFTs ?

[https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/11/image1-Frida-KAHLO.jpg]
thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice : « La création du marché des NFTs serait l’occasion d’atteindre une parité sur le Marché de l’Art. Cette technologie est en train de révolutionner toute une industrie, comme le montre Art Basel Miami Beach qui ouvre cette année ses portes aux NFTs de Tezos, ou Scope Miami qui a décidé de délivrer ses invitations VIP sous forme de jetons non-fongibles ».
World of Women
Voilà quelques années à peine que les NFTs sont apparus à la surface du Web, quelques mois seulement que le grand public a découvert les jetons numériques non-fongibles, et certains regrettent déjà le manque de présence des artistes femmes dans ce nouveau monde. Plusieurs projets ont ainsi été développés pour tenter de pallier ce problème, à commencer par une collection de PFP (profil picture) exclusivement féminins : https://opensea.io/collection/world-of-women-nft
« World of Women a été créé pour apporter plus de diversité et d’inclusivité dans l’espace NFT, tout en comblant le fossé entre les grandes éditions et les œuvres uniques dans le monde de l’art ».
World of Women was created to bring diversity and inclusiveness to the NFT space while bridging the gap between collectibles and single edition art worlds.
Une telle crainte est fondée sur le Marché de l’Art, au vu de la place bien trop discrète que les artistes femmes y ont aujourd’hui encore. Les prestigieuses ventes new-yorkaises du mois de novembre, portées par la collection Macklowe chez Sotheby’s et de la collection Cox chez Christie’s, ont été dominées par Warhol, Van Gogh, Picasso, Monet, Twombly, Rothko, Giacometti, Richter, etc.
Un changement entrepris
Il faut descendre jusqu’à la 18ème place pour enfin voir apparaître le nom d’une artiste femme, Frida Khalo. Une étude publiée par Ken Bromley – Art Supplies en 2020 avait pourtant révélé que la peintre mexicaine se classait deuxième parmi les artistes les plus recherchés du monde sur Google (première dans 29 pays), juste derrière Leonardo Da Vinci.
Diego y yo (1949) est l’une des plus importante toile de Frida Khalo encore en circulation sur le marché. Elle a été vendue 34m$ ce 16 novembre 2021 chez Sotheby’s, soit 22 fois son dernier prix d’adjudication en 1990. Toutefois, ce résultat ne permet pas à Frida Khalo de rivaliser avec Andy Warhol : 165m$ aux enchères en novembre 2021.
Top 10 des artistes femmes aux enchères en novembre 2021
Position dans le classement global – Artiste – Produit de ventes
18. Frida KAHLO (1907-1954) : 34,883,000 $
28. Agnes MARTIN (1912-2004) : 21,765,500 $
30. Cecily BROWN (1969-) : 20,706,150 $
32. Joan MITCHELL (1926-1992) : 20,053,500 $
41. Georgia O’KEEFFE (1887-1986) : 14,561,300 $
52. Yayoi KUSAMA (1929-) : 9,198,600 $
53. Lee BONTECOU (1931-) : 9,176,500 $
58. Helen FRANKENTHALER (1928-2011) : 8,177,100 $
59. Cindy SHERMAN (1954-) : 8,162,100 $
62. Tamara DE LEMPICKA (1898-1980) : 7,896,300 $
Au cours de la dernière décennie, les artistes femmes de moins de 40 ans se sont néanmoins imposées comme les artistes plus performants de leur génération en salles de ventes. En 2013 – 2014, les collectionneurs se sont pris de passion pour Tauba Auerbach (1981) représentée par la galerie Paula Cooper. Cette tendance s’est peu à peu intensifiée, si bien que cet automne, le classement des artistes nés après 1985 est lourdement dominé par des peintres femmes.
Top 10 artistes nés après 1985 aux enchères en novembre 2021
Position dans le classement – Artiste – Produit de ventes
1. Avery SINGER (1987-) : 4,638,900 $
2. Toyin Ojih ODUTOLA (1985-) : 2,235,900 $
3. Flora YUKHNOVICH (1990-) : 1,951,100 $
4. Jadé FADOJUTIMI (1993-) : 1,053,400 $
5. Christina QUARLES (1985-) : 948,000 $
6. Jordan CASTEEL (1989-) : 806,500 $
7. Issy WOOD (1993-) : 768,750 $
8. Allison ZUCKERMAN (1990-) : 636,600 $
9. Ismail ISSHAQ (1989-) : 589,300 $
10. Oscar MURILLO (1986-) : 432,900 $
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Artprice présente le classement n°12 des Musées d’Art Contemporain en France selon les avis Google
Méthodologie : Artprice Leader mondial de l’information sur le marché de l’Art a souhaité mesurer l’empreinte sur Internet la plus fiable possible des musées d’Art Contemporain en France.
A ce titre, un consensus est né avec les statisticiens et économètres de groupe Serveur et d’Artprice sur le fait que seul l’écosystème Google (moteurs de recherche, Google Maps, Google Street View, Google Earth, Google Photos, et les autres applications Google) est légitimement le support Internet de référence, tant en termes de nombre d’utilisateurs que de visibilité, de fiabilité et en temps réel avec des mesures de sécurité que Google maîtrise pour éviter toute forme de fraude.
La méthodologie retenue est de prendre les Musées d’Art Contemporain français quel que soit le lieu, dès lors où ceux-ci ont recueilli un nombre d’avis supérieur à 1000 afin d’éviter toute manipulation ou manque de fiabilité sur un nombre d’avis trop faible.
Les avis sur Google ne sont pas impactés par des actions commerciales de Google ou de tiers. Ce cas est rare dans l’Internet et plus encore chez les GAFA.
Ce classement qui fait l’objet d’un constat mensuel par Huissier de Justice ne doit en aucun cas être considéré comme un quelconque classement qualitatif ; il restitue seulement une analyse factuelle et économétrique des grands flux d’information en provenance des banques de données de Google.
Notre siège social le Musée d’Art Contemporain l’Organe est n°2 en France, derrière le Centre Pompidou suivi par la Fondation Louis Vuitton et le Palais de Tokyo, selon les données Google et Flickr en nombre de visiteurs uniques virtuels en 360°4K et 8k (4,5 millions) relatif à l’Art Contemporain.
Toutes les marques et dénominations citées dans le présent classement, notamment le descriptif de l’écosystème Google, sont la propriété de leurs auteurs respectifs.
Méthodologie et constat d’Huissier de Justice (4 mai 2020 SELARL Estelle PONS – Sarah MERGUI). Intégralité des constats mensuels :
Artprice présente le classement n°11 des Musées d’Art Contemporain en France selon les avis Google
Méthodologie : Artprice Leader mondial de l’information sur le marché de l’Art a souhaité mesurer l’empreinte sur Internet la plus fiable possible des musées d’Art Contemporain en France.
A ce titre, un consensus est né avec les statisticiens et économètres de groupe Serveur et d’Artprice sur le fait que seul l’écosystème Google (moteurs de recherche, Google Maps, Google Street View, Google Earth, Google Photos, et les autres applications Google) est légitimement le support Internet de référence, tant en termes de nombre d’utilisateurs que de visibilité, de fiabilité et en temps réel avec des mesures de sécurité que Google maîtrise pour éviter toute forme de fraude.
La méthodologie retenue est de prendre les Musées d’Art Contemporain français quel que soit le lieu, dès lors où ceux-ci ont recueilli un nombre d’avis supérieur à 1000 afin d’éviter toute manipulation ou manque de fiabilité sur un nombre d’avis trop faible.
Les avis sur Google ne sont pas impactés par des actions commerciales de Google ou de tiers. Ce cas est rare dans l’Internet et plus encore chez les GAFA.
Ce classement qui fait l’objet d’un constat mensuel par Huissier de Justice ne doit en aucun cas être considéré comme un quelconque classement qualitatif ; il restitue seulement une analyse factuelle et économétrique des grands flux d’information en provenance des banques de données de Google.
Notre siège social le Musée d’Art Contemporain l’Organe est n°2 en France, derrière le Centre Pompidou suivi par la Fondation Louis Vuitton et le Palais de Tokyo, selon les données Google et Flickr en nombre de visiteurs uniques virtuels en 360°4K et 8k (4,5 millions) relatif à l’Art Contemporain.
Toutes les marques et dénominations citées dans le présent classement, notamment le descriptif de l’écosystème Google, sont la propriété de leurs auteurs respectifs.
Méthodologie et constat d’Huissier de Justice (1 avril 2020 SELARL Estelle PONS – Sarah MERGUI). Intégralité des constats mensuels :
Le Rapport Annuel Artprice by Artmarket du Marché de l’Art en 2019: la croissance repose sur une confiance mondiale et un record historique de lots vendus, avec la France à l’honneur
Fruit de l’alliance entre Artprice by Artmarket.com, présidé et fondé par thierry Ehrmann, et son puissant partenaire institutionnel Chinois Artron, présidé par Wan Jie, le 22ème Rapport Annuel du Marché de l’Art offre une lecture mondiale des ventes publiques de fine art: peinture, sculpture, dessin, photographie, estampe, installation, entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2019.
thierry Ehrmann: « Le Marché de l’Art est aujourd’hui très mature, capable de traverser les instabilités politiques, comme le prouve la performance de Londres et plus encore celle de Hong Kong. La Chine, qui existait à peine sur le Marché de l’Art en 2000, concentre presque un tiers de sa valeur à présent ».
22ème Rapport Annuel Artprice by ArtMarket
Ce rapport contient le célèbre classement Artprice des 500 artistes les plus performants du Marché, le Top 100 des enchères, l’analyse par pays et par capitales, l’analyse par périodes et par médiums, les différents indices d’Artprice et 8 chapitres clés pour décrypter implacablement le Marché de l’Art. Personne dans le monde à ce jour ne peut produire de telles métadonnées issues du Big Data et des algorithmes en IA tant sur le plan macro-économique que micro-économique.
Ce 22ème Rapport Annuel du Marché de l’Art mondial est diffusé en exclusivité mondiale par Artprice by ArtMarket et Cision qui ont donné naissance à la première agence de presse dédiée à l’information sur le Marché de l’Art: Artpress agency ®, appartenant à Artmarket.com qui est le Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art.
Lire gratuitement ce 22ème Rapport Annuel du Marché de l’Art mondial:
https://fr.artprice.com/artprice-reports/le-marche-de-lart-en-2019
Une croissance confiante et stable, avec un record absolu du nombres d’œuvres vendues dans le monde depuis 1945
Le Marché de l’Art ne cesse de s’étoffer: 550 000 lots fine art ont été vendus aux enchères dans le monde en 2019 pour un total de 13,3Mrd$ avec un record absolu du nombres d’œuvres vendues dans le monde depuis 1945. Il s’agit de la plus grande circulation d’œuvres jamais enregistrée en salles des ventes.
Entre logique d’investissement, spéculation, collections passionnées, demande insatiable de grandes signatures pour alimenter les nouveaux Musées du monde, le nombre de transactions du Marché de l’Art mondial affiche une bonne santé dans le Monde avec une hausse spectaculaire pour un total de 550 000 œuvres vendues en 2019.
Les leviers d’une telle croissance passent par la facilité d’accès aux informations sur le Marché de l’Art, la dématérialisation des ventes – le tout sur Internet avec 99% des acteurs connectés – la financiarisation du marché, l’accroissement des consommateurs d’art (de 500 000 à l’après-guerre à 120 millions en 2019), leur rajeunissement, l’extension du marché à toute la Grande Asie, zone Pacifique, Inde, Afrique du Sud, Moyen-Orient et Amérique du Sud.
En termes de chiffre d’affaires, le Marché de l’Art enregistre une contraction de -14% essentiellement due au manque de chefs-d’œuvre supérieurs à 50m$ mais le taux d’invendus reste parfaitement stable, à 38%, tout comme l’indice global des prix qui varie de +0,48% seulement.
N’oublions pas que le taux d’invendus, le référent depuis 120 ans, permet de vérifier si le marché est en mode spéculatif (taux d’invendus inférieur à 20%) ou en chute libre (supérieur à 60%). 38 étant, notamment selon la célèbre sociologue Raymonde Moulin du Marché de l’Art, le juste chiffre.
La force du Marché de l’Art repose sur une sélectivité sans pareil, qui suit parfaitement l’adage de la société Artprice: Acheter la bonne œuvre, de la bonne période, avec une belle histoire, du bon artiste, au bon moment.
Sur 20 ans, le Marché de l’Art connaît une croissance colossale
Un Marché de l’Art efficient, liquide et transparent à l’instar des marchés financiers.
Dans un monde où la fierté d’un pays se mesure désormais à la croissance trimestrielle après la décimale, le Marché de l’Art confirme, une fois de plus, qu’il est devenu efficient, liquide et transparent à l’instar des marchés financiers. Pour référence:
– le produit de ventes a été multiplié par quatre soit 3,2Mrd$ en 2000 contre 13,3Mrd$ en 2019
– le nombre de lots vendus a été multiplié par deux: 272 000 lots vendus en 2000 contre 550 000 en 2019.
L’Artprice100® (indice global et planétaire sur l’Art ancien, moderne et contemporain) a progressé de +396% entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2019
Alors que les Banques Centrales et notamment la BCE appliquent des taux voisins de zéro ou négatifs, le Marché de l’Art affiche une santé insolente avec par exemple l’Artprice100® (indice global et planétaire sur l’Art ancien, moderne et contemporain) qui affiche une progression de +396% depuis 2000.
L’omniprésence d’Internet par plus de 6,3 milliards de personnes connectées (Source Microsoft) devient désormais l’Espace unique et définitif des Maisons de Ventes de tout pays, au cœur de leur stratégie de conquête sur tous les continents. 99% des 6 300 Maisons de Ventes dans le monde sont aujourd’hui présentes sur Internet (elles n’étaient que 3% en 2005).
La France rejoint enfin le quarté des grandes puissances du Marché de l’Art
Fait rare, la France signe la meilleure performance de son histoire en améliorant de +18% son produit de ventes aux enchères. Avec 830m$ en 2019, elle consolide sa quatrième place dans le classement des grandes puissances du Marché de l’Art, sans parvenir toutefois à concurrencer le Royaume-Uni qui pèse encore 2,5 fois plus lourd.
thierry Ehrmann: « Si le Caravage d’Eric Turquin avait été vendu aux enchères comme il avait été annoncé, et non pas cédé de gré à gré deux jours avant sa vente publique à Toulouse, le produit des ventes aux enchères de la France aurait pu approcher le milliard de dollars en 2019 ».
Mais la force de la France tient surtout à l’intensité des ventes aux enchères. Avec 82 000 lots de fine art vendus en 2019, la France est la deuxième place de marché mondiale, derrière les États-Unis (99 000 lots vendus), mais devant le Royaume-Uni (70 000 lots vendus) et devant la Chine (66 000 lots vendus).
La France peut aujourd’hui se féliciter de posséder la première maison de ventes en Europe: Artcurial, qui se classe 11ème sur le plan mondial.
Bilan général en 2019
Le Marché de l’Art totalise 13,32Mrd$, soit une baisse de -14% essentiellement due au manque de chefs-d’œuvre supérieurs à 50m$
Le nombre d’œuvres échangées est historique depuis 1945: 550 000 lots vendus
Prix moyen atteint 24 300$
Prix médian est de 940$
90% des lots sont vendus pour moins de 17 000$
Le taux d’invendus reste stable à 38% (légèrement plus d’un sur trois)
L’indice global des prix reste stable à +0,48%
L’indice de l’art contemporain est en hausse de +4,44%
Performances financières
Les ventes répétées* affichent un rendement annuel moyen variant entre +5,5% et +8,2% depuis 2000
Les œuvres achetées entre 200 000$ et 1m$ ont le rendement annuel le plus fort: +8,2% depuis 2000
* La même œuvre achetée aux enchères et revendue aux enchères en 2019
Soft Power
Les USA (4,6Mrd$) surpassent la Chine (4,1Mrd$) et le Royaume-Uni (2,2Mrd$)
La Chine, -9%, endure une correction moins forte que les USA (-22%) et le Royaume-Uni (-21%)
Les trois premières puissances du Marché de l’Art concentrent 82% du produit des ventes mondial
La France est la seule grande puissance dans le vert: +18%
Maisons de ventes
Christie’s et Sotheby’s concentrent 54% du marché, soit 3,65Mrd$ et 3,59Mrd$ respectivement
Cinq maisons de ventes chinoises se classent dans le Top 10 mondial
La Maison de Ventes Phillips confirme les très bons résultats de 2018 avec le deuxième meilleur exercice de son histoire, malgré une baisse de -11%
Artcurial se classe 11ème: elle est la première maison de ventes européenne
Artistes et enchères records
Une seule enchère est au-dessus de 100m$ (contre deux en 2018)
Meules (1890) de Claude Monet culmine à 110,7m$
Sa valeur a été multipliée par 44 depuis son dernier passage aux enchères en 1986
Claude Monet est deuxième dans le classement général, derrière Pablo Picasso et devant Zao Wou-Ki
Jeff Koons redevient l’artiste vivant le plus cher au monde, avec Rabbit (1986) vendu 91,1m$
Gerhard Richter et David Hockney sont les artistes vivants les plus performants, avec 130m$ chacun
Trois grandes tendances
1. Le Street Art s’impose en salles des ventes, avec ses propres stars: Kaws et Banksy
Bien d’autres street artistes progressent: Invader, Stik, Shepard Fairey, Vhils.
2. Les artistes afro-américains et d’origine africaine recouvrent leur place dans l’histoire et sur le marché. Kerry James Marshall grimpe à la 55ème place du classement Artprice.
3. La session HI-LITE de Christie’s à Hong Kong met un nom sur le 1er grand mouvement du XXIème siècle.
L’industrie muséale ®, une réalité économique mondiale au XXIème siècle qui est le moteur du Marché de l’Art
Ces leviers passent aussi par l’industrie muséale (700 nouveaux Musées/an) devenue une réalité économique mondiale au XXIème siècle. Il s’est construit plus de Musées entre 2000 et 2014 que durant tous les XIXème et XXème siècles.
Cette industrie dévoreuse de pièces muséales est l’un des facteurs primordiaux de la croissance spectaculaire du Marché de l’Art. Le Marché de l’Art est désormais mature et liquide.
© Copyright 1987-2020 thierry Ehrmann http://www.artprice.com – http://www.artmarket.com
A propos d’Artmarket:
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Découvrir Artmarket avec son département Artprice en vidéo: https://fr.artprice.com/video
Artmarket avec son département Artprice furent fondées en 1997 par thierry Ehrmann, son PDG. Elles sont contrôlées par Groupe Serveur créé en 1987. Voir biographie certifiée de Who’s who©:
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Artmarket est l’acteur global du Marché de l’Art avec entre autres son département Artprice qui est le Leader mondial des banques de données sur la cotation et les indices de l’Art avec plus de 30 millions d’indices et résultats de ventes couvrant plus de 730 000 Artistes.
Artprice Images® permet un accès illimité au plus grand fonds du Marché de l’Art au monde, bibliothèque constituée de 180 millions d’images ou gravures d’œuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par ses historiens.
Artmarket avec son département Artprice, enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 6300 Maisons de Ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 7200 titres de presse dans le monde. Artmarket.com met à la disposition de ses 4,5 millions de membres (members log in), les annonces déposées par ses Membres, qui constituent désormais la première Place de Marché Normalisée® mondiale pour acheter et vendre des œuvres d’Art à prix fixe ou aux enchères (enchères réglementées par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du Code du Commerce).
Artmarket avec son département Artprice, possède le label étatique « Entreprise Innovante » par la Banque Publique d’Investissement (BPI), pour la deuxième fois en novembre 2018.
Le Rapport du Marché de l’Art Contemporain 2019:
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Le Rapport Annuel Artprice by Artmarket du Marché de l’Art mondial 2019 publié en février 2020 :
https://fr.artprice.com/artprice-reports/le-marche-de-lart-en-2019
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L’Obs – Le Musée du Futur: https://youtu.be/29LXBPJrs-o
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Artprice by Artmarket’s 2019 Annual Art Market Report shows continued growth with an all-time record number of transactions based on global confidence in the market, and the French market was particularly strong in 2019
Artprice by Artmarket’s 2019 Annual Art Market Report shows continued growth with a all-time record number of transactions based on global confidence
Artprice by Artmarket’s 2019 Annual Art Market Report shows continued growth with a all-time record number of transactions based on global confidence in the market, and the French market was particularly strong in 2019.
Fruit of the alliance between Artprice by Artmarket.com, world leader in Art Market information (founded and directed by thierry Ehrmann), and Artron, its powerful Chinese institutional partner (directed by Wan Jie), our 22nd Annual Art Market Report allows a global view of public Fine Art sales of paintings, sculptures, drawings, photography, prints and installations from 1 January 2019 to 31 December 2019.
thierry Ehrmann: “Today’s Art Market is exceptionally mature, capable of withstanding political instabilities, as both London and Hong Kong’s results have shown. China, which hardly existed on the global Art Market in 2000, now generates almost a third of its total value.”
22nd Annual Report by Artprice by Artmarket
This report contains the famous Artprice ranking of the Top 500 best-selling artists on the global fine art auction market and the Top 100 auction results. It also contains an analysis of the global Art Market from a geographical perspective (by country and by major city), a breakdown by historical periods and by artistic media, a selection of crucial Artprice market indices and 8 key chapters providing an uncompromising analysis of today’s global Art Market. No other entity is currently capable of generating such high quality macro- and micro-economic metadata based on proprietary Big Data and AI algorithms.
This 22nd Annual Report on the Global Art Market is distributed worldwide exclusively by Artprice by ArtMarket and Cision, which together have created the first international press agency dedicated to Art Market information: Artpress agency®, which belongs to Artmarket.com, is the global leader in art market information.
Read this 22nd Global Annual Art Market Report for free:
https://www.artprice.com/artprice-reports/the-art-market-in-2019
Confident and stable growth, with a record number of transactions worldwide
The Art market has continued to deepen with a record 550,000 fine art lots sold via auctions around the world in 2019, generating a total of $13.3 billion. This was the highest annual number of lots sold since 1945… creating the deepest and broadest public art market ever recorded.
Driven by a healthy combination of investment logic, speculative buying, passion collecting and insatiable demand for major signatures from the world’s new museums, the global Art Market posted a buoyant level of activity in 2019 with a record number of 550,000 transactions worldwide.
The drivers of this growth are ease of access to Art Market information, electronic sales (99% of the market’s participants are connected to the Internet) – the financialization of the market, a growing population of ever-younger art consumers (from 500,000 after WWII to 120 million in 2019) and the extension of the market to the entire Asia/Pacific area, plus India, South Africa, the Middle East and South America.
In terms of turnover, the global Art Market posted a contraction of -14% mainly due to a dearth of masterpieces above the $50 million threshold; however, the unsold rate remained perfectly stable at 38%, as did the overall art price index, which only changed +0.48%.
Remember the “unsold rate” has been closely watched for 120 years as it quickly indicates when a market is moving into speculative mode (below 20%) or into a meltdown of confidence mode (over 60%). According to the famous Art Market sociologist Raymonde Moulin, the current rate of 38% is close to the “ideal” unsold rate.
The strength of the Art Market is related to its unparalleled level of selectivity, very much reflecting Artprice’s dictum “Buy the right work, from the right period, with a good story, by the right artist, at the right time.”
Over 20 years, the Art Market has experienced very substantial growth
An efficient, liquid and transparent Art Market that resembles financial markets.
In a world where many countries are posting quarterly economic growth rates well below 1%, the Art Market has once again confirmed its efficiency, liquidity and transparency… just like a financial market. The key growth figure bear witness to this evolution:
– the Art Market’s total auction turnover has grown fourfold since 2000, from $3.2 billion to $13.3 billion in 2019
– the number of lots sold has doubled over the same period from 272,000 lots sold in 2000 to 550,000 sold in 2019.
Our Artprice100® (a global index covering all historical periods of creation combined: i.e. Old Masters, the Modern period and the Post-War/Contemporary periods) showed a +396% increase in value between 1 January 2000 and 31 December 2019.
While the Central Banks – and notably the ECB – are maintaining close to zero or even negative base interest rates, the Art Market is posting frankly insolent health and our Artprice100® virtual index (covering all historical periods of creation combined) is currently posting a +396% increase since 2000.
The Internet (Microsoft estimates over 6.3 billion people are connected worldwide) has now become the principal and definitive forum for auction operators worldwide and they are using it to consolidate their market shares on all continents. Of the world’s 6,300 auction houses, 99% are today present on the Internet (versus just 3% in 2005).
France joins the quartet of major Art Market powers
France posted the best performance in its auction history, raising its auction turnover +18%. With a total of $830 million in 2019, it substantially upgraded its fourth place in the ranking of major Art Market powers. However, it still has a long way to catch up with the 3rd-placed UK, which posted an annual auction turnover total on fine art 2.5 times higher.
thierry Ehrmann: “If Eric Turquin’s Caravaggio had sold at auction, as planned, and not privately two days before its scheduled auction in Toulouse, France’s annual turnover total would have been close to $1 billion in 2019”.
Nevertheless, France’s fine art auction strength is essentially its core high-volume backbone. With 82,000 fine art lots sold in 2019, France represented the second largest market in the world, behind the United States (99,000 lots sold), but ahead of the UK (70,000) and China (66,000).
France can today congratulate itself on having the strongest auction house in Europe: Artcurial, which now ranks 11th in the world by annual turnover.
General overview of 2019
The global Art Market generated $13.32 billion, down -14% mainly due to a drop in the number of ultra-high value masterpieces offered (worth > $50 million)
The number of lots sold worldwide reached a new historical high of 550,000
The average lot price in 2019 reached $24,300
The median lot price was $940
Approximately 90% of all lots sold fetched less than $17,000
The unsold rate remained stable at 38% (slightly more than a third)
The overall price index remained stable at +0.48%
The Contemporary art price index was up +4.44%
Financial performances
Repeat sales* show an average annual return varying between +5.5% and +8.2% since 2000
Works purchased between $200,000 and $1 million generate the strongest annual return: +8.2% since 2000
* The same work bought at auction and sold at auction in 2019
Soft Power
The United States ($4.6 billion) outperformed China ($4.1 billion) and the UK ($2.2 billion)
China suffered a milder correction (-9%) than the United States (-22%) and the UK (-21%)
The top three powers on the Art Market accounted for 82% of global fine art auction turnover
France was the only major power to post positive growth: +18%
Auction houses
Christie’s and Sotheby’s together hammered 54% of the global art auction market: $3.65 billion and $3.59 billion respectively
Five Chinese auction houses ranked in the Top 10 worldwide
Phillips confirmed its excellent 2018 results with its second best-ever annual total, despite an -11% contraction
Artcurial ranked 11th in the world becoming the leading European auction house
Artists and record results
In 2019 there was only one auction result above $100 million (compared with two in 2018).
Claude Monet’s Haystacks (Meules) (1890) peaked the market at $110.7 million.
Its value was multiplied by 44 since its previous auction in 1986.
Claude Monet arrived second in the general classification by annual auction turnover, below Pablo Picasso and above Zao Wou-Ki.
Jeff Koons recovered the title of “most valued living artist in the world” when his Rabbit (1986) fetched $91.1 million
Gerhard Richter and David Hockney were the world’s best-selling living artists, each with annual totals of $130 million in 2019.
Three main trends
1. Street Art is increasingly present on auction podiums, with its own stars: Kaws and Banksy. Lots of other street artists are moving up the sales rankings including Invader, Stik, Shepard Fairey and Vhils.
2. African-American and African-origin artists are recovering their rightful places in art history and in the market. Kerry James Marshall climbed to 55th place in Artprice’s general ranking.
3. Christie’s HI-LITE sale in Hong Kong put a name on the first major art movement of the 21st century.
The Museum Industry® is a global economic reality in the 21st century that represents the driving force behind the Art Market
The growth of the museum industry is also playing a crucial role. With more than 700 new museums opening every year, the museum industry has become a global economic reality in the 21st century. More museums opened between 2000 and 2014 than in the previous two centuries.
Demand for museum-quality works is one of the key factors in the spectacular growth of the Art Market. The Art Market is now both mature and liquid.
Copyright 1987-2020 thierry Ehrmann www.artprice.com – www.artmarket.com
About Artmarket:
Artmarket.com is listed on Eurolist by Euronext Paris, SRD long only and Euroclear: 7478 – Bloomberg: PRC – Reuters: ARTF.
Discover Artmarket and its Artprice department on video: https://en.artprice.com/video
Artmarket and its Artprice department was founded in 1997 by its CEO, thierry Ehrmann. Artmarket and its Artprice department is controlled by Groupe Serveur, created in 1987.
See certified biography in Who’s who ©:
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Artmarket is a global player in the Art Market with, among other structures, its Artprice department, world leader in the accumulation, management and exploitation of historical and current art market information in databanks containing over 30 million indices and auction results, covering more than 700,000 artists.
Artprice Images® allows unlimited access to the largest Art Market image bank in the world: no less than 180 million digital images of photographs or engraved reproductions of artworks from 1700 to the present day, commented by our art historians.
Artmarket with its Artprice department accumulates data on a permanent basis from 6300 Auction Houses and produces key Art Market information for the main press and media agencies (7,200 publications). Its 4.5 million ‘members log in’ users have access to ads posted by other members, a network that today represents the leading Global Standardized Marketplace® to buy and sell artworks at a fixed or bid price (auctions regulated by paragraphs 2 and 3 of Article L 321.3 of France’s Commercial Code).
Artmarket with its Artprice department, has been awarded the State label “Innovative Company” by the Public Investment Bank (BPI) (for the second time in November 2018 for a new period of 3 years) which is supporting the company in its project to consolidate its position as a global player in the market art.
Artprice by Artmarket’s 2019 Global Art Market Report published in February 2020 :
https://www.artprice.com/artprice-reports/the-art-market-in-2019
Index of press releases posted by Artmarket with its Artprice department:
http://serveur.serveur.com/press_release/pressreleaseen.htm
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Discover the alchemy and universe of Artmarket and its artprice department http://web.artprice.com/video headquartered at the famous Organe Contemporary Art Museum “The Abode of Chaos” (dixit The New York Times): https://issuu.com/demeureduchaos/docs/demeureduchaos-abodeofchaos-opus-ix-1999-2013
L’Obs – The Museum of the Future: https://youtu.be/29LXBPJrs-o
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La Demeure du Chaos est en 2021 vous êtes en vidéo 360° 8K avec des milliers de panoramas 360°
540 000 signataires de la pétition : la Demeure du Chaos un Combat pour la Liberté d’Expression >>>
Vous êtes désormais 3 513 000 abonnés ce matin et 9,3 millions de lecteurs par semaine, chiffres officiels de Facebook. La Demeure du Chaos est une machine de guerre médiatique et dadaïste qui ne s’arrêtera jamais… thierry
1er février 2019 / 15h45
Salut les p’tites louves et loups,
Véritable travail de titan sur 7 mois :
La Demeure du Chaos est en 2021 vous êtes en vidéo 360° 8K avec des milliers de panoramas 360° possibles à chaque instant. Balayez l’écran pour choisir votre point de vue à 360°. Bouton PAUSE pour voir les détails d’une scène à 360°.
https://www.insta360.com/product/insta360-pro2/ notre nouvel outil de propagande et mascotte 😉
Grâce à l’Insta360Pro2, 6 objectifs de 8k chacun avec 120 Mbps par lentille nous produisons de manière native de la véritable VR (Réalité Virtuelle). Pour les 20 ans de la Demeure du Chaos nous avons négocié une centaine de casques Oculus Go (version casque VR sans fil ni-Pc) ; c’est une manière machiavélique que de diffuser la Demeure du Chaos à travers tous les réseaux numériques mondiaux où vous pourrez pénétrer dans tous les lieux interdits et dangereux pour le public, visionnez l’infiniment petit, s’introduire au coeur de la matière et des milliers de sculpture.
Quand nous disions que la Demeure du Chaos est un retro-virus intrusif et infini il y a quelques années, nous étions très sérieux. Nous sommes plugués avec plusieurs réseaux muséaux tiers-lieux et underground où certaines performances pourront être visibles par des adultes majeurs et consentants. On est tellement à la pointe du progrès que l’équipe Recherche & Développement d’Insta360 qui sont les leaders mondiaux pour le cinéma et les prises de vues 360° 8k que l’équipe à Shenzen nous développe en temps réel des applicatifs spécifiques pour nos besoins de oufs à la Demeure du Chaos.
Non seulement cette année la mairie réac’ va être très lourdement condamnée tant au Pénal que par une Juridiction de 5ème degré, niveau mondial supérieur à la CEDH, mais le monde entier pourra se préparer à des trips sous LSD en visionnant la Demeure du Chaos où le merveilleux petit village de Saint Romain va s’effacer peu à peu au profit du musée d’Art Contemporain. Une étude d’un des plus gros promoteurs français qui nous a demandé l’autorisation du droit à l’image fait état que le Musée d’Art Contemporain la Demeure du Chaos est l’élément le plus valorisant qui conduise les nouveaux arrivants à vivre à Saint Romain au Mont d’Or…
Le 360° est un nouveau médium, le médium de la transparence. Une vision sphérique (360°x180°) qui élargie nos compétences humaines, qui explose nos limites physiques et nous propulse au milieu de notre univers tel que nous devons le voir. Une cyber-mutation technique, une vision augmentée qui nous permettrai d’explorer nos champs élargies de conscience, notre troisième oeil.
https://www.facebook.com/la.demeure.du.chaos.theabodeofchaos999/videos/329591797769322
Cependant, le monde est fidèlement retranscrit, au plus proche du réel, sans cadrage, sans jugement, sans point de vue. Paradoxalement ce monde apparaît souvent irréel, onirique, sublimé. Un univers dans lequel se côtoient l’infiniment grand et l’infiniment petit, une vision qui nous force à dépasser nos croyances limitantes, pour nous offrir un univers sans frontière. Chose délirante, le photographe est poussé à sortir de l’ombre, il peut faire partie du décor, en toute transparence.
Depuis 1999 nous explorons notre monde en quête de cette transparence, de cette vérité. Et pendant ce temps là, toute l’équipe de la Demeure du Chaos est en train de prévoir l’inimaginable pour les 20 ans de la Demeure du Chaos 1999-2019 avec nos 20 ans de guerre qui vont aboutir à une juridiction internationale dont la poignée d’adversaires réacs ne pourra jamais se remettre au regard de l’histoire du droit et de l’histoire de l’art. Ce qui va arriver dépasse toute forme d’entendement.
Côté Fiesta, pour les 20 ans de la Demeure du Chaos, lieu alternatif libre et gratuit, et à ce titre, je ne connais personne qui a pu tenir 20 ans avec une telle pression judiciaire, nous prévoyons des agapes et des performances qui resteront gravées dans la mémoire de l’UnderGround.
Ces 20 ans seront décadents, somptueux, iconoclastes et ouverts sur les prochaines années. Nous allons connaître les plus grandes révolutions scientifiques, d’où l’exposition pour les 20 ans : « Changement de Paradigme(s) ». Nous sommes déjà en train de vous préparer un catalogue collector 20 ans de 180 pages qui sera bien sûr offert gratuitement aux visiteurs de la Demeure du Chaos. Comme vous le savez, je n’ai jamais eu l’ombre d’une limite pour la Demeure du Chaos/ Abode of Chaos, pour ces 20 ans je m’apprête à brûler tous les veaux d’or de 56 ans de lutte ; les flammes seront visibles de très loin… Sydney, Kurt, Marc et Brice, ainsi que le premier cercle passent leurs jours et leurs nuits à dépasser nos barrières oniriques pour nous ouvrir au nouveau monde.
Plus de 500 panoramas en 360°
Good news!
on vient historiquement de dépasser les 25 millions de vues sur Facebook + Twitter !
Aucune vidéo culturelle ou muséale dans le cadre d’un reportage n’a atteint un tel chiffre !!
https://www.facebook.com/la.demeure.du.chaos.theabodeofchaos999/videos/
Source : CANAL+ / Xavier LAHACHE
« Retrouvez l’intégralité de La Gaule d’Antoine sur myCANAL : https://bit.ly/GauleDantoine »
#20ansddc #20years de La Demeure du Chaos – The Abode of Chaos.

thierry
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Cette lettre est éditée par Romain Libre, lettre satirique, dépôt légal, directeur de la publication : thierry Ehrmann
thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°23 exclusif de Juillet/Août 2015 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon, la Métropole
Classement JUILLET/AOÛT 2015 N°23
Le classement Grand Lyon la Métropole – Culture Facebook est à ses 23 mois d’existence. Les acteurs, très participatifs, ont contribué à donner une dynamique à ce classement. Pour rappel : Le Journal des Arts (Artnewspaper, Il Giornale del Arte… etc.), qui est la Bible de l’actualité de l’art à travers le monde, a établi un palmarès des grandes villes d’art : le vainqueur est Lyon.

thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°23 exclusif de Juillet/Août 2015 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon, la Métropole
Attention, depuis le 12 mars 2015 Facebook Monde a mis en place une méthodologie de comptage extrêmement stricte des «J’aime». Cela a le mérite de faire de Facebook, le référent mondial le plus fiable. A ce titre, les 25 acteurs culturels ont été profondément impactés. Notre classement démarré il y a 2 ans, gagne ainsi en transparence et en exactitude.
Les chiffres clés Facebook de juin 2015 sont les suivants : 1,83 milliard d’utilisateurs. En France, 38 millions d’utilisateurs actifs dont 1,62 million de sites Facebook dédiés à la culture avec 98% des musées français et centres d’art.
On notera que la Biennale d’Art Contemporain de Lyon connait une poussée fulgurante, de même, le Musée des Beaux-Arts de Lyon repart à nouveau vers des sommets confirmant définitivement sa place de numéro 2 voir de numéro 1 si il maintient sa progression de manière régulière.
Attention, le Musée des Confluences (ouvert depuis le 20 décembre 2014) inclus au classement depuis septembre est un poids lourd. 23 000 m² d’exposition et 2,2 millions d’objets, à un tel niveau, la compétition est mondiale. Il a enregistré plus de 500 000 visiteurs depuis son ouverture et passe de n°20 à n°15, confirmant la fiabilité de nos algorithmes qui sont à la base du classement. Ce mois-ci, montée remarquable du Festival Lumière et de l’Institut Lumière.
Pour l’Engagement Logarithmique (implication des membres sur l’acteur culturel), la Demeure du Chaos (Musée d’Art Contemporain L’OrgAne) conforte amplement son passage avec 247 940 “J’aime” correspondant, dans le cadre des acteurs culturels, à un niveau d’échelle européenne. Selon les chiffres officiels Facebook, c’est plus de 1,2 million de lecteurs par jour, confirmant son Engagement Logarithmique qui progresse à un haut niveau : 91 pour 247 940 “J’aime”. Pour information, moins de 5 musées nationaux dépassent les 200 000 “J’aime” avec un Engagement Logarithmique ≥91, ce qui démontre une communauté très active et très impliquée.
La victoire en Cour de Cassation de la Demeure du Chaos sur un conflit d’urbanisme par un arrêt du 24 juin 2014, relevant du plus haut degré de la hiérarchisation de ses décisions FS-P+B+I, contribue à sa progression sur les réseaux sociaux par un combat judiciaire de 1999 à 2015 (soit 16 ans). De même, sa vidéo tournée en drône 4K UHD fin avril, frôle les 2 millions de vues en moins de 2 mois sur Facebook (1,3 million) et Vimeo (700k), ce qui vient corroborer les chiffres.
Une analyse poussée, tant sur le Grand Lyon la Métropole que sur les acteurs culturels nationaux, démontre sans ambiguïté, sur le secteur de la Culture, que Facebook est le seul réseau social à être corrélé au volume de visiteurs.
A contrario d’autres secteurs, Twitter et Google+ ne constituent pas un référent fiable pour mesurer l’empreinte des réseaux sociaux.
Chaque jour, l’ensemble de la presse écrite et audiovisuelle mesure à partir de Facebook un secteur économique, un classement de personnalités publiques, etc… Le Monde, Le Figaro et d’autres médias ont d’ailleurs repris les algorithmes du Groupe Serveur & d’Artprice pour “scorer” et analyser l’effet des différents partis politiques suite aux dernières élections.
Nous avons donc pris les 25 acteurs culturels du Grand Lyon la Métropole et leurs pages officielles Facebook qui sont de véritables marqueurs et E.R.P (Établissement Recevant du Public). Nous avons choisi les Beaux-Arts, l’Art Contemporain, le Théâtre, la Danse, la Musique, le Cinéma et le Livre.
On peut noter que la contre-culture véritable, engagée dans un combat, arrive au premier rang, face à des machines de guerre institutionnelles.
Pour terminer, les chercheurs, l’équipe du Musée l’OrgAne et le département d’économétrie du Groupe Serveur et d’Artprice, ont mis en lumière une pertinence par ces classements qui peuvent déranger mais qui n’ont, en aucun cas, la volonté d’établir un quelconque classement qualitatif. Ce mois-ci encore, Socialbakers (n°1 mondial de l’analyse sur Facebook) conforte à nouveau les analyses du Groupe Serveur et d’Artprice.
Communiqué de presse officiel et mise à jour de thierry Ehrmann sculpteur plasticien, auteur de La Demeure du Chaos / Abode of Chaos
En 2015 soit 16 ans après (1999-2015) la Mairie demande encore la destruction de la Demeure du Chaos et viole la liberté d’expression !
Communiqué de presse de thierry Ehrmann sculpteur plasticien, auteur de La Demeure du Chaos / Abode of Chaos
Mise à Jour du 26 mai 2015 (suite au Progrès)
AFFAIRE COMMUNE DE SAINT ROMAIN AU MT D’OR CONTRE THIERRY EHRMANN
Mise à Jour du 26 mai 2015 : http://999ddc.org/24juin2014.html
– Pour information publique, l’article du Progrès de ce jour (26 mai 2015 – page 10 et 11) fait l’impasse sur de nombreuses actions judiciaires extrêmement favorables à thierry Ehrmann et la Demeure du Chaos, notamment : un arrêt du 24 juin 2014 relevant du plus haut degré de la hiérarchisation de ses décisions FS-P+B+I (Publié au Bulletin de la chambre criminelle, au Bulletin d’information de la Cour de Cassation et sur le support numérique de la Cour de Cassation), la Cour de Cassation a cassé l’arrêt de la Cour d’Appel de Grenoble du 6 mai 2013, qui avait augmenté une astreinte précédemment prononcée par cette Cour, et a renvoyé l’affaire devant la Cour d’Appel de Chambéry en chambre du Conseil. Il faut noter que deux pourvois distincts ont été acceptés début avril 2015 par la Cour de Cassation sur le procès connexe au principal où la Demeure du Chaos a gagné en Cour de Cassation.
Bouvier, Rybolovlev : understand the secret of free ports in Artprice Global Art Market report with Bouvier
Free ports and art market logic
The development of the art market and the multiplication in the number of art fairs around the world has triggered an increasingly dense and rapid circulation of art works. But transport costs and international taxes of various kinds can act as a considerable brake on such movements. One answer to this problem is the free port.
The principal… and its advantages
Nowadays an essential element in the trade and storage of assets of all kinds, the free port is a port zone where goods may be unloaded, stored and shipped under customs authorities’ control, but without the payment of various duties and taxes. During its time in a port zone, an artwork may change hands several times, but only the final owner will pay the taxes owed in the work’s destination country.
Free ports are therefore mainly a financial tool needed to virtualize the…
Voir l’article original 523 mots de plus
NUITS SONORES 2015 à Lyon 13-17 mai : demandez le programme !
En Avant-première, la programmation complète et exclusive des Nuits sonores 2015, nos vieux complices de toujours : https://www.facebook.com/pages/Nuits-sonores/59273113335
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Nuits sonores 2015, c’est : Jon Hopkins, Tale Of Us, John Talabot, Carl Craig feat Mike Banks (Mad Mike), Rone, The Soft Moon, Daniel Avery, Ben Klock, Jamie xx, Factory Floor, Moodymann, Recondite, The Orb, Barnt, Agoria B2B Mano Le Tough, Clinic, Mehmet Aslan, KiNK, Forever Pavot, Nils Frahm, Brodinski, Halawella (Maryam Saleh & Zeid Hamdan), PUBLIC SERVICE BROADCASTING, Future Of The Left, Goldie, Voices from the Lake, Seun Anikulapo Kuti & Egypt80, Ghostpoet, Jessica93, @Mbongi Yeto, The Saints, Warm Soda, Vaudou Game, Kelela, Dj Tennis, Low Jack, Blawan, HOWLING, Jessamine, Laurent Garnier and many more.
Voir intégralement du programme et les coulisses confidentielles:
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Le dossier de presse intégral en exclusivité >>>
sur le web : #nuitsso2015
thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°17 exclusif de janvier 2015 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon la Métropole
Classement Janvier 2015 – N°17
Le classement Grand Lyon la Métropole – Culture Facebook fête ses 18 mois d’existence. Les 19 autres acteurs, très participatifs, ont contribué à donner une dynamique à ce classement.

thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°15 exclusif de décembre 2014 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon
Pour rappel : Le Journal des Arts (Artnewspaper, Il Giornale del Arte… etc.), qui est la Bible de l’actualité de l’art à travers le monde, a établi un palmarès des grandes villes d’art : le vainqueur est Lyon.
Les chiffres clés de décembre 2014 de Facebook sont les suivants : 1,71 milliard d’utilisateurs. En France, 32,4 millions d’utilisateurs actifs dont 1,3 million de sites Facebook dédiés à la culture avec 98% des musées français connectés.
Pour l’Engagement Logarithmique (implication des membres sur l’acteur culturel), la Demeure du Chaos conforte amplement son passage avec 217 746 «J’aime» correspondant, dans le cadre des acteurs culturels, à un niveau d’échelle européenne. Selon les chiffres officiels Facebook, c’est plus d’1,2 million de lecteurs par jour, confirmant son Engagement Logarithmique qui progresse à un haut niveau : 80 pour 217 746 «J’aime». Pour information, moins de 10 musées nationaux dépassent les 200 000 «J’aime» avec un Engagement Logarithmique ≥80 qui démontre une communauté très active et très impliquée.
La victoire en Cour de cassation de la Demeure du Chaos par un arrêt du 24 juin 2014 relevant du plus haut degré de la hiérarchisation de ses décisions FS-P+B+I, qui s’est principalement fondé sur le deuxième moyen de cassation, se basant sur la violation des articles 6.1 et 6.3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme a contribué à sa progression sur les réseaux sociaux sur un combat judiciaire de 1999 à 2014.
Attention, le Musée des Confluences (ouvert depuis le 20 décembre 2014) qui est rentré en septembre, sera désormais le poids lourd du classement et deviendra inévitablement n°1 en 2015. En effet 1 million de visiteurs sont attendus la 1ère année. 23 000 m² d’exposition et 2,2 millions d’objets, à un tel niveau la compétition est mondiale. Son engagement logarithmique connait une croissance exponentielle qui confirme sa future place de n°1 en 2015. Il a enregistré 50 000 visiteurs en moins de 10 jours et passe du n°20 au n°14 confirmant la fiabilité de nos algorithmes qui sont à la base du classement.
La Biennale d’Art Contemporain de Lyon progresse elle aussi pour arriver désormais 6ème. L’Institut d’art contemporain de Villeurbanne progresse de deux places, passant de la 18 ème à la 16 ème place.
La Fête des Lumières, qui a lieu du 5 au 8 décembre 2014, connaît une accélération marquée qui donnera à Lyon, selon nos prévisions, un troisième acteur culturel franchissant le cap mythique des 100 000 «J’aime» dès fin janvier 2015 qui conforte Lyon dans son role de Métropole culturelle européenne.
Une analyse poussée tant sur le Grand Lyon la Métropole que sur les acteurs culturels nationaux démontre sans ambiguïté sur le secteur de la Culture que Facebook est le seul réseau social à être corrélé au volume de visiteurs. A contrario d’autres secteurs, Twitter et Google+ ne constituent pas un référent fiable pour mesurer l’empreinte des réseaux sociaux. Chaque jour, l’ensemble de la presse écrite et audiovisuelle mesure à partir de Facebook un secteur économique, un classement de personnalités publiques, etc… Le Monde et Le Figaro ont d’ailleurs repris les algorithmes de calcul du Groupe Serveur et d’Artprice pour «scorer» et analyser l’effet de l’annonce officielle du retour de N. Sarkozy qui a retenu Facebook comme média exclusif.
Nous avons donc pris les 20 acteurs culturels du Grand Lyon la Métropole et leurs pages officielles Facebook qui sont de véritables marqueurs et E.R.P (Etablissement Recevant du Public). Nous avons choisi les Beaux-Arts, l’Art Contemporain, le Théâtre, la Danse, la Musique, le Cinéma, Le Livre.
On peut noter que la contre-culture véritable, engagée dans un combat, arrive au premier rang, face à des machines de guerre dotées d’un budget de plusieurs millions d’euros par an. ϑ
Pour terminer, les chercheurs, l’équipe du Musée l’OrgAne et le département d’économétrie du Groupe Serveur et d’Artprice, ont mis en lumière une pertinence par ces classements qui peuvent déranger mais qui n’ont, en aucun cas, la volonté d’établir un quelconque classement qualitatif. Ce mois-ci encore, Socialbakers (n°1 mondial de l’analyse sur Facebook) conforte à nouveau les analyses du Groupe Serveur et d’Artprice.
If you believe in freedom of expression, support Abode of Chaos
Un article de Michael Cosgrove dans the Guardian :
If you believe in freedom of expression, support Abode of Chaos
This French art museum has attracted protests for its chaotic topical imagery. But does that mean it should be closed?
The first thing you see when you walk through the blackened wrought-iron gates are the stony faces of Osama bin Laden, Mahmoud Ahmadinejad and other historical figures staring out from a graffiti-covered wall at a scene of utter devastation. Welcome to the Abode of Chaos, a sprawling outdoor contemporary art museum near Lyon in France. It is a place in which all references to the seemingly ordered and structured world outside are obliterated. And that is precisely the reason why some people would like to see it shut down.
If you believe in freedom of expression, support Abode of Chaos — > Read more – Lire la suite >>>
thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°14 exclusif de novembre 2014 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon
Classement Novembre 2014 – N°14
Notons que le classement Grand Lyon – Culture Facebook a fêté ses 1 an d’existence avec l’ensemble des acteurs qui ont été très participatifs et ont contribué à donner une dynamique à ce classement.

thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°14 exclusif de novembre 2014 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon
Pour rappel : Le Journal des Arts (Artnewspaper, Il Giornale del Arte… etc.) qui est la Bible de l’actualité de l’art à travers le monde a établi un palmarès des grandes villes d’art : le vainqueur est Lyon.
Les chiffres clés d’octobre 2014 de Facebook sont les suivants : 1,53 milliard d’utilisateurs. En France, 28 millions d’utilisateurs actifs dont 1,3 million de sites Facebook dédiés à la culture avec 98% des musées français connectés.
Pour l’Engagement Logarithmique (implication des membres sur l’acteur culturel), la Demeure du Chaos conforte amplement son passage avec 202 000 «J’aime» correspondant, dans le cadre des acteurs culturels, à un niveau d’échelle européenne. Selon les chiffres officiels Facebook, c’est plus d’1,2 million de lecteurs par jour, confirmant son Engagement Logarithmique qui progresse à un très haut niveau : 86 pour 202 000 «J’aime». Pour information, moins de 10 musées nationaux dépassent les 200 000 «J’aime» avec un Engagement Logarithmique >85 qui démontre une communauté très active et très impliquée.
La victoire en Cour de Cassation de la Demeure du Chaos par un arrêt du 24 juin 2014 relevant du plus haut degré de la hiérarchisation de ses décisions FS-P+B+I qui s’est principalement fondée sur le deuxième moyen de cassation, pris de la violation des articles 6.1 et 6.3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme a contribué à sa progression sur les réseaux sociaux sur un combat judiciaire de 1999 à 2014.
Le Musée des Beaux-Arts de Lyon confirme définitivement sa fulgurante progression en franchissant le cap des 166 000 «J’aime» grâce à son activité importante sur les réseaux sociaux et à sa dimension muséale dont la réputation est internationale. Mais attention, le Musée des Confluences (ouverture fin 2014) qui est rentré le mois dernier dans la compétition sera désormais le poids lourd du classement et au vu des communiqués deviendra inévitablement n°1 en 2015. En effet 1 million de visiteurs sont attendus la 1ère année. 23 000 m² d’exposition et 2,2 millions d’objets, à un tel niveau la compétition est mondiale.
La Biennale d’Art Contemporain de Lyon progresse elle aussi pour arriver désormais 6ème avec l’Orchestre National de Lyon qui gagne une place.
Une analyse poussée tant sur le Grand Lyon que sur les acteurs culturels nationaux démontre sans ambiguïté sur le secteur de la Culture que Facebook est le seul réseau social à être corrélé au volume de visiteurs. A contrario d’autres secteurs, Twitter et Google+ ne constituent pas un référent fiable pour mesurer l’empreinte des réseaux sociaux. Une étude du Journal des Arts où sociologues, conservateurs et analystes considèrent Facebook comme le principal marqueur indiquant la mutation du Musée et la corrélation avec le nombre de visiteurs. Chaque jour, l’ensemble de la presse écrite et audiovisuelle mesurent à partir de Facebook un secteur économique, un classement de personnalités publiques, etc… Le Monde et Le Figaro ont d’ailleurs repris les algorithmes de calcul du Groupe Serveur et d’Artprice pour «scorer» et analyser l’effet de l’annonce officielle du retour de N. Sarkozy qui a retenu Facebook comme média exclusif.
Nous avons donc pris les 20 acteurs culturels du Grand Lyon et leurs pages officielles Facebook qui sont de véritables marqueurs et E.R.P (Établissement Recevant du Public). Nous avons choisi les Beaux-Arts, l’Art Contemporain, le Théâtre, la Danse, la Musique, le Cinéma, Le Livre.
On peut noter que la contre-culture véritable, engagée dans un combat arrive au premier rang, face à des machines de guerre dotées d’un budget de plusieurs millions d’euros par an. 🙂
Pour terminer, les chercheurs, l’équipe du Musée l’OrgAne et le département d’économétrie du Groupe Serveur et d’Artprice, ont mis en lumière une pertinence par ces classements qui peuvent déranger mais qui n’ont en aucun cas, la volonté d’établir un quelconque classement qualitatif. Ce mois-ci encore, Socialbakers (n°1 mondial de l’analyse sur Facebook) conforte à nouveau les analyses du Groupe Serveur et d’Artprice.
thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°13 exclusif de octobre 2014 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon
Classement Octobre 2014 – N°13
Notons que le classement Grand Lyon – Culture Facebook a fêté ses 1 an d’existence avec l’ensemble des acteurs qui ont été très participatifs et ont contribué à donner une saine dynamique de compétition à ce classement.

thierry Ehrmann : En avant première, le classement N°13 exclusif de octobre 2014 des principaux acteurs culturels du Grand Lyon
Pour rappel : Le Journal des Arts (Artnewspaper, Il Giornale del Arte… etc.) qui est la Bible de l’actualité de l’art et de son marché à travers le monde a établi un palmarès des grandes villes d’art. Les vainqueurs sont Lyon, en tête, suivie de Bordeaux puis Strasbourg.
Pour l’Engagement Logarithmique (implication des membres sur l’acteur culturel), la Demeure du Chaos conforte amplement son passage avec 195 000 «J’aime» correspondant, dans le cadre des acteurs culturels, à un niveau d’échelle européenne. Selon les chiffres officiels Facebook, c’est plus d’1,2 millon de lecteurs par jour, confirmant son Engagement Logarithmique qui progresse à un très haut niveau : 88 pour 195 000 «J’aime». Pour information, moins de 10 musées nationaux dépassent les 180 000 «J’aime» avec un Engagement Logarithmique >85 qui démontre une communauté très active et très impliquée.
La victoire en Cour de Cassation de la Demeure du Chaos par un arrêt du 24 juin 2014 relevant du plus haut degré de la hiérarchisation de ses décisions FS-P+B+I qui s’est principalement fondée sur le deuxième moyen de cassation, pris de la violation des articles 6.1 et 6.3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme a contribué à sa progression sur les réseaux sociaux sur un combat judiciaire de 1999 à 2014.
Le Musée des Beaux-Arts de Lyon confirme définitivement sa fulgurente progression en franchissant le cap des 165 000 «J’aime» grâce à son activité importante sur les réseaux sociaux et à sa dimension muséale dont la réputation est internationale. La compétition se situe désormais entre la Demeure du Chaos et le Musée des Beaux-Arts de Lyon, avec la forte possibilité que ce dernier soit n°1 provisoirement. Il faut souligner que la progression mois par mois du Musée des Beaux-Arts est supérieur au Musée d’Art Contemporain – la Demeure du Chaos. Mais attention, le Musée des Confluences (ouverture fin 2014) qui est rentré le mois dernier dans la compétition sera désormais le poids lourd du classement et au vu des communiqués deviendra inévitablement n°1 en 2015. Concernant la Biennale de la Danse, celle-ci confirme une remontée spectaculaire qui la positionne dans le TOP 10 en septembre. La Biennale d’Art Contemporain de Lyon progresse elle aussi pour arriver désormais 6ème avec l’Orchestre National de Lyon qui gagne une place.
Une analyse poussée tant sur le Grand Lyon que sur les acteurs culturels nationaux démontre sans ambiguïté sur le secteur de la Culture que Facebook est le seul réseau social à être corrélé au volume de visiteurs. A contrario d’autres secteurs, Twitter et Google+ ne constituent pas un référent fiable pour mesurer l’empreinte des réseaux sociaux. Une étude du Journal des Arts où sociologues, conservateurs et analystes considèrent Facebook comme le principal marqueur indiquant la mutation du Musée et la corrélation avec le nombre de visiteurs. Chaque jour, l’ensemble de la presse écrite et audiovisuelle mesurent à partir de Facebook un secteur économique, un classement de personnalités publiques, etc…Le Monde et Le Figaro ont d’ailleurs repris les algorithmes de calcul du Groupe Serveur et d’Artprice pour «scorer» et analyser l’effet de l’annonce officielle du retour de N. Sarkozy qui a retenu Facebook comme média exclusif.
Nous avons donc pris les 20 acteurs culturels du Grand Lyon et leurs pages officielles Facebook qui sont de véritables marqueurs et E.R.P (Etablissement Recevant du Public). Nous avons choisi les Beaux-Arts, l’Art Contemporain, le Théâtre, la Danse, la Musique, le Cinéma, Le Livre.
On peut noter que la contre-culture véritable, engagée dans un combat arrive au premier rang, face à des machines de guerre dotées d’un budget de plusieurs millions d’euros par an.
Pour terminer, les chercheurs, l’équipe du Musée l’OrgAne et le département d’économétrie du Groupe Serveur et d’Artprice, ont mis en lumière une pertinence par ces classements qui peuvent déranger mais qui n’ont en aucun cas, la volonté d’établir un quelconque classement qualitatif. Ce mois-ci encore, Socialbakers (n°1 mondial de l’analyse sur Facebook) conforte à nouveau les analyses du Groupe Serveur et d’Artprice.
Artprice : le Rapport sur le Marché de l’Art Contemporain 2013/2014 est en ligne
Artprice : le Rapport sur le Marché de l’Art Contemporain 2013/2014 est en ligne
Thierry Ehrmann fondateur et président d’Artprice : Artprice.com a le plaisir de vous présenter sa 8ème édition exclusive du Rapport sur le Marché de l’Art Contemporain.
La version PDF du rapport annuel Artprice sur le Marché de l’Art Contemporain est téléchargeable sur Artprice :
http://imgpublic.artprice.com/pdf/artprice-contemporary-2013-2014-fr.pdf
Il contient des classements exclusifs tel que le Top 500 des artistes contemporains par chiffre d’affaires.
Artprice enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 4 500 Maisons de ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 6 300 titres de presse dans le monde.
Le marché de l’art contemporain aux enchères a franchi la barre des 2 milliards de dollars de recettes sur la période juillet 2013-juillet 2014, réalisant ainsi la meilleure année de son histoire.
Record pour une œuvre contemporaine vendue aux enchères avec Jeff Koons (38,8 m€), record du nombre d’adjudications millionnaires (179), record d’un marché haut de gamme à huit chiffres (13) et meilleure vente aux enchères de tous les temps grâce à une cession d’art d’après-guerre et contemporain chez Christie’s. Le secteur contemporain n’a jamais été aussi compétitif et spéculatif.
En quatre petites années, le chiffre d’affaires mondial réalisé en salles de ventes – toutes périodes confondues – a presque doublé depuis le ralentissement de 2009-2010, époque où fut enregistrée une baisse des prix de l’ordre de -48 %.
Le retour de l’opulence ne s’est pas fait attendre, porté par une structure de marché profondément modifiée à bien des niveaux, dont la globalisation et la dématérialisation accrue des ventes font partie. La spéculation galopante des années 2004-2007 est à nouveau de mise. Le marché contemporain s’affiche plus opulent que lors de la micro-bulle de 2007-2008, époque d’une véritable flambée et de recettes annuelles en hausse de +50 % pour un nombre stable d’œuvres vendues.
Un nouveau pic est atteint cette année 2013-2014, la meilleure de l’histoire de l’art contemporain aux enchères, à la fois en terme de recettes annuelles, de croissance de prix et de records d’adjudications.
La cote des artistes nés après 1945 suit la tendance et n’a jamais été si haute. Elle dépasse même de 15 % les niveaux atteints au plus fort de l’année 2007. Au final, l’indice global des prix de l’art contemporain progresse de +70 % sur la décennie.
L’art business s’épanouit dans une bulle qui n’éclate pas et dans une croissance qui perdure sur les biens les plus haut de gamme. Le marché haut de gamme récompense cette année 13 œuvres contemporaines au-delà des 10 m€ et désigne l’œuvre la plus chère du monde sous les traits d’un Balloon Dog géant de Jeff Koons, vendu plus de 38,8 m€ au marteau.
Les signatures les plus spéculatives de l’art, considérées par certains comme des valeurs sûres malgré l’affolement des prix et la volatilité du secteur, sont propulsées par de puissants réseaux de galeries prescriptives, d’institutions prestigieuses, de curateurs et de conseillers d’achat, et par divers acteurs forts du marché de l’art dont les sociétés de ventes leaders font partie intégrante.
La prospérité repose à la fois sur des mécanismes bien rodés et sur l’appétit féroce d’investisseurs portant les enchères depuis le monde entier. Le marché de l’art contemporain s’est transformé en ovni économique avec la globalisation de la demande, dont l’arrivée massive d’investisseurs richissimes.
Séduite par la diversification de placement et par des taux de rentabilité exceptionnels, la demande s’est considérablement accrue, tant et si bien qu’il se vend cinq fois plus d’œuvres aujourd’hui qu’il y a 10 ans avec des niveaux de prix incomparables.
La version PDF du rapport annuel Artprice Marché de l’art contemporain est téléchargeable sur Artprice en français et en anglais. Les versions allemande, italienne, espagnole et chinoise sont aussi disponibles.
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A propos de la volatilité du cours de bourse d’Artprice et des forts volumes quotidiens indépendants d’Artprice, la société renvoie le lecteur au document de référence Artprice 2013 déposé à l’A.M.F le 17/07/2014 sur le chapitre 4.3.22 et suivant facteurs » Risques de Marché » et notamment sur le « Risques actions » 4.1.3 et suivants. De même, Artprice souligne le très grave problème que constitue le principal forum français Boursorama Banque sur Artprice, objet quotidien de fausses informations et de violations répétées du Code Monétaire et Financier (qui sont traitées en détail avec les procédures judiciaires en cours dans le document de référence 2013 chapitre 4.3.22) » Risques liés aux Forums de bourse parlant d’Artprice et principalement le forum Boursorama en infraction avec le code monétaire et financier » page 50 à 51 en ligne sur le diffuseur homologué par l’AMF, addendum page 56-57 du rapport financier semestriel 2014 sur le diffuseur homologué par l’AMF, http://www.actusnews.com).
Artprice: the 2013/2014 Contemporary Art Market Report is now online
Artprice : Der Jahresbericht über den Markt zeitgenössischer Kunst 2013/2014 ist jetzt online.
Résultat officiel : Pierre CURTELIN (conseiller sortant) élu maire de Saint Romain au Mont d’Or sur sa liste unique.
Résultat officiel : Pierre CURTELIN (conseiller sortant) élu maire de Saint Romain au Mont d’Or sur sa liste unique.
– Suffrages – Inscrits : 847 – Abstentions : 43,57% (369 inscrits) – Votants : 56,43% (478 inscrits) – Exprimés : 49,94% * (423 votes) – Blancs ou nuls : 6,49% * (55 votes) * calculé par rapport au nombre d’inscrits.
Artprice accélère son process de normalisation du Marché de l’Art
Comme annoncé dans son communiqué du 14 mai 2012, Artprice a démarré progressivement, ce début juin, la mise en ligne sur Internet d’une grande partie de la structure de ses banques de données et de sa normalisation du Marché de l’Art en mode freeware, (licence informatique propriétaire distribuée gratuitement sans toutefois conférer à l’utilisateur certaines libertés d’usage). L’ensemble des process industriels d’Artprice formant ses banques de données est déposé et protégé, notamment par les dépôts l’A.P.P. (Agence de Protection des Programmes).
Depuis le 1er juin 2012, le Monde de l’Art, notamment les Institutionnels, Universités, Musées, Fondations, Bibliothèques, Services Judiciaires & Douanes, Sociétés de Droits d’Auteurs (type ADAGP), Assureurs, Bases encyclopédiques (type Wikipedia), Internet Directories et bien sûr Maisons de ventes, Galeries, Associations d’experts, ont désormais accès en clair à la base de données Artists-index.com d’Artprice. Cette banque de données normalisée Artist-id.com est considérée par les Acteurs du Marché de l’Art, mais aussi par les Historiens et Chercheurs, comme de très loin, la plus exhaustive au monde. Elle est disponible, outre le français, en 5 langues (anglais, allemand, italien, espagnol et chinois). Pour découvrir la base de données à plat et en clair : <a href= »http://web.artprice.com/artists/directory/A » title= »Index complet des artistes recensés par Artprice » target= »_blank »>http://web.artprice.com/artists/directory/A</a>
Ces acteurs vont bénéficier aussi du développement d’Artprice en B to B sur des A.P.I. ouvertes réalisées sous une architecture REST (Representational State Transfer) qui est une manière novatrice de construire une application pour les systèmes fixes et mobiles, qui reprend l’architecture originale du Web. Une telle base Artistes, qui s’enrichit tous les jours, est le fruit de dizaines d’acquisitions dans le monde par Artprice et près d’un million d’heures de ses Historiens, Rédacteurs et Développeurs de 1997 à 2012 (cf détail et historique dans le document de référence Artprice disponible sur le site homologué de l’AMF).
Selon thierry Ehrmann, Fondateur et Président d’Artprice, cette stratégie de gratuité intégrale mise en place dans le Monde de l’Art permet à Artprice de renforcer la normalisation du marché de l’art pour accélérer, notamment, sa Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères pour être un acteur mondial incontournable de la libéralisation des enchères au niveau du Marché de l’art, en devenant une infrastructure normalisée permettant de réaliser en 2012 des opérations de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique (article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011).
Ces process industriels qui normalisent le Marché de l’Art (ID artiste, ID oeuvre, ID catalogue raisonné, ID bibliographie, …) avec des millions de données propriétaires sont en train de se déployer dans le marché de l’Art, notamment avec le partenariat signé avec Google en 2003 sans impacter le chiffre d’affaires et le résultat d’Artprice 2012 pour générer une accélération très forte du fichier clients mais aussi par le développement des d’A.P.I. ouvertes réalisées sous architecture REST. Une application mobile est en cours de développement, tant pour l’Ipad et l’Iphone, que pour l’OS Android de Google.
Par ces nouveaux process de normalisation issus de sa Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères, Artprice peut, dès ce mois-ci, basculer des d’informations très conséquentes en mode freeware dans le but de porter avant fin décembre son fichier client de 1,4 million avec ses logs de comportements (achat, vente, recherche, portefeuille d’œuvres etc..) à 2 millions.
Source: http://www.artprice.com ©1987-2012 thierry Ehrmann
A propos d’Artprice:
Artprice invite ses actionnaires et le marché, pour comprendre précisément cette révolution législative et historique de 5 siècles et l’impact sur Artprice, à lire en 50 questions-réponses courtes et pédagogiques la synthèse faite en mars 2012 de la Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères depuis son lancement fin janvier 2012.
Lien Internet ci joint sur Actusnews, site homologué de l’AMF à l’adresse ci-jointe :
http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-26960
Artprice est le leader mondial des banques de données sur la cotation et les indices de l’Art avec plus de 27 millions d’indices et résultats de ventes couvrant 495 000 Artistes. Artprice Images® permet un accès illimité au plus grand fonds du Marché de l’Art au monde, bibliothèque constituée de 108 millions d’images ou gravures d’oeuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par ses historiens. Artprice enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 4 500 Maisons de ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 6 300 titres de presse dans le monde. Artprice diffuse auprès de ses 1 400 000 membres (member log in), ses annonces, qui constituent désormais la première Place de Marché Normalisée® mondiale pour acheter et vendre des oeuvres d’Art à prix fixes ou aux enchères (réglementée par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce).
Artprice est cotée sur Eurolist by Euronext Paris au compartiment B, SRD long only : Euroclear : 7478 – Bloomberg : PRC – Reuters : ARTF
Sommaire des communiqués d’Artprice: http://serveur.serveur.com/press_release/pressreleasefr.htm
Découvrir l’alchimie et l’univers d’Artprice http://web.artprice.com/video dont le siège social est le célèbre Musée d’art contemporain Abode of Chaos / Demeure du Chaos.
Suivre en temps réel toute l’actualité du Marché de l’art avec Artprice sur Twitter:
http://twitter.com/artpricedotcom
Artprice Rapport Financier Annuel 2011 : Résultats bénéficiaires
Artprice Rapport Financier Annuel 2011 : Résultats bénéficiaires.
Au 31/12/2011, Artprice dégage un résultat bénéficiaire de 439 KE en compte sociaux et un résultat net consolidé groupe de 94 KE. Il faut souligner la performance d’Artprice d’avoir maintenu un résultat positif et enregistré un chiffre d’affaires annuel de 5 220 KE alors que la société est passée, durant l’année 2011, d’un modèle semi-payant à un modèle 100% gratuit pour sa Place de Marché Normalisée à prix fixe, permettant ainsi d’absorber plus rapidement que prévu le marché mondial des ventes d’art de gré à gré sans la moindre perte d’exploitation.
De même, tous les investissements relatifs à la Directive Européenne sur les services (libéralisation des ventes aux enchères par voie électronique par la loi 2011-850 du 20 juillet 2011) ont été intégralement comptabilisés en poste de charge sur l’exercice 2011, notamment tous les développements très conséquents relatifs à la Place de Marché Normalisée ® à prix fixe et aux enchères cette dernière étant pleinement opérationnelle depuis le 18 janvier 2012.
Le Rapport Financier Annuel 2011, incluant les honoraires des CAC et le rapport du Président sur le contrôle interne est disponible aux adresses suivantes :
http://serveur.serveur.com/Press_Release/2012_communication_financiere.html
http://www.actusnews.com/documents/ACTUS-0-4408-artprice-rapport-financier-2011.pdf
Selon thierry Ehrmann, Fondateur et Président d’Artprice, cette stratégie de gratuité de la Place de Marché Normalisée à prix fixe désormais confortée par près de 8 ans de croissance exponentielle de l’offre était nécessaire à Artprice pour être un acteur mondial incontournable de la libéralisation des ventes aux enchères d’art en 2012, par voie électronique, par sa Place de Marché Normalisée aux enchères et à prix fixe, protégée au titre de la propriété intellectuelle.
Le modèle de la Place de Marché Normalisée à prix fixe est désormais éprouvé et validé par le marché de l’Art notamment en période de crise majeure. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon le rapport d’activité 2005 du Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques, "l’offre sur Artprice était de 1,3 milliard d’euros d’oeuvres d’Art". En 2006, l’offre était de 2,7 milliards d’euros d’oeuvres d’Art. En 2007, l’offre était de 4,32 milliards d’euros d’oeuvres d’Art. En 2008, l’offre était de 5,4 milliards d’euros d’oeuvres d’Art. En 2009, l’offre était de 5,85 milliards d’euros. En 2011, Artprice confirme avoir quantifié un volume d’environ 6,3 milliards d’euros d’oeuvres d’art avec un taux de ventes estimé à environ, de l’ordre d’un tiers sur lesquelles Artprice n’est pas encore commissionnée.
Les capitaux propres, en comptes consolidés, s’améliorent à 13 246 KE, en 2011, contre 13 064 KE, en 2010. Ces résultats confirment la maîtrise des coûts d’exploitation en période d’instabilité économique mondiale et notamment sur le marché de l’Art. Artprice, en 15 ans, a mis en place l’ensemble des process industriels permettant de limiter l’effectif à une moyenne inférieure à 45 personnes pour un groupe où l’intégralité des charges en 2012, avec Artprice Images(R), demeurent inchangées jusqu’à désormais 90 ME de C.A en incluant cette année les charges potentielles découlant de l’extension de la Place de Marché Normalisée® d’Artprice aux enchères laquelle est opérationnelle depuis fin janvier 2012. (désormais réglementée par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce).
Artprice n’a aucun emprunt obligataire, une dette bancaire proche de zéro et dispose d’une trésorerie conséquente. Le chiffre d’affaires annuel (comptes sociaux) s’est élevé à 5 220 KE comme pour l’exercice précédent. Pour information, Artprice n’a jamais fait l’objet d’augmentation de capital à l’exception des opérations de levées d’options réservées à ses salariés. Ceci résulte d’une volonté affichée du Conseil d’Administration d’Artprice de ne pas diluer ses actionnaires et affaiblir le cours de l’action.
Enfin Artprice invite ses nouveaux actionnaires qui désirent connaître l’historique de la Société à prendre pleinement connaissance de son information réglementée et très détaillée dans son Rapport Financier Annuel 2011 et, notamment, au niveau des paragraphes 2.1 << Activité et événements importants survenus au cours de l’exercice >>, 2.2: – << Evénements importants intervenus depuis la date de clôture, le 31 décembre 2011, et perspectives d’avenir >> ,2.4 <<Analyses des risques>> et .2.6 << Informations complémentaires>> du rapport du Conseil d’Administration.
Concernant l’évolution du Marché de l’Art en 2012, face à l’incertitude d’une récession en Europe et d’une croissance anémique sur les autres continents, Artprice indique que, grâce à l’AMCI (indice de confiance d’Artprice du marché de l’art en temps réel), l’Art Market Confidence Index, qui fait désormais référence dans le marché de l’art et la presse économique, Artprice constate et confirme une hausse continuelle de son indice de confiance sur l’ensemble des pays qui représente 90 % du marché de l’art depuis fin 2011.
Cette confiance se retrouve aux USA qui ont été les premiers touchés par la crise du marché de l’Art mais aussi en Europe et bien sur en Asie. De même, la remontée des prix des oeuvres d’art (Artprice Global Index) sur l’ensemble des continents montre que la reprise du Marché de l’Art est définitivement en marche.
Les résultats spectaculaires enregistrés en 2011 sur le marché de l’Art, attestent les chiffres et prévisions d’Artprice. Au même titre que l’or, le marché de l’Art, a toujours été, historiquement, une valeur refuge face aux crises de grandes ampleurs et notamment aux dépréciations d’actifs financiers que l’économie mondiale continue d’affronter en 2012/2013.
On peut logiquement considérer que la crise, puis la reprise accompagnée d’une violente et rapide correction du marché de l’art avec l’irruption de la Chine au premier rang dès 2010 avec désormais pour 2011, près de 50% de part de marché des ventes aux enchères de Fine Art devant le Royaume-Uni et les USA est une opportunité de forte croissance pour Artprice. Il faut préciser que l’intégralité des services, produits, Place de Marché Normalisée aux enchères et à prix fixe ainsi que 27 millions de pages de données sont en chinois dans un marché de plus en plus dématérialisé et mondial.
En effet, l’économie du marché de l’art, comme tous les marchés, tend naturellement à privilégier le circuit le plus rapide, le moins coûteux, le plus liquide et celui permettant de trouver un prix de marché en temps réel avec une masse critique d’intervenants avec bien sur, une information transparente sur l’intégralité des prix et indices. La Place de Marché Normalisée d’Artprice à prix fixe et aux enchères et ses banques de données (toutes protégées au titre de la propriété intellectuelle) répondent exactement à ces cinq points.
Du fait de la crise économique et financière mondiale qui a changé, en une décennie, la géopolitique du marché de l’art mondial, la quasi totalité des maisons de ventes dans le monde, et principalement asiatique, se rapproche d’Artprice qui travaille avec elles en étroite collaboration depuis 1987, pour réaliser, avec l’adoption de la Directive Services relative aux enchères publiques, notamment par voie électronique, leurs enchères en ligne grâce à la Place de Marché Normalisée d’Artprice et ses 1,4 million de membres dans plus de 90 pays.
Il est vrai qu’en 12 ans, le nombre de connectés à Internet est passé de 90 millions à 2,7 milliards d’internautes devenus consommateurs de biens et de services, mais il faut surtout prendre en compte l’arrivée plus récente des "Silver surfeur" que sont les plus de 50 ans, à haut pouvoir d’achat et principaux utilisateurs d’Artprice, qui font désormais d’Internet leur terrain de prédilection pour la recherche d’oeuvres d’art dans le monde.
Le triomphe commercial de l’Internet mobile colle parfaitement à Artprice, car sa clientèle est par nature nomade et a besoin d’informations dans le feu de l’action, comme les experts, les assureurs, les galeristes, les auctioneers, les douanes et bien sûr les collectionneurs et amateurs en situation d’achat ou de vente en galerie ou en salle des ventes.
L’Internet mobile pour Artprice devrait représenter sous peu de temps, 80% de ses consultations. Artprice en 2011 est déjà à plus de 30%. L’ensemble des grands bureaux d’études émet une prévision en nombre de Smartphones vendus pour 2012 qui se situe entre 550 et 700 millions de nouveaux internautes mobiles. En 2015, c’est plus de 3,5 milliards d’internautes mobiles qui pourront potentiellement se connecter à Artprice.
Afin d’accroître le niveau de sécurité et de confiance dans l’économie numérique, Artprice s’est rapprochée en 2011 d’Interpol Monde où sur l’ensemble des pages clés des banques de données d’Artprice et principalement sur la Place de Marché Normalisée, figurent de manière permanente le logo Interpol et le lien hypertexte vers INTERPOL’s Stolen Works of Art database permettant à la clientèle d’Artprice de vérifier si l’oeuvre présentée fait l’objet d’une poursuite judiciaire. A contrario de services de ventes aux enchères grand public et notoirement connus, Artprice impose à sa clientèle une présence judiciaire permanente donnant ainsi la confiance nécessaire au bon développement de sa Place de Marché Normalisée à prix fixe ou aux enchères.
De même, son concours depuis 5 ans avec près de 70 polices judiciaires de différentes nationalités, a permis à Artprice d’établir un niveau de confiance rarement égalé sur l’Internet, renforcé par la collaboration constante avec les artistes, les ayants droits et les experts.
Au coeur de sa Place de Marché Normalisée, Artprice possède le fichier clients qualifié fine art le plus important au monde. Ce fichier clients (conservation des logs de comportements clients en accord avec les différentes directives Françaises et Européennes ) est, dans le marché de l’art, la base de la réussite d’une vente aux enchères cataloguée depuis la naissance des enchères d’art en Europe au début du XIX siècle.
Artprice invite ses actionnaires et le marché, pour comprendre précisément cette révolution législative et historique de 5 siècles et l’impact sur Artprice, à lire en 50 questions-réponses courtes et pédagogiques la synthèse faite en mars 2012 de la Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères depuis son lancement fin janvier 2012.
Lien Internet ci joint sur Actusnews, site homologué de l’AMF à l’adresse ci-jointe :
http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-26960
Artprice avec plus de 12 ans de communication réglementée, se fait un point d’honneur à produire toute l’information nécessaire aux professionnels des marchés financiers, mais aussi aux néophytes du marché de l’art. Toutes les questions des 18 000 actionnaires d’Artprice trouvent systématiquement leurs réponses dans l’information réglementée d’Artprice qu’elle diffuse en ligne sur Internet sur son propre site et sur celui de son diffuseur, homologué par l’AMF, ActusNews (www.actusnews.com).
Source: http://www.artprice.com ©1987-2012 thierry Ehrmann
Artprice est le leader mondial des banques de données sur la cotation et les indices de l’Art avec plus de 27 millions d’indices et résultats de ventes couvrant 450 000 Artistes. Artprice Images(R) permet un accès illimité au plus grand fonds du Marché de l’Art au monde, bibliothèque constituée de 108 millions d’images ou gravures d’œuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par ses historiens. Artprice enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 4 500 Maisons de ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 6 300 titres de presse dans le monde. Artprice diffuse auprès de ses 1 300 000 membres (member log in), ses annonces, qui constituent désormais la première Place de Marché Normalisée® mondiale pour acheter et vendre des oeuvres d’Art à prix fixes ou aux enchères (réglementée par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce). Source Artprice Artprice est cotée sur Eurolist by Euronext Paris au compartiment B, SRD long only : Euroclear : 7478 – Bloomberg : PRC – Reuters : ARTF Découvrir l’alchimie et l’univers d’Artprice http://web.artprice.com/video/ dont le siège social est le célèbre Musée d’art contemporain Abode of Chaos. Sommaire des communiqués d’Artprice : Suivez en temps réel toute l’actualité du marché de l’art : |
Mise au point d’Artprice dans le cadre des conflits l’opposant à Boursorama S.A.
Suite à de nombreuses demandes d’actionnaires d’Artprice, la société Artprice prend acte que la société Boursorama, principalement selon la présidente en exercice Inès-Claire MERCEREAU, considère qu’il n’existe pas de conflit et/ou de procédure entre Artprice et Boursorama SA.
Artprice tient à ramener la preuve à son actionnariat que toutes les démarches et procédures possibles ont été réalisées à l’égard de Boursorama SA.
En effet, Artprice fait valoir son bon droit et rétablit la vérité, que Boursorama nie, en communiquant une courte extraction des très nombreux P.V. d’huissier délivrés à la demande d’Artprice à la société Boursorama S.A. sur la période 2011-2012, avec une énième signification datant du vendredi 23 mars 2012.
http://serveur.serveur.com/Press_Release/2012_pdf/extraits-pv-huissiers-artprice-contre-boursorama.pdf
Ces extractions de P.V. comportent entres autres des significations, des sommations itèratives…. faites à Boursorama SA dont le siège est 18 quai du Point du Jour 92100 Boulogne Billancourt pour lui demander de faire cesser les infractions et délits constatés sur son forum ou, à défaut, de fermer ledit forum si Boursorama est dans l’incapacité de faire face à la situation.
Ces actes ont été délivrés par le ministère de notre Huissier lyonnais, Me Mamet, et son confrère en région parisienne. Artprice confirme, par la présente, ne jamais avoir, sous quelque forme que ce soit, reçu de Boursorama SA la moindre réponse constructive. Artprice peut sereinement déclarer que Boursorama, par son silence confondant et son absence absolue de toute décision de nature à faire cesser les infractions, les délits pénaux et les violations répétées du code monétaire et financier, est désormais, à minima, complice passive des infractions qu’elle laisse se dérouler en toute impunité sur son forum.
Pour des raisons de confidentialité et/ou du fait du secret de l’instruction, les coordonnées privées et destinataires en copie desdits P.V. sont biffés. Par ailleurs, Artprice communique à nouveau le conflit Artprice-Boursorama relaté au chapitre 4.3.22 de son document de référence 2010 consacré aux risques (cf ci-dessous), ce facteur risque est aussi systématiquement présent dans les rapports des comptes semestriels et annuels qui sont notamment en ligne sur actusnews à l’adresse suivante :
http://www.actusnews.com/societe_documents.php?ID=ART
« 4.3.22) Risques liés aux Forums de bourse parlant d’Artprice et principalement le forum Boursorama
Artprice ne peut en aucun cas être tenu responsable des propos tenus sur les forums de bourse parlant du titre Artprice. La politique de communication d’Artprice respecte strictement les dispositions imposées, notamment, par le code monétaire et financier. A ce titre, quelles que soient les circonstances, Artprice s’interdit formellement d’intervenir de quelque manière que ce soit sur les forums. Cependant il faut souligner que le forum Boursorama (leader incontesté en France des forums dédiés à la bourse) consacré à Artprice fait l’objet de poursuite d’Artprice contre Boursorama. En effet, malgré de nombreuses mises en garde, LRAR, mesures conservatoires par voie d’huissier, requêtes et ordonnances du TGI, la société Boursorama (groupe Société Générale), par son laxisme répété, agit en violation du code monétaire et financier qu’elle ne peut pourtant prétendre ignorer, étant elle même cotée sur Eurolist et possédant, de surcroît, le statut de banque. Artprice a renouvelé, à plusieurs reprises la procédure par voie d’huissier et sommation itérative, de faire cesser les délits cités au présent paragraphe, à sa présidente en exercice, Mme Ines-Claire MERCEREAU, lors de sa prise de fonction, afin qu’elle ne fasse pas prévaloir sa méconnaissance des délits qui se perpétuent sur le forum de Boursorama et dont elle est pleinement responsable en sa qualité de mandataire social de Boursorama Banque. Boursorama essaie de faire prévaloir qu’il n’est qu’un simple hébergeur avec de modestes moyens alors que c’est bien sur le courrier entête Boursorama Banque et le RCS de cette même banque que la Présidente tente en vain de faire croire à Artprice qu’elle n’a qu’un statut d’hébergeur.
Depuis début 2011, la situation avec Boursorama s’est nettement dégradée malgré les nombreuses mises en demeure signifiées par voie d’huissier. Artprice considère que Boursorama, filiale de la Société Générale, viole de manière constante le code monétaire et financier et permet, par ses forums, malgré les mises en garde sévères de l’AMF, de laisser opérer certains individus qui créent, dans la même journée, des mouvements de panique par de fausses informations permettant d’effondrer les « stop » pour, toujours dans la même journée, créer des variations intraday leurs permettant, sur d’énormes volumes, de réaliser des plus-values conséquentes par des maneuvres formellement prohibées.
La position d’Artprice est extrèmement claire et considère, qu’après toutes les mises en demeure et plaintes, que la société Boursorama est, au minimum, complice passive desdits agissements décrits au présent paragraphe. Artprice cirularise régulièrement à l’AMF les significations et P.V d’huissier faits à sa Présidence en exercice, Mme Ines-Claire MERCEREAU, pour que les services de l’inspection de l’AMF puissent enquêter sur les Forums de Boursorama qui, de manière unanime sont reconnus par la communauté financière comme étant un outrage permanent à l’AMF, au code monétaire et financier et au droit pénal commun. De très nombreux actionnaires d’Artprice ont, par écrit et oralement, confirmé à Artprice qu’ils constataient de leurs cotés, indépendamment d’Artprice, les mêmes délits que ceux décrits par Artprice au présent paragraphe. Il est d’autant plus troublant de constater qu’Artprice est, de manière quasi systématique, dans les 5 premiers forums, sur plusieurs milliers, et que Boursorama, en parallèle, affiche les plus fortes ventes ou les plus forts achats en sa qualité de Courtier en ligne sur le même service que les forums. Ceci renforce la suspicion portée sur Boursorama Banque qui ose se prétendre simple hébergeur en ligne alors que le présent paragraphe démontre une orchestration parfaite destinée à stimuler les achats/ventes d’actions en ligne par les clients de Boursorama. »
Artprice est le leader mondial des banques de données sur la cotation et les indices de l’Art avec plus de 27 millions d’indices et résultats de ventes couvrant 450 000 Artistes. Artprice Images(R) permet un accès illimité au plus grand fonds du Marché de l’Art au monde, bibliothèque constituée de 108 millions d’images ou gravures d’oeuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par ses historiens. Artprice enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 4 500 Maisons de ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 6 300 titres de presse dans le monde. Artprice diffuse auprès de ses 1 400 000 membres (member log in), ses annonces, qui constituent désormais la première Place de Marché Normalisée(R) mondiale pour acheter et vendre des oeuvres d’Art à prix fixes ou aux enchères (réglementée par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce).
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Kunstmarkt : exklusivinterview mit Thierry Ehrmann, Gründer und CEO von Artprice (7. März 2012)
Boursica:
Am 5. Juni und 9. Oktober haben wir mit Ihnen ausführlich gesprochen. Jetzt sind wir Anfang März 2012 und die Auktionen haben vor eineinhalb Monaten begonnen. Welche Erfahrungen haben Sie gesammelt?
Thierry Ehrmann:
Um dieses Gespräch gut zu verstehen, sollten Ihre Leser zuerst die beiden Interviews vom 5. Juni 2011 und vom 9. Oktober 2011 lesen, auf denen ich aufbaue. Nachdem wir also 16 Jahre lang gegen eines der ältesten Monopole der Welt gekämpft hatten, konnten wir am 18. Januar 2012 endlich mit den Auktionen beginnen. In Frankreich waren Kunstauktionen nämlich nach einem Edikt aus dem Jahr 1556 genehmigungspflichtig. Es ist uns jedoch schließlich gelungen, den freien Wettbewerb auf der Grundlage des Gesetzes vom 20. Juli 2011 durchzusetzen.
Boursica:
Sie sind also ein Auktionshaus geworden?
Thierry Ehrmann:
Nein, genau genommen sind wir über unseren standardisierten Auktionsmarktplatz® Online-Auktionsmakler gemäß § 5 des Gesetzes 2011-850 vom 20. Juli 2011 geworden.
Boursica:
Könnten Sie das etwas genauer erklären?
Thierry Ehrmann:
Artprice hält zahlreiche Patente im Rahmen des geistigen Eigentums (Schutzrechte, Software, Urheberrecht etc.) und kann so weltweit einzigartige Verfahren zur Standardisierung des Kunstmarkts einsetzen, mit denen wir über unseren standardisierten Marktplatz Angebot und Nachfrage in Echtzeit zu Festpreisen oder im Rahmen von Versteigerungen zusammenbringen. Wir haften nicht für die Auktion, da wir nicht an die Parteien (Käufer und Verkäufer) gebunden sind. Der Verkäufer wählt auf Grundlage seiner eigenen Kriterien das für ihn günstigste Angebot aus und zahlt uns 5 bis 9 Prozent Provision für die Nutzung unseres standardisierten Marktplatzes und unserer Kundendatei. Diese Datei ist derzeit die umfangreichste der Welt. Sie zählt 1,4 Millionen Mitglieder, von denen wir genau wissen, was sie suchen oder anbieten.
Boursica:
Sprechen wir über die letzten eineinhalb Monate. Was haben Sie in diesen sieben Wochen festgestellt?
Thierry Ehrmann:
Zuerst haben wir eine einzigartige Herausforderung angenommen. Am 18. Januar 2012 standen mehr als 5.000 Posten im Wert von über 810 Millionen Euro zum Verkauf. Die Preise reichten von einigen Hundert Euro bis hin in den zweistelligen Millionenbereich.
Um die ersten 45 Auktionstage besser zu beschreiben, muss ich zuerst erklären, wie die Transaktionen sich auf Artprice entwickelt haben. Der standardisierte Festpreis-Marktplatz ging am 18. Januar 2005 online. Er fand sofort großen Anklang. 2005 wurden Kunstwerke im Wert von 1,2 Milliarden Euro angeboten, 2006 waren es bereits mehr als 2,7 Milliarden Euro, 2007 3,6 Milliarden Euro, 2008 4,5 Milliarden Euro und 2009 5,4 Milliarden Euro. 2010/2011 stabilisierte das Angebot sich bei rund 6,3 Milliarden Euro. Etwa 30 Prozent der Angebote führten zu Abschlüssen, für die wir keine Provisionen erhielten. Die genauen Zahlen stehen im Referenzdokument, das auf ActusNews abgerufen werden kann, einer von der französischen Finanzmarktaufsicht AFM zugelassenen Website. 2012, als die Auktionen eingeführt wurden, reagierten die Kunstmarktteilnehmer sehr positiv. Die Versteigerungen fanden sofort großen Anklang. Der harte Kern rund um Drouot, das heißt die alte, unbelehrbare Garde, war jedoch äußerst negativ eingestellt und versuchte sich sogar mit Drohungen, was bis dahin in Europa undenkbar gewesen war.
Boursica:
Sprechen wir zuerst über die positive Reaktion und den Erfolg.
Thierry Ehrmann:
Eine Generation von Galeristen, Auktionshäusern, Kunsthändlern, Künstlern, Sammlern und Kunstliebhabern hat sehr schnell verstanden, dass nichts mehr so wie früher sein wird. Durch die zeitliche Begrenzung der Auktionen ist die Zahl der Transaktionen im Vergleich zum Festpreismarkt, wo die Zeit keine so wichtige Rolle spielt, in die Höhe geschnellt. In den folgenden Tagen konnten wir den Traffic gemessen an Bandbreite und Anmeldungen verfünffachen. Wir erhielten äußerst vielfältige Berichte und Beiträge. Artprice bietet mit ihrer Kundendatei, der umfangreichsten der Welt (1,4 Millionen Mitglieder), und Milliarden von Verhaltenslogs, die gemäß den europäischen und französischen Richtlinien gespeichert sind, einer ganzen Generation von Marktteilnehmern zwischen 25 und 50 Jahren die Möglichkeit, von zu Hause oder dem Büro aus in wenigen Sekunden mehrere Zehntausend potenzielle Käufer in Bezug auf bestimmte Künstler aus der ganzen Welt anzusprechen, auch noch kaum bekannte, und deren Werke anzubieten. Wir hatten einzigartige Diskussionen mit diesen Teilnehmern, die den Mut haben, ihre eigenen Vertriebsverfahren in Frage zu stellen.
Boursica:
Worum ging es in diesen Diskussionen?
Thierry Ehrmann:
Diese Akteure des Kunstmarkts stellen ihre gesamte Tätigkeit in Frage. Sie entdecken plötzlich, dass sie tatsächlich mehr Käufer ansprechen können als die größten Auktionshäuser und die berühmtesten Galeristen der Welt. Sie sind auf ihre eigenen Kundendateien beschränkt und müssen an kostspieligen internationalen Kunstmessen teilnehmen, um auf anderen Erdteilen Fuß zu fassen, während ihnen Artprice und der standardisierte Auktionsmarktplatz einen wirtschaftlichen Paradigmenwechsel ermöglicht, mit dem sie über das Internet alle fünf Kontinente erobern können.
Boursica:
Was verstehen Sie unter einem wirtschaftlichen Paradigmenwechsel?
Thierry Ehrmann:
Sie verstehen, dass ihr betriebswirtschaftliches Modell, d.h. hohe Margen und wenige Verkäufe, da sie keine große Kundendatei haben, nicht mehr tragbar ist. Einige erwägen, einen Teil ihrer Galerie oder eine Zweigstelle zu schließen, andere wiederum denken daran, die physischen Verkaufsräume aufzugeben. Sie entdecken, dass der weltweite Kunstmarkt, der in den Nachkriegsjahren 500.000 Sammler zählte und heute 450 Millionen „Kunstkonsumenten“ umfasst, ihnen endlich offen steht und sie in wenigen Minuten von zu Hause oder ihrem Büro aus auf ihn zugreifen können. So können sie ihre viel zu hohen Margen kürzen und ihren Umsatz in einem solchen Maß steigern, wie sie es sich wegen der mangelnden Ressourcen und fehlenden Internetkenntnisse nie erhofft hätten. In eineinhalb Monaten haben wir viele Hemmnisse und Schwierigkeiten abgebaut. Wenn wir die 14 Tage der Auktion, die Lieferung-Zahlung an einen vertrauenswürdigen Dritten (rund 14 Tage bei internationalen Überweisungen) und den Abschluss zwischen Käufer und Verkäufer, der für die endgültige Freigabe zuständig ist, berücksichtigen, dann gehen bei uns jetzt erst die Provisionen aus den ersten Auktionen 2012 ein. Wir werden sicher bald angenehme Überraschungen erleben, da seit der Eröffnung der Auktionen am 18. Januar 2012 immer mehr Versteigerungen auf dem standardisierten Marktplatz abgehalten werden.
Boursica:
Haben Sie Ihr Postulat mit dem der angelsächsischen Auktionshäuser verglichen?
Thierry Ehrmann:
Sie müssen unbedingt den ganzseitigen Artikel von Martine Robert in der französischen Tageszeitung Les Echos vom 3. März 2012 lesen, wo dem Jahresbericht von Artprice über den Kunstmarkt ein Gespräch mit dem Präsidenten von Christie’s gegenübergestellt wird, der abschließend bemerkt: „Die Zukunft des Middle Market zwischen 800 und 10.000 Euro liegt im Internet.“ Wer könnte es besser wissen als Christie’s?
Als Präsident von Artprice möchte ich unterstreichen, dass 81 Prozent der Transaktionen weltweit auf dieses Marktsegment entfallen. Sogar eine altehrwürdige Institution des Kunstmarkts ist demnach der Ansicht, dass 81 Prozent über das Internet laufen werden, d.h. über unseren standardisierten Marktplatz, da wir die unbestrittenen Marktführer auf diesem Gebiet sind.
Boursica:
Sie haben Hemmnisse und Schwierigkeiten erwähnt. Könnten Sie näher darauf eingehen?
Thierry Ehrmann:
Ein großes Problem war die vertrauenswürdige dritte Partei. Wir haben uns an den weltweit führenden Treuhänder „escrow.com“ gewandt.
Die Vorgangsweise des Unternehmens ist perfekt, leider akzeptiert es aber nur Zahlungen in US-Dollar, was vor allem für europäische Kunden ein beachtliches Hindernis darstellt. Wir haben also im Rahmen einer Ausschreibung nach einem zweiten vertrauenswürdigen Dritten gesucht und ihn auch in einer Rekordzeit gefunden. Transpact mit Sitz in England verwaltet seit Mitte Februar Zahlungen in US-Dollar, Euro und Britischen Pfund. Schließlich mussten wir noch die Verständigungsprobleme lösen.
Artprice ist in sechs Sprachen übersetzt, aber die Texte auf den Websites der Treuhänder sind ausschließlich auf Englisch verfasst. Da die auf dem Spiel stehenden Beträge sehr hoch sind, wollen unsere Kunden natürlich jede einzelne Etappe genau verstehen, sowohl die rechtlichen Aspekte als auch die praktischen Seiten. Sie wollen wissen, wie die Treuhandverwaltung und die Freigabe funktionieren.
Boursica:
Warum haben Sie nicht ganz einfach für jede Sprache einen vertrauenswürdigen Dritten gewählt?
Thierry Ehrmann:
Ich muss gestehen, dass zum Beispiel in Frankreich keine Bank und kein Finanzinstitut unseren Ansprüchen genügen konnte, obwohl die treuhänderisch verwalteten Beträge mit der Zeit steil steigen werden und das Konzept des vertrauenswürdigen Dritten in der digitalen Wirtschaft auch andere Branchen betrifft als Artprice und den Kunstmarkt. Das erklärt wohl auch den mangelnden Erfolg der Franzosen in der globalen digitalen Wirtschaft.
Boursica:
Gibt es eine Lösung? Warum machen Sie es nicht selbst?
Thierry Ehrmann:
Im Sinne des französischen Gesetzes vom 20. Juli 2011 über Online-Auktionen, vor allem § 5, der als § 321-3 im Handelsgesetzbuch (Absatz 2 und 3) übernommen wurde, muss der vertrauenswürdige Dritte, der den Betrag treuhänderisch verwaltet und die Ware freigibt, von Artprice völlig unabhängig sein, sowohl auf rechtlicher als auch auf finanzieller Ebene. Ich versichere Ihnen, dass wir unseren beiden Partnern gezeigt haben, wie viel Kunden, und es handelt sich um eine beeindruckende Zahl, auf der Website der vertrauenswürdigen Dritten aufgegeben haben, weil ihres Erachtens die Überweisung von hohen Beträgen in einer Fremdsprache, die sie nicht genau verstehen, bedeutende Risiken birgt. Als wir unseren Partnern gezeigt haben, wie hoch der Prozentsatz der abgebrochenen Transaktionen ist, waren sie sofort davon überzeugt, dass sie ihre Website und API in die Sprachen von Artprice (Französisch, Englisch, Deutsch, Italienisch, Spanisch und Chinesisch) übersetzen müssen.
Dieses Problem wird also schon im zweiten Quartal gelöst sein. Außerdem werden wir einen dritten Partner als vertrauenswürdigen Dritten in der Region Asien-Pazifik suchen.
Boursica:
Ist der Aufbau des standardisierten Marktplatzes jetzt abgeschlossen?
Thierry Ehrmann:
Ja, alles Wesentliche ist jetzt da. Aber bei Artprice sind wir daran gewöhnt, umfassende, synthetische Lastenhefte zu erstellen, die wenig personalintensiv sind. Dabei lassen wir gezielt Platz für verschiedene Erweiterungen, die uns von unserem Customer Service auf der Basis der Kundenwünsche aus aller Welt vorgeschlagen werden. Ein enormes IT-Entwicklungsprogramm mit einem monströsen Lastenheft, das den internationalen Kunden aufgezwungen wird, wäre völlig falsch. Die Franzosen versuchen gern den anderen ein Produkt aufzudrängen, das ihrem eigenen Geschmack entspricht. Artprice tut genau das Gegenteil. Wir sind der Ansicht, dass die Kunden und der Markt am besten wissen, was sie wollen. Nur sehr wenige französische Unternehmen haben sich für diesen Ansatz entschieden, obwohl er so einfach ist.
Boursica:
In einer Pressemeldung meinten Sie, das laufende Angebot würde den Prognosen für 2013 entsprechen. Ist das immer noch der Fall?
Thierry Ehrmann:
Wir rechnen mit 300 neuen Posten pro Tag, d.h. mit durchschnittlich 90.000 Posten pro Jahr. Gegenwärtig verzeichnen wir rund 500 bis 700 neue Posten pro Tag in einer sehr breiten Preisspanne. In einem bedeutenden Auktionshaus umfasst ein schöner Auktionskatalog nie mehr als 300 bis 350 Posten und wird zwei bis drei Monate lang vorbereitet, während Artprice im Durchschnitt 12 Stunden braucht. Das regt zum Nachdenken an.
Boursica:
Warum verlegen Sie den standardisierten Festpreismarktplatz nicht direkt zu den Auktionen? So würde Artprice sofort einen hohen Umsatz verbuchen.
Thierry Ehrmann:
Wir haben uns diese Frage auch gestellt und sie bei Artprice ausführlich diskutiert. Als Autor des seit 2005 bestehenden standardisierten Festpreismarktplatzes, der ein wahres Ökosystem ist, habe ich mich in Anbetracht der hohen Handelsvolumen für eine allmähliche Umstellung entschlossen. Wir wollen unsere treuen Kunden zu nichts zwingen und werden deshalb behutsam vorgehen.
Boursica:
Sie scheinen von Ihrem Postulat überzeugt zu sein. Könnten Sie es uns näher erklären?
Thierry Ehrmann:
Das ist einfach. Ich gehe davon aus, dass die meisten Verkäufer die Online-Auktionen wählen werden, da im Gegensatz zu Immobilien oder Fahrzeugen der Unterschied zwischen dem Festpreis und dem bei einer Versteigerung auf Artprice erzielten Preis bis zu 100 Prozent betragen kann, auch wenn der Verkäufer ein Profi ist. Aufgrund dieses Postulats meine ich, dass wir seit sieben Jahren in der ganzen Welt eine sehr bedeutende Anzahl von Verkäufern und Käufern in von uns entwickelten eigenen Datenbanken und Software halten. Jährlich werden Werke im Wert von rund 6,3 Milliarden Euro angeboten und Abschlüsse in Höhe von ca. 1,8 Milliarden Euro getätigt. Meines Erachtens wäre es unglaublich dumm, diese Marktteilnehmer, die eine starke Persönlichkeit haben und sich selbst eine Meinung bilden können, zu etwas zu zwingen. Jeden Tag steigen unsere Mitglieder von selbst auf Auktionen um und bestätigen damit, dass ich Recht habe.
Boursica:
Aber Ihre Aktionäre streben sofortige Ergebnisse an?
Thierry Ehrmann:
Wir mussten uns gedulden, bis Frankreich die europäische Richtlinie endlich in Landesrecht umsetzt. Ich weigere mich, jetzt das Spiel einer weniger Aktionäre zu spielen, die gern eine tägliche Offenlegungspflicht hätten und unseren Börsenkurs mit Lottozahlen verwechseln. Ich habe nichts gegen Lotto und schon gar nichts gegen die französische Lotto-Gesellschaft, die übrigens ein ausgezeichnetes Unternehmen ist, aber Spieler, die jeden Tag Gewinn einstreichen wollen, passen nicht zu den Aktionären von Artprice.
Boursica:
Was halten Ihre Stammaktionäre davon?
Thierry Ehrmann:
Alle unsere Stamm- bzw. Großaktionäre haben mehr Geduld als wir. Den Kunsthistorikern und Kunstmarktsoziologen zufolge erleben wir einen Wandel, der so tiefgreifend ist wie die Umstellung vom Parketthandel auf elektronische Systeme wie NASDAQ oder Instinet von Thomson Reuters. In dieser Hinsicht muss man der Zeit ihren Lauf lassen, schließlich besitzen wir ja dank der Patente im Bereich des geistigen und industriellen Eigentums ein Monopol bezüglich der Standardisierung des Kunstmarktes – Künstler ID, Werk ID, Werkverzeichnis ID, Schätzung/Ökonometrie ID (vgl. frühere Interviews von Boursica) -, ohne unsere marktbeherrschende Stellung zu missbrauchen. Seit 16 Jahren haben wir keine ernstzunehmenden Konkurrenten, die über ähnliche Rechte an geistigem Eigentum verfügen. Sollte entgegen aller Erwartungen eines Tages eine Nummer 2 auftauchen, dann gilt das schreckliche Gesetz der Online-Welt, in der ich seit 25 Jahren lebe, und das heißt: „Second place is the first loser.“
Boursica:
Gibt es eine Verbindung zur außerordentlichen Hauptversammlung vom 30. März 2012, die ursprünglich nicht vorgesehen war?
Thierry Ehrmann:
Ja. Die außerordentliche Hauptversammlung bezeugt den erfolgreichen betriebswirtschaftlichen Wandel, der nun Gewissheit geworden ist. In 16 Jahren sind wir der weltweit führende Anbieter von Informationen über den Kunstmarkt geworden und zählen heute 1,4 Millionen Abonnenten. Anfang 2012 sind wir davon überzeugt, dass unser Kerngeschäft, das uns eine optimale Rentabilität gewährleistet, der standardisierten Festpreis- und Auktionsmarktplatz ist. Aus diesem Grund passen wir unseren Unternehmenszweck der neuen Ausrichtung von Artprice an.
Boursica:
Einige unserer Leser erwarten eine Kapitalerhöhung anlässlich der außerordentlichen Hauptversammlung. Stimmt das? Waren Sie nicht dagegen?
Thierry Ehrmann:
Es handelt sich nicht um eine Kapitalerhöhung sondern um Stockoptionen. Sie sollen seltene, atypische Profile anziehen, die wir für den standardisierten Auktionsmarktplatz brauchen. Wir suchen in der Kunstwelt die Besten, da müssen wir auch etwas bieten können. Außerdem ist es logisch, dass wir die Mitarbeiter von Artprice für ihr außergewöhnliches Engagement belohnen wollen.
Was Kapitalerhöhungen betrifft, so kann ich nur wiederholen, was ich bereits erklärt habe: Ich bin gegen Kapitalerhöhungen, weil sie nicht nur das Kapital verwässern, sondern auch, und das wird oft vergessen, den Aktienkurs daran hindern, sehr schnell zu steigen. Im Gegensatz zu den übrigen börsennotierten Unternehmen haben wir keine Schulden, nicht einen Cent. Keinen Kontokorrentkredit, keine kurz-, mittel- oder langfristigen Kredite, keine Bankzusicherungen, keine Finanzinstrumente wie Aktienbezugsscheine und sonstige Derivate. Außerdem haben wir reichlich Barmittel und einen negativen Betriebskapitalbedarf.
Boursica:
Vor einigen Tagen haben Sie Ihren Kunstmarktbericht veröffentlicht. Wie kommt es, dass die französischen und ausländischen Medien und Institutionen Artprice nur im Zusammenhang mit dem Kunstmarkt erwähnen? Ist das Lobbying?
Thierry Ehrmann:
Nein, ich kann Sie beruhigen, es gibt nur eine Antwort auf Ihre Frage: die Geschichte von Artprice. Wir sind heute das einzige Unternehmen der Welt, das den Kunstmarkt in mehr als einer Million Arbeitsstunden standardisieren ließ. Kunsthistoriker, Wissenschaftler und Kunstjournalisten haben alle Werke aus den Manuskripten und Katalogen vom 17. Jahrhundert bis heute dokumentiert und beschrieben. Aus diesem Grund haben wir die weltweit umfangreichste Datenbank über den Kunstmarkt, mit der wir die Kunstwerke über die Jahrhunderte hinweg verfolgen können. Unsere Kunsthistoriker haben 108 Millionen Bilder und Stiche von Kunstwerken von 1700 bis heute kommentiert. Mit dieser Standardisierung und mehr als 4.500 Auktionshäusern, die mit unserem gesicherten Intranet verbunden sind, sind wir die einzige Presseagentur (Art Market Insight), die makroökonomische Daten, Notierungen und Repeat-Sales-Indizes sowie rund 100 Referenzindizes anbietet. Auf dieser Grundlage können jedes Jahr 6.300 Medien mit objektivem und ausführlichem Zahlenmaterial über den Kunstmarkt berichten.
Boursica:
Können Sie uns ein konkretes Beispiel geben?
Thierry Ehrmann:
Zum Beispiel China, wo wir die einzigen sind, die nicht nur die Sprachschranken überwinden sondern auch die Bräuche und Sitten meistern und diese schwierigen Informationen erhalten.
Boursica:
Die permanente Präsenz in den Medien hat sicher einen Preis?
Thierry Ehrmann:
Nein, im Gegenteil. Printmedien und Fernsehen sind vertraglich gezwungen, uns systematisch mit unserem Internet-Code abzufragen und unsere Methode zu kommentieren. So sparen wir jedes Jahr zwischen 16 und 18 Millionen Euro für die Werbung, die sicher nicht dieselbe Wirkung hätte. Nichts kann die von einer Presseagentur produzierten Inhalte ersetzen, die weitaus einflussreicher sind als es auch sehr gute Werbung jemals sein könnte. Untersuchungen zu bestimmten Märkten für Medien, Versicherungen oder Private Banking werden selbstverständlich von uns in Rechnung gestellt.
Boursica:
Aber Sie haben doch eine internationale Werbekampagne für den Start des standardisierten Auktionsmarktplatzes erwähnt?
Thierry Ehrmann:
Ja, als wir die Auktionen gestartet haben, wurde in den Medien ausführlich darüber berichtet, aber wir haben 2012 trotzdem eine gezielte Kampagne geplant. In jedem Land haben wir die beiden führenden Fachzeitschriften ausgewählt. Außerdem richten wir uns an Fernsehsender, die auf Kunst und Luxus spezialisiert sind. Die Kampagne hat Ende Januar 2012 begonnen und folgt dem Kalender des Kunstmarktes, der im Frühling einen Höhepunkt erreicht.
Boursica:
Kommen wir auf den eben veröffentlichten Kunstmarktbericht zurück. Er kann auf Ihrer Website abgerufen werden. Können Sie uns kurz erläutern, wie das Fazit des Berichts lautet?
Thierry Ehrmann:
Der Titel fasst den Tenor bereits zusammen: „Kunst hat noch nie so viel eingebracht wie 2011“. Weltweit wurde im letzten Jahr mit einem Erlös von 11,5 Milliarden US-Dollar ein neuer Rekord aufgestellt. Das bedeutet, dass der Primärmarkt, d.h. Galerien, Kunsthändler und Makler, rund 90 Milliarden US-Dollar erwirtschaftet haben, was dem Verhältnis des Primär- zum Sekundärmarkt entspricht. Der Anteil der nicht verkauften Werke war noch nie so niedrig. China überholt die USA mit 41 Prozent des weltweiten Kunsthandels. Asien wird mit 45 Prozent des Weltmarktes ein eigener Markt. Die chinesischen Künstler belegen Spitzenplätze, sowohl in unseren Top 10 als auch in den Top 500. Die westliche Ikone Pablo Picasso rutscht erstmals auf Platz vier ab. Frankreich fällt und fällt.
Die Anzahl der Millionenauktionen wächst stetig, insbesondere in Asien.
Boursica:
Ist der Kunstmarkt wie Gold ein sicherer Hafen für Anleger?
Thierry Ehrmann:
Ja, als die Weltwirtschaft und die Finanzwelt 2008 und 2011 zusammengebrochen sind, konnte der Kunstmarkt ausgezeichnete Ergebnisse einfahren. Private Banking-Experten und Vermögensberater empfehlen heute, übrigens auf Grundlage der ökonometrischen Instrumente von Artprice, die Anlagen in Krisenzeiten im Kunstmarkt zu diversifizieren. Sehen Sie sich die Entwicklung nach Preisklassen an, dann werden Sie verstehen, warum der Artprice Global Index sich besser verhält als der S&P 500 oder der Eurostoxx 50.
Boursica:
Wenn wir nun schon von Millionenauktionen sprechen, wann wird es auf Artprice die erste Millionenauktion geben, auf die alle warten?
Thierry Ehrmann:
Millionenauktionen auf Artprice sind angesichts unserer Verhandlungen mit den bedeutenden Akteuren des Kunstmarkts eine Gewissheit. Jetzt ist es nur noch eine Frage der Zeit. Ich könnte mir auch sehr gut vorstellen, dass ein Werk eines chinesischen Künstlers zu einem solchen Preis versteigert wird.
Boursica:
Kommen wir auf Frankreich zurück. Warum stürzt Frankreich immer tiefer ab?
Thierry Ehrmann:
Ich habe diese Frage oft beantwortet. In den Sechzigern stand Frankreich noch an der Spitze, seitdem verliert es leider ständig an Boden. Hier einige Zahlen: Auf zeitgenössische Kunst entfallen jährlich 13 Millionen Euro, was auf den Weltmarkt hochgerechnet gar nichts ist. New York und London erzielen mit schönen Katalogen an einem Tag, was Frankreich in einem Jahr schafft. Natürlich haben das 500-jährige Monopol der Auktionatoren und der klägliche Misserfolg der ersten Reform im Jahr 2000 dazu beigetragen, Frankreich an den Rand des Abgrunds zu drängen. Ich weiß, wovon ich spreche, schließlich habe ich 16 Jahre dagegen gekämpft und Dutzende von Prozessen angestrengt und letztendlich auch gewonnen.
Boursica:
Heute herrscht aber Frieden zwischen Artprice und den ehemaligen Monopolisten?
Thierry Ehrmann:
Auf wirtschaftlicher Ebene ist alles abgeschlossen, der Weg ist geebnet. Auf juristischer Ebene ist das letzte Wort noch nicht gefallen. Wir wollen nicht nachtragend sein, aber wir verlangen einen Ausgleich des von uns erlittenen wirtschaftlichen Schadens. Ferner fordern wir im Rahmen von Widerklagen die Wiedergutmachung einiger Anklagen, die abgewiesen wurden. Schließlich haben wir bei der französischen Wettbewerbsbehörde Anklage gegen französische Auktionshäuser wegen unzulässiger Wettbewerbsbeschränkung erhoben und verfolgen sie weiterhin strafrechtlich. Seit Ende Januar 2012 haben sich nämlich neue Elemente ergeben.
Boursica:
Wen haben Sie im Visier?
Thierry Ehrmann:
Wir haben eine kleine Anzahl Pariser Auktionatoren im Auge, in erster Linie bei Drouot, die sich durch Justizskandale und wiederholte Untersuchungen auszeichnen. Die zuständige französische Aufsichtsbehörde, der Conseil des Ventes Volontaires, veröffentlichte am 6. Januar 2012, einige Stunden nach dem Start unseres standardisierten Auktionsmarktplatzes, ohne uns schriftlich oder telefonisch oder sonst irgendwie benachrichtigt oder gewarnt zu haben, eine völlig surrealistische Pressemeldung. Dabei kennt sie uns gut, sowohl durch die Anhörungen als auch über die Daten, die wir ihr alljährlich für den Bericht über den Kunstmarkt liefern. Seit wann werden Klageschriften als Pressemeldung publik gemacht, ohne dass wir vorher auf dem Rechtsweg darüber informiert werden?
Ich finde die Aufgabe des Conseil des Ventes Volontaires wesentlich, aber er muss den Grundsatz des rechtlichen Gehörs berücksichtigen. Die Lage ist wie sie ist. Wir meinen, dass ein harter Kern von Auktionatoren, die Drouot nahestehen und sich über die Folgen des Gesetzes vom 20. Juli 2011, insbesondere § 5, den ich bereits erwähnt habe, ärgern, den Conseil des Ventes Volontaires absichtlich irregeführt hat. Dabei hat es die Aufsichtsbehörde in den letzten Jahren trotz der dürftigen Mittelausstattung gewagt, mutige Debatten über den unerbittlichen Niedergang des französischen Kunstmarkts zu führen. Wir erhielten brutale Drohungen von einigen wenigen Akteuren, die den Zusammenbruch ihrer Margen und Märkte nicht verkraften wollen. Meinem Scharfsinn und meiner lange Erfahrung zufolge sind solche Hassbezeugungen und Wutausbrüche der beste Beweis dafür, dass wir dort zugeschlagen haben, wo der Gewinn liegt, nämlich bei den 5 Prozent Nettoprovision auf Werke im Wert von mehr als 15.000 Euro und den 7 Prozent auf Werke in der Preisklasse von 7.500 bis 15.000 Euro.
Boursica:
Das Internet hat also den Kunstmarkt unter anderem mit Ihnen geschluckt?
Thierry Ehrmann:
Alles ist relativ. Seit 2000 sind bereits 4.500 Kunst-Websites untergegangen. Zudem sind beinahe alle Kunst-Websites von der Börse verschwunden, werden nun außerbörslich gehandelt und verzeichnen keine Umsätze. Wir haben Artprice mit weniger als 30 Millionen Internetnutzern gestartet. Heute zählen wir mehr als 2,7 Milliarden. Diese Zahlen werden weiter steigen. Die Erklärung des Präsidenten von Christie’s über Kunstwerke und Internet ist für uns der beste Beweis dafür.
Boursica:
Besitzt das Internet noch ein Wachstumspotenzial?
Thierry Ehrmann:
Wir haben erst 30 Prozent des Wachstums im Internet ausgeschöpft. Der herkömmliche Kunstmarkt ist erst zu 15 Prozent entmaterialisiert. Das mobile Internet ist ideal für Artprice, weil unsere Kunden immer unterwegs sind und ständig Informationen benötigen: Sachverständige, Versicherungsvertreter, Galeristen, Auktionatoren, Zollbeamte und natürlich auch Sammler und Kunstliebhaber, die in einer Galerie oder einem Auktionshaus etwas kaufen wollen.
80 Prozent der Anfragen an Artprice werden wohl auf das mobile Internet entfallen. Wir haben schon mehr als 30 Prozent erreicht. Alle großen Marktforschungsunternehmen prognostizieren, dass 2012, gemessen am Smartphoneabsatz, die Zahl der mobilen Internetnutzer um 550 bis 700 Millionen steigen wird. 2015 werden mehr als 3,5 Milliarden mobile Internetsurfer Artprice nutzen können.
Boursica:
Was bedeutet es, dass der herkömmliche Kunstmarkt erst zu 15 Prozent entmaterialisiert ist?
Thierry Ehrmann:
Das bedeutet, dass die Entmaterialisierung des herkömmlichen Kunstmarkts erst begonnen hat.
Ich zitiere gern meinen alten Meister Pythagoras, den ersten Philosophen, für den alles Zahlen war, mit Ausnahme der nicht quantifizierbaren, unaussprechlichen menschlichen Gefühle, die sich nicht erfassen lassen. Aus diesem Grund können über die Anzahl der Internetnutzer hinaus alle Handelsgeschäfte entmaterialisiert werden. Artprice und der Kunstmarkt sind ein ausgezeichnetes Beispiel dafür. Die Herausforderung, die die Welt meistern muss, besteht aus der Entmaterialisierung und der nachhaltigen Entwicklung. Nur die Entmaterialisierung kann die Energiekrise lösen.
Boursica:
Wie gehen Sie bei solchen Zahlen auf der technischen Ebene vor?
Thierry Ehrmann:
Wir arbeiten über Serveur, unsere Muttergesellschaft, die Time Magazine seit 1987 zu den Pionieren im Internet zählt, seit den Neunzigern unter Berücksichtigung der EU-Richtlinien und der Vorschriften des französischen CNIL am Data-Mining. Jetzt beschäftigen wir uns mit dem Big-Data-Konzept und Speichereinheiten, die in Petabyte gemessen werden. Die Daten werden in Echtzeit produziert, kommen aus allen Ländern in kontinuierlichen Datenströmen, werden mit heterogenen Metatags versehen und stammen aus den unterschiedlichsten destrukturierten und nicht prädikativen Quellen.
Boursica:
Wodurch unterscheiden sich Big-Data und Data-Mining? Ist das nicht dasselbe?
Thierry Ehrmann:
Nein. Ich werde Ihnen erklären, warum. Data-Mining besteht darin, Daten mit hohem Mehrwert der Datenbanken der Unternehmensgruppe zu vergleichen, um qualitative Daten zu schaffen. Big-Data bezieht sich auf das Data-Mining in kleineren Mengen. Unter Einhaltung der Datenschutzvorschriften werden Milliarden von Daten (Logs), die bislang als nicht wesentlich galten, gesammelt. Ziel ist es dabei, neue Muster zu erkennen. Seit die Kosten für ein Petabyte (1000 Terabyte) dramatisch gesunken sind, haben wir erkannt, wie diese an und für sich weniger qualitativen und als unwesentlich betrachteten Daten im Data-Mining ausgewertet werden können. Jetzt können wir komplexe, momentane Phänomene verstehen und sehr schnell Produkte und Dienstleistungen anbieten, die den Erwartungen unserer Nutzer genau entsprechen. Und mit Nutzern meine ich Millionen von Menschen, die unsere Website kostenlos oder kostenpflichtig nutzen.
Boursica:
Zu welchen Anwendungen kann Big-Data führen?
Thierry Ehrmann:
Wir konnten zum Beispiel seit der Eröffnung des standardisierten Auktionsmarktplatzes am 18. Januar 2012 nicht nur die beeindruckende Zahl der Besucher auf Artprice messen, sondern aufgrund der Analyse von Hunderten Millionen Logs auch verstehen, warum die neuen Kunden erst seit der Einführung der Auktionen die Website besuchen. Ferner können wir, wie ich es bereits eingangs erwähnt habe, in dem Traffic, der sich beinahe verfünffacht hat, die neuen und potenziellen Kunden analysieren, die sich anscheinend nur für Auktionen interessieren, die jedoch in Wirklichkeit zwischen den Auktionen und den kostenlosen Daten, deren Wert sehr beschränkt ist, in unseren kostenpflichtigen Datenbanken zu den Notierungen, Indizes und Biografien hin- und herpendeln, ohne mehr als 50 Euro auszugeben.
Mit Big-Data können wir maßgeschneiderte Lösungen anbieten, die berücksichtigen, dass 70 Prozent der neuen oder potenziellen Kunden sich über das mobile Internet einloggen. Auf der Grundlage des Anteils der kostenpflichtigen Daten, die sie abrufen, kommen wir auf ein Profil, das rund 36 Euro pro Jahr oder 3 Euro pro Monat ausgibt. Unserer Zielgruppe wird jetzt nicht mehr in Millionen Nutzern gemessen, wie es heute üblich ist, sondern in Dutzenden von Millionen Kunstkonsumenten, die mit iPhones oder Smartphones unter Android von Google ausgestattet sind.
Boursica:
Und wo sind die Künstler geblieben?
Thierry Ehrmann:
Auch hier erkennen wir mit Big Data, dass es neben unserer biografischen Datenbank, die 1,8 Millionen Künstler umfasst, von denen 450.000 an Versteigerungen teilnehmen, es eine knappe Million Künstler gibt, die von der Idee begeistert sind, ihre Werke auf dem standardisierten Auktionsmarktplatz anzubieten, die ihre Biografien online gestellt haben, die ihre Werke jedoch, um unabhängig zu bleiben, weder über Galerien noch über Auktionshäuser verkaufen. Dieses Potenzial ist bedeutend. Da der Preis dieser Werke oft unter 7.500 Euro liegt, berechnen wir nur 9 Prozent Provision und Gebühren.
Boursica:
Wie steht es um ihr soziales Netzwerk Artprice Insider?
Thierry Ehrmann:
Dieses soziale Netzwerk, das mit Soziologen und Netzwerkexperten aufgebaut wird, ist das Gegenteil von Facebook, das heißt, dass die Mitglieder von Artprice unter ihrem wahren Namen auftreten. Artprice Insider wird an den standarisierten Festpreis- und an den Auktionsmarktplatz gekoppelt. Die Ergebnisse der ersten Tests waren ausgezeichnet und der Ideenaustausch war qualitativ sehr gut, im Gegensatz zu manchen sozialen Netzwerken, auf denen vorwiegend Banalitäten ausgetauscht werden. Wir feilen seit 18 Monaten an Verbesserungen, weil ein solches Netzwerk eine wahre Bombe in der sonst so diskreten Kunstwelt ist. Deshalb dürfen wir uns keine Fehler erlauben.
Boursica:
Das Netzwerk ist also Kunstkennern vorbehalten?
Thierry Ehrmann:
Nein, das stimmt nicht ganz. Ich würde eher sagen, dass das Netzwerk einem Think Tank oder einer Brain Box ähnelt. Artprice Insider muss sich durch originelle Ideen, Expertentum und Fachkenntnisse auszeichnen, die Debatte um den Kunstmarkt weiterbringen und zur Entwicklung neuer Konzepte beitragen. Alles, aber auch wirklich alles muss neu erfunden werden, da der Kunstmarkt bis zur Entstehung des Internets in einem tiefen Schlaf versunken war. Und hier noch ein Scoop: Einige Akteure, die zu den Top 100 der Market Maker des Kunstmarkts gehören, haben zugesagt, live in unserem Netzwerk aufzutreten.
Boursica:
Wie finden Sie eigentlich noch die Zeit, eine Retrospektive ihres Werks als bildender Künstler über die letzten 30 Jahre vorzubereiten, die im Juni 2012 im Demeure du Chaos, der Hauptverwaltung von Artprice und gleichzeitig Museum für zeitgenössische Kunst, stattfinden soll?
Thierry Ehrmann:
Ich bereite diese Retrospektive seit 18 Monaten vor. Im Juni 2012 bin ich seit 30 Jahren als bildender Künstler tätig. Für dieses Ereignis habe ich in den letzten 18 Monaten 450 Stahlskulpturen geschaffen, die den Besucher zu einem Parcours auf dem Gelände einladen. Dort entdecken sie die 3609 Werke, die den Korpus des Demeure du Chaos bilden. Die New York Times nannte diesen Wohnsitz des Chaos auch Abode of Chaos.
Die europaweit größte Bildhauerinstallation besteht aus 900 Tonnen Stahl, die von Schmieden mit Hochpräzisionslasern bearbeitet wurden. Diese Ausstellung erlaubt mir wieder einmal, die Künstler und Akteure des Kunstmarkts genau zu analysieren. Man kann nicht Artprice aufbauen, ohne gleichzeitig völlig in der Kunst versunken zu sein. Zu den 120.000 Besuchern pro Jahr gehören viele Aktionäre und Kunden, mit denen ich am Wochenende außerhalb des Büros über Artprice diskutieren kann. Ich kann also sagen, dass ich eine 63-Stunden-Woche habe. Diese Entscheidung, die ich bewusst getroffen habe, kann vieles erklären, was manche Menschen nicht richtig verstehen.
Boursica:
Was sagen Sie zu ihrem Börsenkurs 2011? Was erwarten Sie 2012?
Thierry Ehrmann:
In Europa konnten wenige börsennotierte Unternehmen die Entwicklung ihres Aktienkurses so gut voraussagen wie wir. Artprice verzeichnete die beste Kursentwicklung an der Börse. Unser Titel stieg 2011 um 472 Prozent. Vom 1. Januar bis zum 31. Dezember 2011 wurde ein Aktienvolumen im Wert von 873 Millionen umgesetzt. Außerdem notieren wir nun bei 67 Euro, was ich ebenfalls prognostiziert habe. In den letzten zwölf Monaten stieg der Kurs um 476 Prozent und wurden Titel im Wert von 1,25 Milliarden Euro gehandelt. Jetzt sind wir im Segment B von Eurolist und seit einigen Tagen auch auf der SRD Long Only Liste. Wenn wir dann auch noch die Auktionen berücksichtigen, so sollte der Kurs sich 2012 bei 90 Euro konsolidieren, vorausgesetzt natürlich, dass die Entwicklung nicht von Ereignissen gebremst wird, auf die wir keinen Einfluss haben.
Boursica: Sie haben kürzlich Investmentfonds erwähnt, die sich für Artprice interessieren. Um welche Fonds handelt es sich?
Thierry Ehrmann:
Ich kann hier nicht über vertrauliche Daten sprechen, aber unsere Aufnahme in die SRD Long Only Liste hat dazu geführt, dass viele Investmentfonds, die nur in französische Unternehmen auf der SRD Long Only Liste investieren dürfen, sich jetzt an uns beteiligen können. Sie haben einen anderen Ansatz als die Franzosen und vergleichen uns unter anderen mit Sotheby’s, dem einzigen börsennotierten Auktionshaus der Welt. Diese Anleger sehen Artprice und den standardisierten Festpreis- und Auktionsmarktplatz als Hauptakteur des Kunstmarkts im Internet und bewerten uns aus diesem Grund anders, da sie meinen, dass unser Kurs nicht unseren wahren Wert widerspiegelt.
Boursica: Könnten Sie näher darauf eingehen?
Thierry Ehrmann:
In unserem ersten Gespräch im Juni 2011 haben wir konkrete Beispiele für die einzelnen Bewertungsmethoden gegeben, die schon mehr als 120 Jahre alt sind. Der Wert eines Auktionshauses besteht zu 80 Prozent aus der Kundendatei, d.h. 800 bis 4.000 US-Dollar je Kunde, und zu 20 Prozent aus dem Markennamen des Auktionshauses, wenn es bekannt ist. Der Unterschied zwischen einem 800 US-Dollar-Kunden und einem 4.000 US-Dollar-Kunden besteht aus der Informationsdichte über den Endkunden, auf deren Grundlage dann der Preis ermittelt wird. Für die Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter von Artprice, für mich und für unsere Aktionäre beginnt jetzt wohl eine neue Ära. Wir sind sozusagen wie ein Unternehmen, das seinen Börsengang am Nasdaq plant und noch dazu über elf Jahre Erfahrung an der Börse verfügt. Das ist unheimlich spannend und sehr motivierend.
Boursica:
Und wie steht es mit den Abkommen in Asien?
Thierry Ehrmann:
Im März 2012 beginnen wir in China Verhandlungen mit den wichtigsten chinesischen Auktionshäusern. Wir haben rund 40 Termine. Wir teilen viele Ideen, so zum Beispiel über die Entmaterialisierung des Kunstmarkts. Auch die Chinesen sind der Ansicht, dass physische Auktionsräume 2012 vor dem Hintergrund von Internet und unserem standardisierten Auktionsmarktplatz, der in Hongkong über einen eigenen Standort verfügen wird, nicht mehr gefragt sind.
In Asien, das ich seit 20 Jahren kenne, laufen Verhandlungen ganz anders als in Europa. Es braucht sehr lang, das Vertrauen des künftigen Geschäftspartners zu gewinnen. Versprechen sind wichtiger als das Vertragsrecht. Im Gegenteil dazu kann ein Geschäft so schnell abgeschlossen werden, dass Europäer oft in Panik geraten. Meiner Meinung nach ist Artprice in Asien sehr gut aufgestellt. Wir werden als Vorreiter betrachtet und haben den in Asien oft als unzeitgemäß geltenden angelsächsischen Häusern gegenüber einen beachtlichen Vorsprung.
Boursica:
Sie haben eben die altehrwürdigen angelsächsischen Auktionshäuser erwähnt. Welche Beziehungen haben Sie zu ihnen, insbesondere seit dem 18. Januar 2012?
Thierry Ehrmann:
Das Kräfteverhältnis, das 2005 durch den standardisierten Festpreismarktplatz entstand, hat sich geändert. Beide Seiten haben sich Fragen in Bezug auf ihre Zukunft gestellt. In anderen Branchen als dem Kunstmarkt hat die Gegenüberstellung Old Economy / New Economy zu Fortschritten geführt. 1999 zählten wir 50 Millionen Nutzer, heute sind es knapp 3 Milliarden, das sind harte Fakten, auf die ich meine Theorie des wirtschaftlichen Paradigmenwechsels stütze.
Boursica:
Könnten Sie uns näher erklären, um welche Fortschritte es sich dreht?
Thierry Ehrmann:
Die Old Economy hat endlich verstanden, dass eine 25-jährige Präsenz im Internet, wie die der Firma Serveur, der Artprice gehört und die ich gegründet habe, eine Raumzeit ist. Diese Raumzeit ist nicht nur inkompressibel, sondern wegen der hochkomplexen Internetkultur auch beinahe unerschwinglich. Für den Kunstmarkt ist eine Anekdote aus der „Occupy Wall Street“-Bewegung sehr aufschlussreich. So wurde vermögenden Personen empfohlen, bestimmt Ort zu meiden, allen voran die Auktionshäuser. Die meisten Auktionshäuser verkaufen aber ohnehin schon ihre Immobilien oder kündigen ihre Pachtverträge. Sie entdecken, dass gesicherte IT-Netzwerke, Data-Mining, Verhaltensmarketing, Indizierung und den Kunstmarkt standardisierende Datenbanken bedeutende Ressourcen voraussetzen. Die finanziellen und technologischen Schwellen sind sehr hoch. Zudem gibt es manchmal, so wie in unserem Fall, Rechte zum Schutz des geistigen Eigentums, das heißt, sie dürfen keine patentierten standardisierten Marktplätze® erstellen, deren Urheberrechte bei Artprice liegen.
Boursica:
Was folgern Sie daraus?
Thierry Ehrmann:
Erstens hat die Gegenpartei den Wert der Sachanlagen und immateriellen Werte verstanden, die das Vermögen von Artprice bilden. Zweitens haben alle bedeutenden Auktionshäuser in Internet investiert, meistens im Rahmen von zwei oder drei Investitionsplänen. Jedes Mal wurden zweistellige Millionenbeträge investiert, aber das Ergebnis war nie zufriedenstellend und manchmal sogar katastrophal. Drittens wurde ein langjähriger Akteur wie Artprice anerkannt und erstmals eine Aufteilung des Kunstmarkts ernsthaft erwogen.
Boursica:
Wie wird der Kunstmarkt aufgeteilt?
Thierry Ehrmann:
Ganz einfach. Das Segment der Werke unter 15.000 Euro entgleitet ihnen, dabei ist das ein sehr großer Teil, auf ihn entfallen immerhin 81 Prozent. Zwischen 15.000 und 50.000 Euro sind sie preislich nicht wirklich wettbewerbsfähig. Jetzt stellt sich die Frage der Werke im Wert von mehr als 50.000 Euro und natürlich auch der Millionen-Euro-Werke, die manchmal von maßgeschneiderten Dienstleistungen für Käufer und Verkäufer begleitet werden. Die traditionsreichen Auktionshäuser erkennen sehr schnell, dass ihr Alter und ihre Marketingvorteile nicht ausreichen, um in den kommenden fünf Jahren ausgewogene Ergebnisse zu erzielen. Es bleibt ihnen nichts anderes übrig, als mit uns zusammenzuarbeiten.
Wir respektieren ihren Ansatz, aber wir vergleichen sie doch mit unseren asiatischen Partnern, die sich seit langer Zeit auf diese Situation vorbereitet haben und heute keine Probleme mehr lösen müssen. Es ist aber ohne weiteres möglich, dass wir uns doch noch mit ihnen verständigen. Die neue Managergeneration an der Spitze der traditionsreichen Häuser hat keine Angst vor den Gespenstern der Vergangenheit und sieht tatendurstig in die Zukunft.
2012 werden unsere Aktionäre sicher einige positive Überraschungen erleben.
Boursica:
Woran denken Sie dabei?
Thierry Ehrmann:
Ohne Geschäftsgeheimnisse zu verraten kann ich nur andeuten, dass wir mit bedeutenden Akteuren über White-Label- oder CoBranding-Abkommen verhandeln. In diesem Rahmen kann der Umsatz der herkömmlichen Auktionshäuser, die seit vielen Jahren Auktionen durchführen und nun unseren standardisierten Auktionsmarktplatz auf eigene Rechnung nutzen wollen, unseren Börsenkurs beeinflussen.
Wir erleben gegenwärtig immer wieder dasselbe Szenario: Der Geschäftsführer eines bedeutenden internationalen Auktionshauses geht in den Ruhestand, ein junger 35-jähriger Manager tritt seine Nachfolge an, führt ein Audit durch und kommt sofort zu uns, um das große Geschäft zu landen, während sein viel älterer Vorgänger Artprice höchstens als UFO der Kunstwelt wahrgenommen hat, ohne weiter darüber nachzudenken. Geduld war schon immer eine der Grundvoraussetzungen für den Erfolg von Artprice.
Boursica:
Welche Rolle spielen Sie in diesem Rahmen?
Thierry Ehrmann:
In diesem Fall agieren wir als IT-Berater oder Server Center und stellen die Hosting- und Nutzungskosten unserer eigenen Software und Datenbanken in Rechnung.
Boursica:
Und nun noch eine abschließende Bemerkung. In unserem ersten Gespräch haben Sie behauptet, Artprice wäre bei 10 Prozent ihrer Geschichte angekommen, in unserem zweiten Gespräch meinten sie allerdings, es wären erst 5 Prozent. Wie viel Prozent sind es heute?
Thierry Ehrmann:
Wir sind immer noch bei 5 Prozent der Entwicklung, der große Unterschied liegt darin, dass die letztes Jahr erwähnten 5 Prozent einfach ein Schätzwert war, der heute von Fakten und Zahlen erhärtet wurde. Für uns und unsere Aktionäre ist das eine ausgezeichnete Nachricht.
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Die vorherigen Exklusivinterviews mit Thierry Ehrmann können Sie hier einsehen :
http://serveur.serveur.com/Press_Release/2011-interview-thierry-ehrmann.html
Artprice ist der Weltmarktführer für Kunstmarktinformationen und –indizes mit insgesamt mehr als 27 Millionen Auktionsergebnissen und Preisindizes von mehr als 450.000 Künstlern. Artprice Images© stellt Ihnen einen unbegrenzten Zugang zu einer weltweit einmaligen Bibliothek mit 108 Millionen Abbildungen und Drucken von Kunstwerken von 1700 bis heute. Artprice bereichert laufend seine Datenbanken mit Informationen von weltweit 4.500 Auktionshäusern und veröffentlicht kontinuierlich die Kunstmarkttendenzen für die wichtigsten Agenturen und 6.300 Pressetitel aus der ganzen Welt. Artprice stellt darüber hinaus einen der wichtigsten Kunstmarktplätze weltweit zum Kaufen und Verkaufen von Kunstwerken, dessen angebote unter den 1.400.000 Artprice Mitgliedern bekannt gemacht werden (Quelle Artprice)
Artprice ist geführt am Eurolist by Euronext Paris : Euroclear : 7478 – Bloomberg : PRC – Reuters : ARTF
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Suite de l’interview exclusive de thierry Ehrmann, PDG d’Artprice.com (7 mars 2012)
Suite de l’interview exclusive de Thierry Ehrmann, PDG d’Artprice.com (7 mars 2012)
Boursica :
Nous vous avons interviewé en profondeur le 05 juin et le 09 octobre 2011. Nous sommes début mars 2012 et les enchères ont démarré sur Artprice depuis près d’un mois et demi. Quelles sont vos impressions ?
Thierry Ehrmann :
Pour comprendre certains points de cette interview, il est nécessaire pour vos lecteurs de les renvoyer vers les interviews du 5 Juin 2011 et du 9 Octobre 2011 qui sont les grilles de lecture de cette troisième interview. Nous avons donc effectivement démarré le 18 janvier 2012 les enchères, après 16 ans de combat législatif contre un des plus vieux monopoles au monde: les ventes aux enchères d’art, qui datent de l’Edit de 1556. Nous sommes arrivés à faire valoir la libre concurrence par la désormais célèbre loi du 20 juillet 2011.
Boursica :
Vous êtes donc devenu « Maison de ventes » ?
Thierry Ehrmann :
Non, plus précisément nous sommes devenus opérateur de courtage aux enchères, réalisées à distance, par voie électronique, comme défini par l’article 5 de la loi 2011-850 du 20 juillet 2011 par notre Place de Marché Normalisée ® aux enchères.
Boursica :
Pouvez-vous préciser ?
Thierry Ehrmann :
Artprice possède un ensemble de process de normalisation du marché de l’art unique au monde, à travers une multitude de dépôts, au titre de la propriété intellectuelle (droit sui generis, brevet logiciel, droit d’auteur, …), qui nous permet, à travers la Place de Marché Normalisée, de rapprocher l’offre et la demande en temps réel, à prix fixe ou aux enchères. A ce titre, nous ne sommes pas responsables de l’enchère car nous ne sommes pas attraits aux parties (l’acheteur et le vendeur). C’est le vendeur qui choisit in fine la meilleure enchère, selon ses propres critères, et nous reverse entre 5 et 9% de commission pour l’usufruit de notre Place de Marché Normalisée aux enchères et de notre fichier clients, le plus important au monde à ce jour, de 1,4 million de membres, dont nous connaissons, pour chacun, de manière très précise, ce qu’il recherche ou souhaite vendre.
Boursica :
Revenons à ce mois et demi écoulé. Qu’avez-vous constaté en sept semaines ?
Thierry Ehrmann :
Nous avons d’abord relevé un défi extraordinaire, celui de réunir en offre, plus de 5000 lots à l’ouverture des enchères le 18 janvier 2012, représentant une valeur de plus de 810 millions d’Euros avec toute une gamme de prix allant de quelques centaines d’euros à plusieurs dizaines de millions d’euros.
Pour comprendre ces 45 premiers jours d’enchères, il est nécessaire d’expliquer auparavant la genèse des transactions sur Artprice, par sa Place de Marché Normalisée à prix fixe, dont je rappelle qu’elle est née le 18 janvier 2005 et qu’elle a progressé de manière spectaculaire, avec une offre démarrée en 2005 à 1,2 milliards €, puis en 2006 plus de 2,7 milliards €, 3,6 milliards € en 2007, 4,5 milliards € en 2008, 5,4 milliards € en 2009, pour se stabiliser en 2010/2011 à 6,3 milliards € avec environ de l’ordre de 30% de ventes abouties, pour lesquelles nous n’étions pas commissionnés (tous les chiffres précis sont sur les documents de référence et communication réglementée accessibles sur le site ActusNews homologué par l’A.M.F.). Très vite, les Acteurs du Marché de l’art en 2012 ont réagi de manière assez rapide avec le passage aux enchères, avec un accueil remarquable et très positif mais aussi en contrepartie un tout autre accueil d’un petit noyau dur, principalement proche de Drouot, d’une vieille garde usée qui a déployé des moyens de nuisance, voire de menaces, impensables en Europe.
Boursica :
Parlons d’abord de cet "accueil remarquable et très positif ", selon votre expression.
Thierry Ehrmann :
Nous avons eu très rapidement, une génération de Galeristes, Maisons de ventes, Marchands d’art, Artistes, Collectionneurs et Amateurs qui ont compris que plus rien ne serait comme avant. Il est vrai que nos enchères étant limitées dans le temps, les transactions et les échanges ont véritablement explosé, par rapport à la Place de Marché Normalisée à prix fixe d’Artprice, où la notion de temps est plus étendue. Nous avons multiplié dans les jours qui ont suivi pratiquement par cinq notre trafic en bande passante et en nombre de logs. Nous avons eu des témoignages et des contributions d’une richesse inégalée. Pour toute une génération, que je situerais entre 25 et 50 ans, Artprice, par son fichier clients, qui est le plus important au monde (1,4 million de membres) et ses milliards de logs de comportements stockés conformément aux directives européennes et françaises, a donné à ces acteurs du marché de l’Art, la possibilité de leurs bureaux ou de chez eux, en quelques secondes, sur des artistes parfois peu connus, de toucher en quelques heures les dizaines de milliers d’acheteurs potentiels sur des artistes précis en provenance des cinq continents. Des discussions hors normes se sont établies entre ces acteurs et nous-mêmes qui ont la force de remettre en cause tout leur processus de vente. Ce qui démontre un vrai courage de leur part.
Boursica :
Quel était le sens de ces discussions et comment se traduisent-elles ?
Thierry Ehrmann :
C’est pour ces Acteurs du marché de l’art une remise en compte intégrale de leurs métiers. Ils découvrent subitement qu’ils possèdent de facto une puissance de feu supérieure aux fichiers clients des plus grandes maisons de ventes ou célèbres galeries. Enfermées dans leurs propres fichiers clients et obligées de faire des foires d’art internationales à grands frais pour se déployer sur d’autres continents, elles ont subitement, par Artprice et sa Place de Marché Normalisée aux Enchères, découvert un nouveau paradigme économique qui les fait migrer définitivement dans l’Internet, qui est désormais la terre de toutes les conquêtes des cinq continents.
Boursica :
Qu’entendez-vous par nouveau paradigme économique ?
Thierry Ehrmann :
Ils comprennent que leur modèle économique, à savoir la pratique de marges élevées, avec un nombre restreint de ventes, faute de ne pas avoir un fichier clients de grande envergure, est en pleine mutation. Certains imaginent fermer en partie leur galerie ou leur établissement secondaire, d’autres leur salle des ventes physique. Ils découvrent, d’un point de vue macro-économique, que le marché de l’art, qui est passé de 500 000 collectionneurs d’après guerre, à 450 millions de "consommateurs d’art" aujourd’hui, leur est enfin accessible en quelques minutes de leurs lieux professionnels ou privés. De ce fait, ils peuvent effondrer leurs marges, jusqu’alors rédhibitoires, et multiplier leur chiffre d’affaires dans des proportions qu’ils n’imaginaient pas, faute de lourds moyens financiers et de connaissance profonde de l’Internet. En un mois et demi, nous avons levé beaucoup de freins et d’inhibitions que nous corrigeons. Mais attention, si nous prenons en compte les quatorze jours d’enchères, le règlement livraison au tiers de confiance (délai d’environ 15 jours compte-tenu des virements internationaux) et la finalisation de la vente entre acheteur et vendeur qui donne la main levée définitive, nous commençons à peine à percevoir les commissions de fin janvier 2012 qui était notre date d’ouverture aux enchères. Donc nous allons certainement avoir de bonnes surprises bientôt, car la montée en charge des enchères sur la Place de Marché Normalisée est constamment en progression et ce de manière régulière depuis son ouverture le 18 janvier 2012.
Boursica :
Avez-vous confronté votre postulat avec les grandes maisons de ventes anglo-saxonnes ?
Thierry Ehrmann :
Je vous invite à lire en urgence la pleine page des Echos du 3 mars 2012, signée de Martine Robert, où le Rapport annuel d’Artprice sur le marché de l’Art est présenté avec en écho, une interview du Président de Christie’s qui se termine par cette phrase "L’avenir du Middle Market de 800 à 10 000 € est sur le net." Qui mieux que Christie’s peut nous le certifier ?
Je rajoute, en qualité de Président d’Artprice, que ce segment représente à l’échelon mondial, 81 % des transactions. J’amène donc bien la preuve par un tiers qui a la qualité d’expert incontestable, que l’ancienne économie du marché de l’Art considère noir sur blanc que 81% passera bien par Internet et de facto, par notre position de leader incontestée, sur notre Place de Marché Normalisée.
Boursica :
Vous avez parlé de freins et d’inhibitions. Pourriez-vous être plus précis ?
Thierry Ehrmann :
En effet, notamment avec le problème majeur concernant le tiers de confiance, nous avons retenu le leader mondial du séquestre "Escrow.com", au passage je rappelle que le terme "escrow" signifie "séquestre" en anglais.
Leur mode opératoire est absolument parfait mais Escrow a un handicap en acceptant comme devise unique le dollar US, qui était un frein terrible, principalement pour nos clients européens. Nous avons donc choisi, en un temps record, un deuxième tiers de confiance, après un appel d’offres, qui est Transpact, en Angleterre, qui gère le dollar US, l’Euro et la Livre Sterling avec un déploiement à la mi-février. Mais nous avions toujours le problème de la barrière linguistique.
En effet, autant nos clients sur Artprice ont accès à six langues, autant sur les sites de nos deux tiers de confiance, la langue unique qui est l’anglais se révèle être un véritable obstacle car les sommes en jeu sont très importantes et nos clients veulent d’un point de vue juridique et pratique comprendre parfaitement toutes les étapes et le mode opératoire de séquestre et de main levée avec le tiers de confiance.
Boursica :
Mais pourquoi ne pas choisir un tiers de confiance par zone linguistique ?
Thierry Ehrmann :
Je dois vous faire un aveu, notamment en France, aucune banque, ni établissement assimilé, n’a été capable de relever le défi du cahier des charges, alors que les sommes en jeu séquestrées seront à terme colossales et que, de surcroît, la notion de tiers de confiance, dans l’économie numérique, est applicable à bien d’autres groupes et activités économiques, différents d’Artprice et du marché de l’art. Cela explique, entre autres, un certain échec français en matière d’économie numérique et mondialisée de facto…
Boursica :
Y a-t-il donc une solution ? Et pourquoi ne pas le faire vous-même ?
Thierry Ehrmann :
Au regard de la loi du 20 juillet 2011 sur les enchères en ligne, notamment l’article 5 retranscrit dans l’article 321-3 du Code de Commerce (alinéas 2 et 3), il est primordial que le tiers de confiance qui séquestre la somme et qui effectue la main levée soit totalement indépendant d’Artprice, tant sur le plan juridique que sur le plan capitalistique. Mais je vous rassure, nous avons, avec nos deux partenaires, montré le nombre très impressionnant de clients qui, arrivés sur la page du site du tiers de confiance, décrochent car ils considèrent que transférer des sommes importantes sans une maîtrise totale du texte dans leurs langues habituelles, est un risque non négligeable. C’est en montrant ce pourcentage de transactions désactivées en dernière minute sur les sites de nos tiers de confiance, qu’ils ont été immédiatement convaincus qu’ils devaient eux-mêmes modifier très vite dans les langues d’Artprice (français, anglais, allemand, italien, espagnol et chinois), leurs pages et leurs API informatiques.
C’est donc une affaire réglée qui sera résolue dès le deuxième trimestre avec très certainement en plus l’arrivée d’un troisième partenaire asiatique comme tiers de confiance sur la zone Asie/Pacifique.
Boursica :
Peut-on considérer que la Place de Marché Normalisée aux Enchères est désormais figée ?
Thierry Ehrmann :
Oui, dans l’essentiel, tout est là. Mais nous avons une très forte culture dans Artprice de faire des cahiers des charges béton, synthétique et peu coûteux en ressources humaines, qui volontairement, laisse une part importante à des extensions diverses et variées, que nous remonte notre Customer service qui est excellent pour analyser les demandes des clients de tous pays. Le plus grand danger est de faire un développement informatique faramineux, prisonnier d’un cahier des charges monstrueux qu’on impose de force à la clientèle internationale. La grosse erreur des Français est d’essayer d’imposer un produit en fonction de ses goûts. Artprice a une pratique inverse et nous considérons que ce sont les clients et le marché qui sont nos meilleurs prescripteurs et conseillers. Cette approche paraît simple et pourtant, très peu de groupes en France la pratiquent.
Boursica :
Vous avez fait état, dans un communiqué, que l’offre en cours correspondait pour le moment au prévisionnel de 2013. Qu’en est-il ?
Thierry Ehrmann :
En effet, nous avions tablé sur 300 lots nouveaux présentés par jour, soit une moyenne de 90 000 lots par an. Nous sommes actuellement dans une moyenne qui avoisine les 500/700 nouveaux lots présentés par jour avec une gamme de prix très variée. Il faut préciser que pour une grande Maison de vente, une très belle vente cataloguée n’excède jamais 300 à 350 lots présentés et il faut en moyenne 2 à 3 mois de préparation, a contrario d’Artprice où il faut 12 heures en moyenne. Cela en fait réfléchir plus d’un.
Boursica :
Pourquoi ne pas transférer la Place de Marché Normalisée à prix fixe, aux enchères directement ? Cela amènerait un chiffre d’affaires que vous possédez déjà, et qui est considérable et immédiat à Artprice.
Thierry Ehrmann :
En effet, la question s’est posée et nous avons eu un véritable débat au cœur d’Artprice. J’ai tranché dans le vif entant qu’auteur de la P.M.N. et j’ai considéré que la Place de Marché Normalisée à prix fixe, compte tenu des volumes énormes, est un véritable écosystème depuis janvier 2005 et que nous devons opérer une transition en douceur, sans jamais forcer nos fidèles clients.
Boursica :
Vous paraissez bien sûr de votre postulat. Pourriez-vous le développer ?
Thierry Ehrmann :
C’est simple, je pars du principe qu’une très grande majorité des vendeurs choisira naturellement les enchères car, contrairement à un marché comme l’immobilier ou l’automobile, où la variation entre le prix fixe et les enchères est somme toute peu importante, dans le cadre d’Artprice, le différentiel du prix fixe que l’on présume d’une œuvre d’art et celui du prix résultant d’une enchère peut, même si le vendeur est un professionnel, passer du simple au double très naturellement. C’est sur ce postulat que je considère que nous détenons, de manière propriétaire, depuis 7 ans, un nombre de vendeurs et d’acheteurs très important dans un mode bases de données et software propriétaires et ce, dans le monde entier, avec un volume de ventes annuelles qui est estimé de l’ordre d’environ 1,8 milliards € sur les 6,3 milliards € de présentations d’œuvres. Ce serait, selon moi, une pure bêtise de forcer à passer aux enchères ces acteurs du marché de l’art qui sont dotés d’une forte personnalité et qui sauront très bien, par eux-mêmes, se faire une opinion. J’en ai la preuve tous les jours en voyant les migrations naturelles.
Boursica :
Mais vos actionnaires veulent un résultat immédiat ?
Thierry Ehrmann :
Nous avons su attendre un certain temps pour que la France se décide à appliquer en droit interne une directive Européenne. Je me refuse de faire le jeu contre-productif d’un tout petit nombre d’actionnaires qui voudraient une communication réglementée quotidienne et qui assimileraient notre cours de bourse à la Française des Jeux. Je n’ai rien contre la Française des Jeux qui est d’ailleurs un groupe de qualité mais les amateurs d’émotions fortes qui désirent un rendement quotidien ne sont pas pressentis pour être actionnaires d’Artprice.
Boursica :
Que pensent vos actionnaires historiques ?
Thierry Ehrmann :
Comme par hasard, l’ensemble de nos actionnaires historiques et/ou importants sont presque plus patients que nous le sommes. Nous sommes en train, selon les historiens et les sociologues du marché de l’art, d’effectuer une mutation aussi importante que le passage de la corbeille de bourse aux ECN de type NASDAQ ou Instinet de Thomson Reuters. A ce titre, il faut laisser un peu de temps au temps, d’autant plus qu’avec nos dépôts en propriété intellectuelle et industrielle, nous disposons d’un monopole légal, en matière de normalisation du marché de l’art ID artiste, ID oeuvre ID catalogue raisonné, ID estimation/économétrie… (Voir les précédentes interviews de Boursica), sans abus de position dominante et donc avec une absence absolue de concurrents sérieux disposant de droits similaires en terme de D.P.I. depuis 16 ans. Dans l’hypothèse peu vraisemblable qu’il arrive un jour un numéro 2, la règle terrible du Online que je pratique depuis 25 ans s’appliquerait "Second place is the First loser".
Boursica :
Peut-on voir un rapport avec l’A.G.E. du 30 mars 2012 qui n’était pas prévue au calendrier ?
Thierry Ehrmann :
Oui, effectivement. Cette A.G.E. grave définitivement dans le marbre la réussite de notre mutation économique qui est désormais pour nous de l’ordre de la certitude. Nous sommes, dans un premier temps, avec 16 ans de travail, devenus le leader mondial de l’information sur le marché de l’art avec 1,4 million d’abonnés. En début 2012, nous avons acquis avec assurance la conviction que notre cœur de métier et notre rentabilité optimale se situent sur la Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères. C’est la raison pour laquelle nous modifions en profondeur notre objet social pour être en adéquation avec cette aventure extraordinaire qu’est Artprice.
Boursica :
Certains de nos lecteurs nous ont fait part d’une augmentation de capital lors de cette AGE. Est-ce le cas ? Il me semble que vous étiez contre.
Thierry Ehrmann :
Il ne s’agit nullement d’une augmentation de capital mais uniquement d’un plan de stock-options dans le but d’être attractif pour des profils atypiques et rares que nous chassons pour la Place de Marché Normalisée aux Enchères. Il est clair que nous cherchons les meilleurs éléments où qu’ils soient dans le monde feutré du marché de l’art et nous voulons nous en donner les moyens. De même il est logique de récompenser les collaborateurs d’Artprice qui se sont impliqués dans des proportions au-delà des normes communes.
Concernant les augmentations de capital, je réitère mes propos, à savoir que je suis totalement hostile aux augmentations de capital qui non seulement diluent les actionnaires mais surtout, et on l’oublie souvent, interdisent à la société cotée de voir son cours grimper très rapidement. Contrairement à la grande majorité de sociétés cotées, nous n’avons pas un euro de dette. Pas de découvert bancaire, pas d’emprunts court, moyen et long terme, aucun convenant bancaire, ni d’instruments financiers à rembourser comme les BSA et autres produits dérivés, avec de plus, une bonne trésorerie et un BFR négatif.
Boursica :
Il y a quelques jours, vous avez publié votre rapport du marché de l’art. Comment se fait-il que tous les médias français et internationaux ainsi que les institutions ne citent qu’Artprice lorsqu’on parle de marché de l’art ? C’est un lobbying ?
Thierry Ehrmann :
Non, je vous le certifie, une seule réponse à votre interrogation: l’historique d’Artprice : nous sommes aujourd’hui le seul groupe au monde à avoir normalisé le marché de l’art avec plus d’un million d’heures de travail d’historiens, de chercheurs et de journalistes en marché de l’art qui ont documenté et écrit sur toutes les œuvres issues de ces manuscrits et catalogues, notamment du 17e siècle à nos jours. C’est pour cela que nous avons la plus grande banque de données d’informations sur le marché de l’art au monde qui permet de tracer les œuvres d’art au fil des siècles avec 108 millions d’images ou gravures d’œuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par nos historiens d’art. Avec cette normalisation et plus de 3600 maisons de ventes qui sont connectées sur notre Intranet sécurisé, nous sommes la seule agence de presse (Art Market Insight) à pouvoir fournir des données macro-économiques, des cotes et indices selon la méthode des ventes répétées et plus d’une centaine d’indices de référence qui permettent à plus de 6300 médias chaque année d’aborder le marché de l’art à travers des chiffres objectifs et exhaustifs.
Boursica :
Avez-vous un exemple concret ?
Thierry Ehrmann :
J’en veux pour preuve notamment la Chine, où nous sommes de très loin les seuls à remonter une information aussi difficile et délicate de par la barrière linguistique ainsi que les us et coutumes.
Boursica :
Cette présence permanente dans les médias a-t-elle un coût ?
Thierry Ehrmann :
Non, bien au contraire, de manière systématique et contractuelle, la presse écrite et audiovisuelle a l’obligation de nous sourcer avec notre code Internet et de commenter notre méthodologie. Nous estimons que chaque année, nous économisons en valorisation entre 16 et 18 millions d’euros d’espaces publicitaires qui, de toute façon, n’auraient pas la même pertinence car rien ne remplace un contenu d’agence de presse dont le degré de lecture est infiniment plus fort que de la publicité, si talentueuse soit elle. Concernant les études de marché spécifiques pour les médias, les assurances ou le private banking, bien évidemment, nous facturons nos études comme il se doit.
Boursica :
Mais vous aviez bien pourtant parlé d’une campagne publicitaire internationale pour le lancement de la Place de Marché Normalisée aux Enchères ?
Thierry Ehrmann :
Oui, dans le cadre du lancement des enchères, nous avons certes bénéficié de très bonnes retombées médiatiques mais nous avons complété, pour l’exercice 2012, par un plan de campagne ciblé sur la presse artistique, où nous avons pris pour chaque pays clé le leader et le co-leader ainsi que des campagnes sur des networks T.V. très ciblés sur l’art et le luxe. La campagne a démarré fin janvier 2012, pour se caler sur le calendrier du marché de l’art, qui prend son amplitude avec les ventes dites de printemps.
Boursica :
Revenons au rapport annuel du marché de l’art qui vient de sortir. Celui-ci étant disponible sur votre site Internet, pourriez-vous nous dire brièvement quel enseignement essentiel doit-on en tirer ?
Thierry Ehrmann :
Le premier enseignement est son titre : "L’art ne s’est jamais aussi bien vendu en 2011". Le produit mondial des ventes aux enchères a dépassé son record absolu avec 11,5 milliards $. Ce qui veut dire qu’avec le premier marché, soit les galeries, marchands d’art et courtiers, on est désormais sur une base d’environ 90 milliards $, selon les ratios entre le premier et le second marché. Le taux d’invendus est au plus bas. La Chine écrase les USA avec 41,4% de volume mondial et l’Asie devient à elle seule un véritable marché avec près de 45% du marché mondial. Les artistes chinois trustent toutes les meilleures places tant dans notre Top 10 que dans notre Top 500. J’en veux pour exemple l’Icône occidentale Pablo Picasso qui, pour la première fois, sort du podium pour devenir numéro 4 mondial. Quant à la France, rien de nouveau, la chute continue toujours et encore.
Le nombre d’enchères millionnaires ne cesse de croître dans le monde, notamment en Asie.
Boursica :
Le marché de l’art serait donc comme l’or, une valeur refuge ?
Thierry Ehrmann :
Oui, nous en avons la démonstration avec les deux épreuves terribles où l’économie et la finance mondiale se sont effondrées en 2008 et en 2011 alors que le marché de l’art a fait preuve d’une grande maturité et de performances exceptionnelles. Ce n’est pas pour rien que le private banking et les gestionnaires de patrimoine conseillent désormais, notamment grâce aux outils économétriques d’Artprice, de se diversifier en période de crise dans le marché de l’art. Je vous invite à regarder nos progressions par gamme de prix et vous comprendrez que l’Artprice Global Index se porte mieux que le S&P 500 ou l’Eurostoxx 50.
Boursica :
Justement, en parlant d’enchères millionnaires, à quand la première enchère millionnaire sur Artprice que tout le monde attend ?
Thierry Ehrmann :
Les enchères millionnaires sur Artprice sont une absolue certitude, au vu de nos discussions avec les grands acteurs du marché de l’art. Ce n’est donc qu’une question de date. Un seul pressentiment, cette enchère portera vraisemblablement sur un artiste Chinois.
Boursica :
Pour revenir aux performances de la France, pourquoi une telle chute d’année en année ?
Thierry Ehrmann :
J’ai souvent répondu à cette question. La France était numéro 1 mondial dans les années 60 mais hélas, elle n’a cessé de perdre du terrain. Quelques chiffres : l’art contemporain sur une année pèse 13 millions $, ce qui signifie à l’échelle du Monde le néant, New York et Londres sur de belles ventes cataloguées réalisent chacune en une journée ce que la France fait en un an. Il est évident que le monopole de près de 500 ans des commissaires-priseurs et la première réforme de 2000 qui a avorté dans des conditions pathétiques, ont contribué à paralyser la maison France. Nous en savons quelque chose à titre personnel, avec nos 16 ans de combats législatifs et dizaine de procédures desquelles nous sommes sortis vainqueur après des années de calendrier judiciaire.
Boursica :
Mais la guerre est désormais terminée entre Artprice et l’ancien monopole ?
Thierry Ehrmann :
Sur le plan économique, la messe est dite et nous avons une autoroute californienne devant nous. Sur le plan du droit, sans être rancunier, nous devons finaliser quelques dossiers où le préjudice économique que nous avons subi doit aboutir à un processus indemnitaire. De même, certaines attaques qui n’ont pas abouti méritent réparations en demandes reconventionnelles. Par ailleurs, nous maintenons avec fermeté, nos poursuites pénales et notre plainte contre des Maisons de ventes françaises pour entente illicite devant l’Autorité de la concurrence avec de nouveaux éléments depuis fin janvier 2012.
Boursica :
Vous visez qui ?
Thierry Ehrmann :
En réalité, un tout petit nombre d’anciens commissaires-priseurs parisiens, essentiellement à Drouot, avec ses scandales judiciaires et mises en examen à répétitions. Concernant l’organisme de régulation, qui est le Conseil des Ventes Volontaires, le communiqué de presse du 6 Janvier 2012 à quelques heures de notre lancement de la Place de Marché Normalisé aux enchères, sans le moindre courrier, ni appel téléphonique préalable, ni la moindre mise en demeure était totalement surréaliste alors qu’il nous connaît très bien, tant par nos auditions, que nos fournitures de données chaque année pour leur rapport annuel sur le marché de l’art. Depuis quand un acte introductif d’instance se matérialise par un communiqué de presse, sans que nous soyons prévenus préalablement par voie judiciaire ?
Pour moi la mission du Conseil des ventes est primordiale, mais dans le strict respect du contradictoire. Les choses étant ce qu’elles sont, une grille de lecture nous fait penser que ce petit noyau dur de commissaires-priseurs proche de Drouot, fous de rage des conséquences de la loi du 20 juillet 2011 et notamment de l’article 5, dont je viens de vous parler, a induit de manière intentionnelle en erreur le Conseil des Ventes Volontaires qui a su ces dernières années avec peu de moyens, oser ouvrir avec courage de vrais débats sur le déclin inexorable du marché français. Il faut savoir que nous avons eu des menaces extrêmement violentes de quelques rares acteurs qui ne supportent pas de voir leurs marges et leur marché s’effondrer. Mon côté perspicace et mes nombreuses heures de vol au compteur me font dire que de telles manifestations de haine et de fureur prouvent que nous avons frappé là où résidait le profit, à savoir entre autres 5% de commission nette sur les œuvres de plus de 15 000 € et 7% de 7 500 à 15 000 €.
Boursica :
Internet a donc dévoré le marché de l’art, entre autres, avec vous ?
Thierry Ehrmann :
Il faut tout relativiser et ne jamais oublier que plus de 4500 sites Internet d’art ont disparu depuis 2000 et que nous avons vécu la quasi-disparition boursière de site d’art sur Internet désormais relégué en OTC sans aucun volume. Pour nous, il est vrai que nous avons démarré Artprice avec moins de 30 millions d’internautes et que nous sommes aujourd’hui à plus de 2,7 milliards d’internautes. Mais le meilleur est à venir. Mais mieux que tout, la déclaration du Président de Christie’s sur les œuvres d’Art et Internet est pour nous une excellente certification.
Boursica :
Il reste encore de la croissance sur Internet ?
Thierry Ehrmann :
Nous n’en sommes qu’à 30 % du cycle de croissance de l’Internet à 15% du processus de dématérialisation de l’ancienne économie. L’Internet mobile colle parfaitement à Artprice, car notre clientèle est par nature nomade et a besoin d’informations dans le feu de l’action, comme les experts, les assureurs, les galeristes, les auctioneers, les douanes et bien sûr les collectionneurs et amateurs en situation d’achat ou de vente en galerie ou en salle des ventes.
L’Internet mobile pour Artprice devrait représenter 80% de nos consultations. Nous en sommes déjà à plus de 30% et cette année, l’ensemble des grands bureaux d’études émet une prévision en nombre de Smartphones vendus un chiffre pour 2012 qui se situe entre 550 et 700 millions de nouveaux internautes mobiles. En 2015, c’est plus de 3,5 milliards d’internautes mobiles que nous pourrons connecter à Artprice.
Boursica :
Qu’entendez-vous par 15% du processus de dématérialisation de l’ancienne économie:
Thierry Ehrmann :
Nous ne sommes qu’au début de la dématérialisation de l’ancienne économie.
Je reprendrais la citation de mon vieux maître Pythagore, le premier des philosophes pour lequel tout est nombre, à l’exception des essences que sont les émotions humaines non quantifiables, indicibles et se jouant des nombres. A ce titre au-delà du nombre d’internautes, pratiquement tous les actes de commerce peuvent être dématérialisés, Artprice avec le Marché de l’Art est un très bon exemple. Vous verrez que l’enjeu majeur dans le monde sera ce binôme: dématérialisation et développement durable. La seule vraie réponse à la crise énergétique, c’est la dématérialisation.
Boursica :
Devant de tels chiffres, comment faites-vous sur le plan technique ?
Thierry Ehrmann :
Nous avons, à travers notre maison mère, le Groupe Serveur, qui est un des tout premiers pionniers de l’Internet depuis 1987 (selon Time Magazine), travaillé dans les années 90, dans le respect des directives Européennes et de la CNIL, sur le concept de Data mining, mais nous sommes maintenant passés au concept de "Big data" avec des unités de stockages qui se mesureront à terme en péta-octet. Ces données sont produites en temps réel, elles arrivent de tous pays en flots continus, sont méta taguées mais de façon hétérogène et proviennent de sources très diverses déstructurées et non prédictives.
Boursica :
Quelle est la différence entre le Big data et le Data mining ? C’est de la même chose dont on parle ?
Thierry Ehrmann :
Non, je vais vous expliquer pourquoi. Le concept de Data mining était de croiser des données à haute valeur ajoutée des banques de données des groupes, pour amener de la data très qualitative. Le concept de Big data, c’est bien évidemment le Data mining en sous-ensemble, mais avec une collecte, toujours dans le respect des règles de protection des données personnelles, de milliards de données (logs) considérées jusqu’alors comme non essentielles, alors qu’en réalité, dès que nous avons pu constater l’effondrement du coût du péta-octet (1000 téraoctets), nous nous sommes aperçus que l’exploitation en Data mining de ces données à priori moins qualitatives et considérées comme négligeables, étaient en vérité d’une richesse peu commune. Nous pouvons désormais comprendre des phénomènes complexes et instantanés et aboutir très vite à des produits et services qui collent littéralement à la demande de nos dizaines de millions de visiteurs gratuits ou payants.
Boursica :
Concrètement, quels types d’applications peuvent sortir du "Big data" ?
Thierry Ehrmann :
Nous avons pu par exemple mesurer, depuis l’ouverture de la Place de Marché Normalisée aux Enchères le 18 janvier 2012, non seulement, le nombre impressionnant de visiteurs qui n’étaient jamais venus sur Artprice, mais nous avons pu comprendre aussi, en examinant ces centaines de millions de logs depuis le 18 janvier 2012, pourquoi ces nouveaux clients ne venaient que maintenant, depuis le lancement des enchères. De même, nous pouvons, comme je l’ai dit en début d’interview, dans cet énorme trafic qui a été multiplié pratiquement par cinq sur la P.M.N., décrypter ces nouveaux clients et prospects qui semblent ne s’intéresser qu’aux enchères mais qui en réalité passent leur temps à zapper entre la Place de Marché Normalisée aux enchères et nos données gratuites et très limitées en valeur, dans nos bases de données payantes sur les cotes, indices et biographies, sans faire un acte d’achat supérieur à 50 €.
Grâce au Big data, nous pourrons produire des abonnements sur mesure qui prennent en compte la présence à 70% de l’Internet mobile chez ces nouveaux clients et prospects et de leur degré d’informations payantes selon leurs profils que nous situons de l’ordre de 36 € /an soit 3 € par mois. Ce qui change tout dans cette analyse c’est que notre cible ne se mesure plus en million d’abonnés, comme c’est le cas actuellement, mais en dizaines de millions de consommateurs d’art sur mobile de type iPhone ou en OS Android de Google
Boursica :
Dans tout cela, où sont les artistes ?
Thierry Ehrmann :
Et bien justement, on s’aperçoit grâce au Big data, malgré notre banque de données de biographies regroupant 1,8 million d’artistes, dont 450 000 cotés aux enchères publiques, qu’il existe près d’un million d’autres artistes, beaucoup moins connus, avec un parcours plus discret, qui sont en réalité fascinés par la possibilité de vendre leurs œuvres sur notre Place de Marché Normalisée aux Enchères, avec leur biographie en ligne, sans rentrer dans le processus économique de la galerie puis de la maison de ventes qu’ils refusent par une philosophie d’indépendance. Ce potentiel est loin d’être négligeable et le prix de leurs œuvres qui est souvent inférieur à 7500 €, nous permet d’appliquer notre fourchette basse de 9% de commission et frais.
Boursica :
Concernant votre réseau social Artprice Insider, où en êtes-vous ?
Thierry Ehrmann :
Ce réseau social construit avec des sociologues et professionnels des réseaux sera le contraire de Facebook, à savoir que les professionnels et membres d’Artprice apparaîtront sous leur vrai nom et Artprice Insider sera couplé à la Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères. Les premiers tests donnent d’excellentes remontées et les échanges sont tous qualitatifs a contrario de certains réseaux sociaux où l’inutile est omniprésent. Cela fait 18 mois qu’on le peaufine car c’est une véritable bombe dans le monde feutré du marché de l’art dans lequel notre droit à l’erreur doit être proche de zéro.
Boursica :
Ce réseau serait donc réservé aux initiés du marché de l’art ?
Thierry Ehrmann :
Non, pas tout à fait. Je dirais plus que ce réseau s’apparenterait à un Think tank ou à une Brain box. La puissance d’Artprice Insider doit être d’émettre des idées originales, d’avoir un réservoir d’experts, d’être un lieu d’expertise, d’éclairer le débat autour du marché de l’art et faire émerger de nouveaux concepts. Tout, absolument tout est à réinventer dans le marché de l’art qui a été totalement endormi jusqu’à l’arrivée d’Internet. Petit scoop, après leurs accords positifs, nous pouvons annoncer qu’il y aura en live des intervenants qui font partie du Top 100 des Market Makers du marché de l’art.
Boursica :
Avec tout ce programme, comment trouvez-vous le temps de préparer une rétrospective de vos 30 ans de sculpteur plasticien pour juin 2012 à la Demeure du Chaos, qui est le siège social d’Artprice mais aussi un musée d’art contemporain ?
Thierry Ehrmann :
En effet, cela fait 18 mois que je prépare mes 30 ans de sculpteur-plasticien que je fêterai en juin 2012. Pour cet événement important, j’ai réalisé depuis 18 mois, 450 sculptures d’acier brut qui sont une invitation aux visiteurs à réaliser le parcours plein air et découvrir les 3609 œuvres formant le Corpus de la Demeure du Chaos, appelé aussi Abode of Chaos, dixit "The New York Times".
Il aura fallu plus de 900 tonnes d’acier brut, des maîtres forgerons et des lasers de haute précision, pour arriver à créer ce qui sera, au niveau Européen, la plus grande installation statuaire. Une fois de plus, cette démarche plasticienne me permet de décrypter avec une grande sensibilité les artistes et les acteurs du marché de l’art. On ne peut pas réaliser Artprice sans être totalement immergé dans le champ de l’art. Pour l’anecdote, il y a un nombre important d’actionnaires et/ou clients dans nos 120 000 visiteurs/an, je peux donc le week-end bénéficier de discussions et d’échanges très pertinents pour Artprice hors le contexte du travail. Avec une pointe d’humour, je peux donc dire que je fais la semaine de 63 heures. Ceci dit, ce choix que j’accepte avec lucidité, peut expliquer bien des choses que certains ne saisissent pas vraiment.
Boursica :
Que dire de votre cours de bourse de 2011 ? Et qu’attendez-vous de 2012 ?
Thierry Ehrmann :
Il me semble que peu de dirigeants de sociétés cotées en Europe ont pu pressentir l’évolution de leur cours comme nous en 2011. Artprice a eu le meilleur parcours de tout le marché réglementé, avec +472% de progression sur l’année 2011 et un volume traité de 873 millions € du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2011, avec le passage mythique à 67€ que j’avais prédit, suite au célèbre dicton boursier "cours vu, cours revu". Sur 1 an en moyenne mobile, nous sommes à +476% et 1,25 milliards € traités sur le titre. Cette année, avec le compartiment B de Eurolist et notre passage au SRD Long Only il y quelques jours, et bien sûr les enchères, j’ai le pressentiment que l’on peut espérer, avec toutes les précautions d’usage, notamment par des événements exogènes à Artprice, un cours se consolidant autour de 90€.
Boursica :
Vous avez parlé récemment de fonds qui s’intéressent à Artprice, peut-on en savoir plus?
Thierry Ehrmann :
Sans rentrer dans le principe de confidentialité entre les parties, notre passage au SRD Long Only fait que de nombreux fonds qui statutairement n’ont le droit de prendre que des positions sur les sociétés françaises au SRD peuvent donc prendre désormais des lignes sur Artprice. Ils ont une approche très différente des français et utilisent la méthode des comparables avec entre autre Sotheby’s qui est la seule Maison de ventes cotée dans le monde, car ils arrivent en 2012 avec une vision d’Artprice comme acteur principal du marché de l’Art sur Internet par notre Place de Marché Normalisée aux enchères ou à prix fixe, et de ce fait, valorisent différemment Artprice car ils considèrent que notre cours ne représente absolument pas la vraie valeur d’Artprice.
Boursica :
Pouvez-vous être plus précis ?
Thierry Ehrmann :
Nous vous avons donné dans la première interview de juin 2011 les éléments de calcul avec des exemples précis des méthodes de valorisations vielles de plus de 120 ans (N.B. la valeur d’une Maison de Ventes dans le monde, c’est principalement 80 % le fichier client, entre 800 et 4000 dollars par client et 20 % pour la marque de la Maison de Ventes si cette dernière est notoirement connue. Pour bien comprendre la différence entre un poste client estimé à 800 dollars et l’autre à 4000 dollars, c’est à partir des strates d’informations détenues sur le client final que l’on calcule le prix). Donc pour les équipes d’Artprice, moi-même et nos actionnaires c’est la quasi certitude d’être au début d’une nouvelle histoire. Je dirais que nous sommes comme une société qui s’apprêterait à réaliser une I.P.O. au Nasdaq avec en prime, la maturité que nous avons déjà avec 11 ans de parcours sans faute, au marché réglementé. C’est très excitant et terriblement motivant.
Boursica :
Et vos accords sur l’Asie, où en sont-ils ?
Thierry Ehrmann :
Au mois de mars 2012, nous démarrons en Chine une longue marche sur les principales maisons de ventes Chinoises avec près de 40 rendez-vous, avec lesquelles nous partageons beaucoup d’affinités, notamment sur la dématérialisation du marché de l’art, et elles pensent comme nous, que la notion de salles de ventes physiques est inappropriée en 2012 face à l’Internet et notamment notre Place de Marché Normalisée aux Enchères qui aura sa propre assise à Hong Kong, dans nos futurs bureaux.
L’Asie, que je connais bien depuis 20 ans, obéit à des rythmes très différents de nous autres occidentaux. Il faut un temps énorme pour acquérir la confiance de votre futur partenaire. La parole donnée prime sur le droit des contrats. En revanche, la mise en place d’un business se fait à une vitesse fulgurante qui panique généralement les occidentaux. Je pense qu’Artprice est très bien positionnée en Asie où nous sommes considérés comme avant-gardistes, très loin devant les vieilles maisons anglo-saxonnes considérées par les Asiatiques comme parfois dépassées par les événements.
Boursica :
Puisque vous parlez des vieilles maisons anglo-saxonnes, quels sont vos rapports avec elles actuellement et surtout depuis le 18 janvier 2012 ?
Thierry Ehrmann :
Le rapport de force qui s’était établi en 2005 avec la Place de Marché Normalisé à prix fixe a considérablement évolué. Il semble que les deux économies ont chacune effectuée une réflexion en profondeur sur leur avenir. Il est vrai que les confrontations entre l’ancienne économie et l’économie du numérique sur d’autres secteurs que le marché de l’art ont fait avancer le débat. Une fois de plus la Messe est dite avec près de trois milliards d’internautes face aux 50 millions de 1999, d’où ma théorie du changement de paradigme économique.
Boursica :
Pouvez-vous développer plus précisément le contenu de ce débat ?
Thierry Ehrmann :
L’ancienne économie a enfin compris qu’être depuis 25 ans sur Internet, comme Groupe Serveur, qui contrôle Artprice et dont je suis le fondateur, est un espace temps, non seulement incompressible mais très onéreux à acquérir, notamment par la culture de l’Internet qui est très sophistiquée. Sur le secteur du marché de l’art, une anecdote est très révélatrice, avec des recommandations à New-York, dues aux manifestations du « Occupy Wall Street ». Il est recommandé aux gens aisés d’éviter un certain nombre de lieux et notamment les salles des ventes. Ceci dit, les grandes maisons sont en train de liquider peu à peu leurs immobiliers ou résilier de manière anticipée leurs baux. Ils découvrent que l’informatique en réseau sécurisé Intranet, le Data mining, le marketing comportemental, l’indexation, les bases de données normalisant le marché de l’art, sont une industrie lourde, avec des barrières d’entrées financières et technologiques très élevées et parfois, comme cela est notre cas, des protections au titre de la propriété intellectuelle qui leur interdisent tout simplement d’utiliser hors contrat, la réalisation de Places de Marché Normalisées ® sur le marché de l’art dont Artprice possède les différents droits d’auteur tels que entre autres le Droit sui generis.
Boursica :
Et alors, que doit-on conclure ?
Thierry Ehrmann :
La première conclusion est que la partie adverse a pris conscience de la valeur des actifs corporels et incorporels qui constituent une des grandes richesses d’Artprice. Le point numéro deux, est que les grandes maisons ont toutes investi sur Internet, avec généralement, deux à trois plans d’investissements, des sommes se chiffrant systématiquement en centaines de millions de dollars et dont le résultat est insatisfaisant et parfois se révèle catastrophique. Le point numéro trois passe par la reconnaissance d’un acteur historique comme Artprice et la capacité d’imaginer pour la première fois un véritable partage du marché de l’Art.
Boursica :
Comment se partagerait ce marché de l’Art ?
Thierry Ehrmann :
De manière très simple, tout le segment des œuvres inférieures à 15 000 € leur est étranger, et pourtant il pèse un volume colossal sur le marché de l’art (81%). Entre
15 000 et 50 000 €, ils ne sont pas vraiment compétitifs en termes de prix. Se pose alors la question des œuvres de plus de 50 000 € et bien sûr celle des œuvres millionnaires sur lesquelles se greffent alors un service et une prestation parfois sur mesure pour l’acheteur comme pour le vendeur. Très vite, ces vielles maisons font leurs calculs et voient que leurs avantages marketing et leur ancienneté ne suffisent pas à équilibrer leur économie en se projetant sur les cinq prochaines années. Il leur reste alors une démarche pragmatique en se rapprochant de nous.
Pour autant, nous respectons leur démarche mais nous ne pouvons par faire autrement que de nous référer à nos partenaires asiatiques qui ont depuis longtemps anticipé la situation et n’ont donc plus de problème à résoudre. Il est tout à fait possible que nous arrivions, néanmoins, à trouver des terrains d’entente car une jeune génération de cadres supérieurs à la tête de ces vieilles maisons ne s’embarrassent pas des fantômes du passé et passent à l’acte.
L’année 2012 sera certainement pour nos actionnaires accompagnée d’heureuses nouvelles, parfois surprenantes.
Boursica :
Peut-on en savoir plus ?
Thierry Ehrmann :
Sans trahir le secret des affaires, nous avons des acteurs majeurs qui, avec beaucoup de maturité, ont décidé de nous adopter progressivement en marque blanche ou en marque grise. Il est évident que dans ces cadres, le transfert de chiffre d’affaires de sociétés traditionnelles qui opèrent aux enchères d’art depuis de nombreuses années, en utilisant notre Place de Marché Normalisée aux Enchères pour leur propre compte, est susceptible d’impacter le cours de manière non négligeable.
Actuellement nous vivons de manière régulière, ce type de scénario: le départ d’un directeur général à la retraite d’une très grande Maison de ventes internationale et l’arrivé d’un nouveau D.G. de 35 ans qui immédiatement après avoir fait son audit, se rapproche de nous avec un vrai désir de faire du big business, alors que son prédécesseur par son âge proche de la retraite, considérait Artprice dans le meilleur des cas comme un Ovni dans le monde de l’Art sans aller plus loin. Une fois de plus, la patience est une des conditions essentielles de la réussite d’Artprice depuis sa création.
Boursica :
Dans ce cadre, quel est votre statut ?
Thierry Ehrmann :
Dans ces cas-là, nous opérons comme une SSII et un centre Serveur où nous facturons des frais récurrents d’hébergements et d’utilisation de nos logiciels et bases de données propriétaires.
Boursica :
Un dernier mot enfin. Vous nous avez, dans notre première interview, déclaré qu’Artprice était à 10% de son histoire, puis, dans la deuxième interview, vous pensiez plutôt n’être qu’à 5%. On est à combien aujourd’hui ?
Thierry Ehrmann :
Nous sommes toujours à 5% du développement d’Artprice mais la grande différence, c’est que ces 5% qui étaient une intuition en 2011, sont désormais confortés par des faits et des chiffres, ce qui change tout pour nos actionnaires et nous-mêmes …
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Les précédentes interviews exclusives de Thierry Ehrmann :
http://serveur.serveur.com/Press_Release/2011-interview-thierry-ehrmann.html
Artprice est le leader mondial des banques de données sur la cotation et les indices de l’Art avec plus de 27 millions d’indices et résultats de ventes couvrant 450 000 Artistes. Artprice Images(R) permet un accès illimité au plus grand fonds du Marché de l’Art au monde, bibliothèque constituée de 108 millions d’images ou gravures d’oeuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par ses historiens. Artprice enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 4 500 Maisons de ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 6300 titres de presse dans le monde. Artprice diffuse auprès de ses 1 400 000 membres (member log in), ses annonces, qui constituent désormais la première Place de Marché Normalisée(R) mondiale pour acheter et vendre des oeuvres d’Art à prix fixes ou aux enchères (réglementée par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce). (source Artprice). Artprice est cotée sur Eurolist by Euronext Paris au compartiment B, SRD long only : Euroclear : 7478 – Bloomberg : PRC – Reuters Découvrir l’alchimie et l’univers d’Artprice http://web.artprice.com/video/ dont le siège social est le célèbre Musée d’art contemporain Abode of Chaos. Sommaire des communiqués d’Artprice : Suivre en temps réel toute l’actualité du Marché de l’art avec Artprice sur Twitter : |
Artprice’s annual art market report 2011. Art sales at their best.
Paris, February 27 , 2012
Artprice’s annual art market report 2011. Art sales at their best.
While old economies are struggling, growth is accelerating in the BRICS countries. The five BRICS – Brazil, Russia, India, China and South Africa- have been enjoying much stronger economic expansion than the developed countries and China’s growth in particular has profoundly modified the geographical structure of the global art market according to thierry Ehrmann, the founder and CEO of Artprice, the world leader in art market information. Moreover, in Singapore, Beijing and Hong Kong, politicians are aware of the enormous economic potential of art for their state or their city, and their governments strongly support major cultural events including Contemporary Art fairs. In addition to the 49% growth in auction revenue from artworks in China, a number of other Asian countries have also posted particularly dynamic growth, such as Singapore (+22%) and Indonesia (+39%).
This growth has been driven by the emergence of new and very wealthy collectors and a growing number of art investment funds. As a result, the Asian art market has become the most high-end area of the entire globe. For example, 12.1% of works sold in Asia sell for between $100,000 and $1m, versus 2.2% for the rest of the world. China, Asia’s leading economic power and world leader for sales of artworks, has surprised everyone not just by its acquisitive capacity but also by its independence. It accounts for the highest auction results (with 774 auction results above $1 million recorded in 2011 compared with 426 in the USA and 377 in the UK), mostly generated at auctions in Beijing and Hong Kong. Even if China were deprived of the strong Hong Kong sales of Christie’s and Sotheby’s, it would easily remain the first global marketplace!
In 2011, the global art auction market generated 21% more than in 2010 and there is not a single segment of the art market that did not progress in terms of turnover. Compared with 2010, Modern art added $1.2B, Post-war art added $372m, Contemporary art added $291m, Old Masters added $124 million and 19th century art posted an increase of $43 million. In addition, bulimic buying has not left any medium on the side-lines. 2011 saw the sale of more paintings, sculptures, photographs, drawings and even prints than 2010. Indeed, driven by the rocketing prices of the Chinese Old and Modern masters, drawing has really come into its own, with its annual revenue up by $1.318 billion over the year.
This year, Artprice’s annual art market report – based on 6.3 million auction results from 4,500 auction houses around the world and distributed to over 6,300 media organisations and international institutions every year in 6 languages – will focus particularly on China’s successful conquest of the global art market. Our 2011 Art Market Trends contain macro- and micro-economic analyses providing the keys to understanding the annual evolution of the global auction market. It discusses the major trends in the market, analysed throughout the year on the ArtMarketInsight page of our website, by the Artprice press agency and by our Econometrics Department. To complement this objective appreciation of the art market based on a year of global auction results, Artprice also offers numerous original rankings such as the Top 500 artists by auction revenue and the Top 100 auction results of the year.
Download the complete PDF format document (Free download)
http://imgpublic.artprice.com/pdf/trends2011_en.pdf
- Edito
- A high-end market unaffected by the crisis
- New record year
- The powers at work
- Modern art: the core of the market in 2011
- The best of the Old Masters
Contemporary art - Structural mutation: the art market in the Internet age
- Top 10 Artists
- 11 figures for 2011
- Powerful art market columnists comment the year
- 2011 from the AMCI’s viewpoint
- 2011 in 140 characters – the year as seen by @artpricedotcom
- Top 100 auction results in 2011
- Top 500 artists by auction revenue in 2011
Source: http://www.artprice.com (c)1987-2012 thierry Ehrmann
Artprice is the global leader in databank on Artprices and indices with more than 27 million indices and auction results covering 450,000 artists. Artprice Images® offers unlimited access to the largest Discover the Alchemy and the universe of Artprice http://web.artprice.com/video/, which headquarters are the famous Museum of Contemporary Art, the Abode of Chaos Artprice is listed on Eurolist B by Euronext Paris (SRD long only): Euroclear: 7478 – Bloomberg: PRC – Reuters: Artprice releases: http://serveur.serveur.com/press_release/pressreleaseen.htm Follow all of the art market’s news with Artprice on Twitter: |
Artprice : le rapport annuel du Marché de l’Art 2011. L’art ne s’est jamais si bien vendu.
Paris, le 27 février 2012
Artprice : le rapport annuel du Marché de l’Art 2011. L’art ne s’est jamais si bien vendu.
Tandis que les vieilles économies souffrent, la croissance s’accélère du côté des BRICS. Les cinq membres des BRICS, Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud, ont bénéficié d’une croissance beaucoup plus forte que les pays développés et le formidable assaut chinois a profondément modifié la structure géographique du marché de l’art selon thierry Ehrmann, PDG et fondateur d’Artprice, leader mondial de l’information sur le marché de l’Art. De plus, à Singapour, Pékin et Hong Kong, les politiques ont conscience de l’énorme potentiel économique que représente l’art pour leur état ou pour leur ville et les gouvernements soutiennent fermement les grands évènements culturels, dont les salons d’art contemporain. Outre la croissance de 49 % du volume d’affaires pour la vente aux enchères d’œuvres d’art en Chine, d’autres pays asiatiques sont particulièrement dynamiques : c’est le cas de Singapour (+22 %) ou de l’Indonésie (+39 %) par exemple.
Cette croissance est portée par l’émergence de nouveaux collectionneurs richissimes et d’un nombre grandissant de fonds d’investissements en art. De fait, le marché asiatique est devenu le plus haut de gamme du monde. Par exemple, 12,1 % des œuvres vendues en Asie le sont entre 100 000 $ et 1 m$, contre 2,2 % dans le reste du monde dans cette gamme de prix. La Chine, première puissance asiatique et première puissance au monde pour la vente d’œuvres d’art est étonnante tant par sa force de frappe que par son indépendance. C’est là que les plus grosses enchères sont signées (avec 774 enchères millionnaires enregistrées en 2011 en Chine contre 426 aux États-Unis ou 377 au Royaume-Uni), la plupart du temps dans des salles de ventes pékinoises ou hongkongaises. Même si la Chine se trouvait privée du dynamisme des ventes hongkongaises de Christie’s et Sotheby’s, elle demeurerait la première place de marché mondiale sans vaciller !
A l’issue de l’année 2011, la vente d’œuvres d’art a rapporté 21 % de plus qu’en 2010 à l’échelle mondiale et il n’est pas un secteur de la création qui ne progresse pas en terme de chiffre d’affaires. Par rapport à 2010, l’art moderne gagne 1,2 M$, l’art d’après-guerre 372 m$, l’art contemporain 291 m$, l’art ancien 124 m$ et les créations du XIXème siècle rapportent 43 m$ supplémentaires. De plus, la boulimie d’achat n’a relégué aucun médium à l’arrière-plan. Il s’est vendu plus de peintures, de sculptures, de photographies, de dessins et même d’estampes qu’en 2010. Porté par la cote explosive des maîtres anciens et modernes chinois, le dessin a d’ailleurs véritablement trouvé ses lettres de noblesse, avec un produit de ventes annuel en hausse de 1,318 M$ sur l’année.
Artprice publie en 6 langues son rapport exclusif du marché de l’art repris par plus de 6 300 médias et institutions internationaux chaque année. Réalisé à partir des 6,3 millions de résultats d’enchères de 4 500 maisons de ventes, le rapport annuel "Tendances du Marché de l’art 2011" est constitué de XX pages d’analyses macro-économiques et micro-économiques mises à jour au fil de l’actualité des ventes et des évolutions des prix des oeuvres d’art. Ce rapport édité par ArtMarketInsight, l’agence de presse d’Artprice, avec le département d’Econométrie d’Artprice contient aussi des classements originaux tels que le TOP 500 des artistes par chiffre d’affaires, la liste des 100 plus fortes enchères de l’année.
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http://imgpublic.artprice.com/pdf/trends2011_fr.pdf
- Edito
- Un marché haut de gamme hermétique à la crise
- Nouvelle année record
- Les forces en puissance
- L’art moderne : pivot du marché
- Le meilleur de l’art ancien
- Art contemporain
- Mutation structurelle : le marché à l’heure d’Internet
- Top 10 Artistes
- 11 chiffres pour 2011
- Les grandes plumes mondiales du marché de l’art
- L’année de l’Art Market Confidence Index
- 2011 en 140 Caractères – l’année vu part @artpricedotcom
- Le Top 10 des artistes
- Le Top 100 des enchères 2011
- Le Top 500 des artistes par chiffre d’affaires en 2011
Source: http://www.artprice.com ©1987-2012 thierry Ehrmann
Artprice est le leader mondial des banques de données sur la cotation et les indices de l’Art avec plus de 27 millions d’indices et résultats de ventes couvrant 450 000 Artistes. Artprice Images(R) permet un accès illimité au plus grand fonds du Marché de l’Art au monde, bibliothèque constituée de 108 millions d’images ou gravures d’œuvres d’Art de 1700 à nos jours commentées par ses historiens. Artprice enrichit en permanence ses banques de données en provenance de 4 500 Maisons de ventes et publie en continu les tendances du Marché de l’Art pour les principales agences et 6 300 titres de presse dans le monde. Artprice diffuse auprès de ses 1 300 000 membres (member log in), ses annonces, qui constituent désormais la première Place de Marché Normalisée® mondiale pour acheter et vendre des oeuvres d’Art à prix fixes ou aux enchères (réglementée par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce). Source Artprice Artprice est cotée sur Eurolist by Euronext Paris au compartiment B, SRD long only : Euroclear : 7478 – Bloomberg : PRC – Reuters : ARTF Découvrir l’alchimie et l’univers d’Artprice http://web.artprice.com/video/ dont le siège social est le célèbre Musée d’art contemporain Abode of Chaos. Sommaire des communiqués d’Artprice : Suivez en temps réel toute l’actualité du marché de l’art : |
Synthèse et rappel des neuf points de la Place de Marché Normalisée aux Enchères d’Artprice
Rappel synthétique et mise à jour, par thierry Ehrmann, des neuf points de la Place de Marché Normalisée aux Enchères issus de la communication réglementée d’Artprice :
1) Artprice attaque sa 8ème année (2005/2012) avec sa Place de Marché Normalisée où le flux annuel d’oeuvres d’art est désormais compris entre 5 et 7 milliards (cf. document de référence AMF) et dans lequel il se vend environ de l’ordre de un tiers des oeuvres, pour lequel Artprice n’est pas commissionnée. Cette réserve naturelle et considérable a pour vocation de passer progressivement et naturellement en mode enchère. Pour autant, la Place de Marché Normalisée Artprice étant un succès hors du commun, c’est un éco-système très sensible dans lequel il y a lieu de ne pas forcer la main aux professionnels, collectionneurs et institutionnels. C’est aussi, à terme, la certitude pour la Place de Marché Normalisée Artprice de réaliser ses enchères par le simple fait qu’elle possède, en mode propriétaire, depuis sept ans, acheteurs et vendeurs, dont elle connaît les modalités de comportements et indices de confiance. Le réseau social « Artprice Insider® », qui se mettra en place en février 2012, permettra d’accélérer la mutation entre prix fixe et les enchères.
2) L’erreur majeure de certains acteurs du monde de l’art a été d’imaginer que les grands collectionneurs, les market makers et les grands marchands, qui sont incontestablement des « jeunes seniors », ne daignent pas aller sur Internet, de part leur rang social. Aujourd’hui, avec 2,7 milliards de connectés à lnternet et 1 milliard de nouveaux connectés attendus pour l’année 2012, Artprice, au regard de ses abonnés VIP, a la certitude absolue que cette cible privilégiée possède une connexion Internet fixe et nomade sur Artprice. De même, Groupe Serveur, qui est sur Internet depuis plus de 25 ans, a toujours considéré pour sa filiale Artprice qu’Internet, à contrario du monde de l’art, est avant tout une culture très sophistiquée et non pas simplement des investissements massifs dans le protocole Internet, comme le pense une partie du monde de l’Art. Les asiatiques, avec qui Artprice s’allie, partagent parfaitement ce point de vue, ce qui permet de bâtir des alliances durables et solides.
3) Le pari de dépasser plus de 5000 lots aux enchères le 1er jour était extrêmement périlleux, le marché de l’art reprenant après la mi-janvier. Artprice a relevé le défi et l’a gagné. Pour information, les plus grandes ventes cataloguées au monde (USA, Chine) ne dépassent jamais 1800 lots. Certains imaginent compter en jours la mutation la plus importante du marché de l’art depuis le XIXème siècle. Artprice est en droit de demander, un tempo entendable, au regard de cette révolution historique, dont il tient la plume.
4) Artprice, dans son histoire, n’a jamais constaté tant de fureur, d’actes désespérés, de manœuvres étatiques, de haine, de folie, avec en contrepoids, autant de soutiens, de passion, de ralliement, de la part d’acteurs majeurs ou historiques qui ne s’étaient jusque-là jamais découvert complètement. Les récentes actions relèvent pratiquement de l’affaire d’état et seront traitées comme telles pour les réparations des préjudices. Ceci étant dit, de manière plus générale, de telles conduites pathétiques démontrent, mieux que tout, l’effondrement de l’ancien monde de l’art face à la vision industrielle (au sens noble du terme) d’Artprice sur le marché de l’art en 2012. Si certains occidentaux croient encore détenir le pouvoir de l’art, ils font une lourde erreur car le cœur du pouvoir de l’art est désormais en Asie.
5) Tous nos vieux Maîtres en bourse nous ont toujours expliqué qu’il faut savoir parler au marché mais aussi comprendre ce que nous dit le marché. A ce titre, les volumes quotidiens d’Artprice, qui sont pratiquement ceux d’une valeur du CAC 40, traduisent que les marchés financiers ont, depuis avril 2011, avec plus d’1,1 milliards € de volume traité sur Artprice, acheté et « pricé » que la Place de Marché Normalisée aux Enchères d’Artprice® absorbera inexorablement l’ancien système des salles de ventes physiques, que l’on peut comparer avec les corbeilles des bourses et l’arrivée des réseaux électroniques qui ont laminé les corbeilles de l’ensemble des places boursières. Rien n’arrête le marché quand il a acquis une conviction. Certaines personnes camouflées sur Internet, qui s’égarent dans le langage ou dans les actes, devraient faire preuve de plus d’humilité face au marché boursier et à l’histoire du marché de l’art.
6) De tous temps, les batailles qui amènent à la victoire se focalisent sur les coûts de production et/ou d’intermédiation. Les 5% de frais que prend Artprice pour sa prestation sur sa Place de Marché Normalisée aux Enchères pour les œuvres de plus de 15000€ est imparable. Peu de gens savent que le marché de l’art, à partir de 15000€ est dématérialisé depuis plus de 30 ans car ce seuil de prix détermine une œuvre parfaitement normalisée au regard de l’histoire et du marché de l’art. Moins de 3% des professionnels et collectionneurs d’art se déplacent lorsqu’on dépasse ce seuil critique de 15K€. Artprice a amené une contribution colossale à cette normalisation du marché de l’art, par sa Place de Marché Normalisée produite par les millions d’heures de travail de ses historiens, rédacteurs et ingénieurs.
7) Les nombreuses péripéties législatives qui ont abouti à la loi du 20/07/2011, puis, depuis début janvier 2012, les attaques surréalistes subies par Artprice, ont permis à celle-ci un buzz et une communication mondiale inégalés. Les différentes réponses judiciaires, économiques et médiatiques qu’Artprice va dérouler implacablement ne feront qu’amplifier le train de l’histoire qu’a pris Artprice avec une amplification de la communication et du buzz.
8) Il est évident que la terrible crise économique et financière qui affecte à minima le monde occidental fragilise durement l’économie traditionnelle du marché de l’art, c’est donc une opportunité historique pour qu’Artprice accélère sa Place de Marché Normalisée aux Enchères et à prix fixe. En effet, l’histoire du marché de l’art comme tous les marchés, tend naturellement à privilégier le circuit le plus rapide, le moins coûteux en terme de frais, le plus liquide et celui qui permet de trouver un prix de marché en temps réel avec une masse critique d’intervenants et, bien sur, une information transparente sur l’intégralité des prix et indices. La Place de Marché Normalisée d’Artprice répond exactement à ces cinq points. La grande force d’Artprice, dans cette crise historique, est que l’intégration de la Place de Marché Normalisée aux Enchères (réglementée par les alinéas 2 et 3 de l’article L 321.3 du code du commerce) n’entraîne aucune charge et investissements significatifs supplémentaire, ce qui, en temps de crise, est le nerf de la guerre.
9) Avec la quasi-disparition boursière des sociétés Internet intervenant sur l’Art et près de 4 500 sites Internet d’art qui ont fermé durant la crise démarrée en 2007, il n’existe à ce jour aucune autre place de marché aux enchères dans le monde conséquente en volume et en qualité, Artprice détenant de surcroît, en terme de droit suis generis (Droit de la Propriété Intellectuelle), l’originalité et le monopole de sa Place de Marché Normalisée.
Artprice invite ses actionnaires et le marché pour comprendre précisément cette révolution législative et historique de 5 siècles et l’impact sur Artprice à lire en 72 questions- réponses courtes et pédagogiques la synthèse des interviews juin/octobre 2011. Liens Internet ci joint sur Actusnews (Diffuseur Professionnel d’Information Réglementée autorisé par l’AMF):
http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-25687
Enfin, Artprice invite ses nouveaux et futurs actionnaires qui désirent connaître l’historique de la Société à prendre pleinement connaissance de son information réglementée et très détaillée dans son Document de référence Artprice 2010 déposé et en ligne, à l’A.M.F sous le numéro D.11-0784 depuis le 25 août 2011. Artprice, avec plus de 12 ans de communication réglementée à l’Eurolist, met un point d’honneur à produire toute l’information nécessaire aux professionnels des Marchés financiers, mais aussi aux néophytes du Marché de l’Art. Toutes les questions des 18 000 actionnaires d’Artprice trouvent systématiquement leurs réponses dans l’information réglementée d’Artprice qu’elle diffuse en ligne sur Internet sur son propre site et sur celui de son diffuseur, homologué par l’AMF, ActusNews.com .
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Sommaire des communiqués d’Artprice :
http://serveur.serveur.com/press_release/pressreleasefr.htm
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Suivre en temps réel toute l’actualité du Marché de l’art avec Artprice sur Twitter : http://twitter.com/artpricedotcom/
Artprice dément l’assignation en référé par le Conseil des Ventes Volontaires
Artprice dément l’assignation en référé par le Conseil des Ventes Volontaires
Contrairement au communiqué de presse du 6 janvier 2012 émanant du Conseil des Ventes Volontaires qui informait les journalistes qu’une action judiciaire en référé était décidé à l’encontre d’Artprice, la société Artprice tient à démentir l’existence d’une telle procédure telle que décrite dans le communiqué de presse. Artprice est en mesure d’affirmer qu’il ne lui a jamais été signifié à ce jour le moindre acte judiciaire.
En effet, Artprice dénonce les multiples mauvaises interprétations naissant de ce communiqué de presse. Comme l’a indiqué Artprice dans les heures qui ont suivi le communiqué de presse du Conseil des Ventes Volontaires, des échanges courtois ont eu lieu entre Artprice et le Conseil des Ventes Volontaires par courriers officiels. Artprice est en mesure de confirmer que les termes de la réponse de son communiqué officiel du 6 janvier 2012 correspondent parfaitement au débat serein et constructif qu’elle a pu avoir ces derniers jours avec le Conseil des Ventes Volontaires et confirme officiellement l’ouverture de son nouveau service d’enchères en tant qu’opérateur de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique, tel que définit par les alinéas 2 et 3 de l’article L321-3 du code du commerce, le 18 janvier 2012.
Dans le cadre de son information réglementée, Artprice, à des fins de bonne compréhension, vous invite à relire, ci-dessous, le communiqué qu’elle a officiellement diffusé le 6 janvier 2012 et dont elle réitère en tous points les termes :
Réponse d’Artprice au Conseil des Ventes Volontaires
Artprice a pris acte par voie de presse, puis par courrier électronique transmis par le Conseil des Ventes Volontaires, d’une demande de ce dernier de bien vouloir faire figurer de manière claire et non équivoque au grand public sa qualité « d’opérateur de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique (article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011) ». Artprice considère, compte tenu des longues relations constructives et paisibles qu’elle entretient avec le Conseil des Ventes Volontaires, qu’il ne peut s’agir que d’un quiproquo où l’apaisement, au regard des pièces dont dispose Artprice et issues de mesures conservatoires, sera immédiat.
En effet, Artprice renvoie les marchés financiers, ses actionnaires, ses 1.3 millions membres et, bien évidemment, le Conseil des Ventes Volontaires, à consulter l’ensemble de ses communiqués financiers déposés sur le site Actusnews, site homologué par l’Autorité des Marchés Financiers, et notamment le communiqué du 1er janvier 2012 où Artprice, dès la première ligne, fait état de manière explicite et sans l’ombre d’une ambiguïté de sa qualité de : « opérateur de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique (article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011) ».
De même, afin d’éviter toute forme de confusion entre les différents régimes et activités réglementés par la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011, Artprice a mandaté un Huissier de justice afin de prendre toutes mesures conservatoires démontrant toutes les précautions prises par Artprice, que ce soit au niveau de sa communication réglementée, au niveau de la présentation de sa nouvelle prestation sur son site, au niveau de ses conditions générales d’utilisations, au niveau de ses moyens de communication… pour qu’aucune confusion soit faite entre l’activité d’Artprice (opérateur de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique) et celles relatives aux ventes aux enchères publiques.
Artprice a pris la précaution de traduire en toutes les langues disponibles sur son site l’essentiel des informations sur cette nouvelle prestation exception faite de son statut tel que définit par l’article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011 afin qu’aucune confusion ou mauvaise traduction soit faite sur le statut d’Artprice tel que le prévoit l’article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011 et les autres statuts qui eux régissent les ventes aux enchères publiques.
En conclusion, Thierry EHRMANN, P.D.G. d’Artprice, déclare qu’il est parfaitement serein, Artprice démarrera bien ses enchères en ligne le 18 janvier 2012 en sa qualité d’opérateur de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique (article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011) et que, bien évidemment, le grand public découvrira, dès le lundi 9 janvier, en pré-visualisation, plusieurs milliers de lots comportant une gamme de prix très large allant de l’objet de curiosité jusqu’à des pièces de qualité muséale. Cet ensemble représente environ 700 millions de mises à prix. Concernant le débat judiciaire devant le TGI de Paris, Artprice et son Président considèrent, d’ores et déjà, qu’ils amèneront, par le ministère de Me Emmanuel PIERRAT et Me Thierry DUMOULIN, tous les éléments nécessaires pour apaiser les parties concernées et rendre le débat serein en anéantissant toute forme d’ambiguïté possible.
Il est vrai qu’avec près de 500 ans de monopole, l’ambitieuse réforme des ventes aux enchères du 20 juillet 2011, imposée par le Directive Services européenne, est de nature à ébranler certains acteurs du marché qui ne sont pas encore coutumiers du jeu de la libre concurrence.
Artprice ne peut s’empêcher de constater, qu’après avoir été la meilleure performance boursière française sur le marché réglementé avec + 472 % depuis le 1er/01/11 avec un volume traité de 873 millions d’euros, et une progression sur une année mobile de 593 % avec 144 millions d’euros traités depuis le 1/01/12, qu’elle génère bien des convoitises de la part d’acteurs historiques qui, pour des raisons de conservatisme, ont laissé passé le train de l’Histoire et de l’Internet.
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De même, afin d’éviter toute forme de confusion entre les différents régimes et activités réglementés par la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011, Artprice a mandaté un Huissier de justice afin de prendre toutes mesures conservatoires démontrant toutes les précautions prises par Artprice, que ce soit au niveau de sa communication réglementée, au niveau de la présentation de sa nouvelle prestation sur son site, au niveau de ses conditions générales d’utilisations, au niveau de ses moyens de communication… pour qu’aucune confusion soit faite entre l’activité d’Artprice (opérateur de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique) et celles relatives aux ventes aux enchères publiques.
Artprice a pris la précaution de traduire en toutes les langues disponibles sur son site l’essentiel des informations sur cette nouvelle prestation exception faite de son statut tel que définit par l’article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011 afin qu’aucune confusion ou mauvaise traduction soit faite sur le statut d’Artprice tel que le prévoit l’article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011 et les autres statuts qui eux régissent les ventes aux enchères publiques.
En conclusion, Thierry EHRMANN, P.D.G. d’Artprice, déclare qu’il est parfaitement serein, Artprice démarrera bien ses enchères en ligne le 18 janvier 2012 en sa qualité d’opérateur de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique (article 5 de la loi n° 2011-850 du 20 juillet 2011) et que, bien évidemment, le grand public découvrira, dès le lundi 9 janvier, en pré-visualisation, plusieurs milliers de lots comportant une gamme de prix très large allant de l’objet de curiosité jusqu’à des pièces de qualité muséale. Cet ensemble représente environ 700 millions de mises à prix. Concernant le débat judiciaire devant le TGI de Paris, Artprice et son Président considèrent, d’ores et déjà, qu’ils amèneront, par le ministère de Me Emmanuel PIERRAT et Me Thierry DUMOULIN, tous les éléments nécessaires pour apaiser les parties concernées et rendre le débat serein en anéantissant toute forme d’ambiguïté possible.
Il est vrai qu’avec près de 500 ans de monopole, l’ambitieuse réforme des ventes aux enchères du 20 juillet 2011, imposée par le Directive Services européenne, est de nature à ébranler certains acteurs du marché qui ne sont pas encore coutumiers du jeu de la libre concurrence.
Artprice ne peut s’empêcher de constater, qu’après avoir été la meilleure performance boursière française sur le marché réglementé avec + 472 % depuis le 1er/01/11 avec un volume traité de 873 millions d’euros, et une progression sur une année mobile de 593 % avec 144 millions d’euros traités depuis le 1/01/12, qu’elle génère bien des convoitises de la part d’acteurs historiques qui, pour des raisons de conservatisme, ont laissé passé le train de l’Histoire et de l’Internet.
Source: http://www.artprice.com (c)1987-2012 thierry Ehrmann
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Sommaire des communiqués d’Artprice :
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Contact: Josette Mey – tel: +33(0)478-220-000, e-mail: ir@artprice.com
The Artprice / FIAC Contemporary Art Market Report is now online! Free download.
Artprice and the FIAC are pleased to announce the distribution of their latest Contemporary Art Market Report. This Report will be freely available to the press, art market professionals and visitors to the FIAC at the Grand Palais in Paris from 20 to 23 October 2011.
Download it now for free on Artprice:
http://web.artprice.com/AMI/AMI.aspx?id=MjU0NDMzMTkwNjkxODk=
A PDF version of the Artprice / FIAC Contemporary Art Market Report is downloadable from Artprice.com in French and English for free. The German, Italian, Spanish and Chinese versions will be available several days later.
SUMMARY
THE CONTEMPORARY ART MARKET 2010/2011 – THE LATEST CURRENTS
ART MARKET CAPITALS
GALLERY’S INSIGHT
COLLECTOR’S INSIGHT
ARAB CONTEMPORARY ART – OVERVIEW
NEW MEDIA AND THE ART MARKET
TOP 500 Contemporary artists
Source: http://www.artprice.com (c)1987-2011 thierry Ehrmann
Le rapport du Marché de l’art contemporain Artprice / Fiac est en ligne gratuitement !
Le rapport du Marché de l’art contemporain Artprice & Fiac est en ligne gratuitement !
Artprice et la FIAC ont le plaisir de vous livrer le nouveau Rapport du Marché de l’Art Contemporain 2011 (bilingue 140 pages), distribué gratuitement à la presse, aux professionnels de l’Art et aux visiteurs de la FIAC, au Grand Palais, du 20 au 23 octobre 2011.
Téléchargez-le gratuitement dès maintenant sur Artprice :
http://web.artprice.com/AMI/AMI.aspx?id=MjU0NDMzMTkwNjkxODk=
La version PDF du rapport annuel Artprice / FIAC Le Marché de l’art contemporain est téléchargeable sur Artprice en français et en anglais. Les versions allemande, italienne, espagnole et chinoise suivront quelques jours plus tard.
SOMMAIRE
LES DERNIÈRES TENDANCES
LES CAPITALES DE L’ART
L’ŒIL DES GALERIES
L’ŒIL DES COLLECTIONNEURS
L’ART CONTEMPORAIN ARABE
LES NOUVEAUX MEDIA ET LE MARCHE DE L’ART
LES 500 ARTISTES ACTUELS LES PLUS COTÉS
Source: http://www.artprice.com (c)1987-2011 thierry Ehrmann
Second part of an exclusive interview with Thierry Ehrmann, CEO of Artprice.com (9 October 2011)
Paris, October 10, 2011
Second part of an exclusive interview with Thierry Ehrmann, CEO of Artprice.com (9 October 2011)
Boursica: Since our first interview in early June, a lot has happened to Artprice and to financial markets.
We have many questions to which we would like you to give detailed answers.
Firstly, why, in your opinion, did the exclusive interview that you gave to Boursica in June 2011 about Artprice – presented in several languages on Google (and view 210 000 times so far) – elicit so much interest from the public?
(Interview of June 2011: http://serveur.serveur.com/Press_Release/pressreleaseEN.htm#20110606)
Thierry Ehrmann?
I just think French shareholders are frustrated with politically correct communiqués from companies listed on regulated markets that require doctorate level educations to decrypt.
The first interview recounts in plain language the extraordinary story of Artprice’s development, created from scratch 14 years ago, to become the world leader in art market information. The story’s appeal is intimately linked to the fact that it concerns, above all, an extraordinary human adventure and with an exceptional team, a huge project considered almost utopian at the time, but which has now become a hard reality, used every day by 1.3 million Artprice members and millions of free users who ultimately purchase information on Artprice when the time is right for them.
Boursica: In that first interview you talked about Artprice’s uninterrupted sequence of unprecedented legal disputes. The company’s development therefore hasn’t been all roses?
Thierry Ehrmann:
Artprice’s history has indeed involved many legal battles on different continents. You cannot break into the world’s oldest monopoly – the art market – without treading on some people’s feet. But in that interview, I clearly argued that today you cannot judge a company simply by its accounts, balance sheet and annexes. In 2011, non-tangible assets and particularly intellectual property have become, to quote Paul Getty, the petroleum of the 21st century. IFRS still cannot measure numerous human, financial and scientific factors which are fundamental for appreciating a group such as Artprice.
Boursica: This sort of language may be appropriate for your small shareholder audience, but is it enough for financial professionals!
Thierry Ehrmann:
Absolutely! You cannot imagine the number of fund managers, corporate bankers and financial analysts who have admitted to me that, with that interview, they have at last obtained a really useful insight into Artprice, one that had been lacking in the 10 years of registration documents and regulatory information that has been in circulation. It is even possible that one day Artprice will be studied as a case example at the SFAF (Société Française des Analystes Financiers – French School of Financial Analysis).
Boursica: So in your view, the communication issued by listed companies on regulated markets is simply a coded way of saying nothing?
Thierry Ehrmann:
Regulated information, contrary to conventional wisdom, can disclose a lot more than we imagine. Some listed companies should stop railing against the AMF and other supervisory authorities. What I am talking about is the way certain companies conduct a kind of self-censorship. Who is going to invest in equity on the basis of a quarterly publication that contains very little in the way of concrete reality? The recent communiqués from the banks are of course a perfect example… particularly concerning their stress tests and their risk exposure. In just three months, we have heard some extremely conflicting information…
Boursica: So what should senior management teams do?
Thierry Ehrmann:
Business leaders should have an honest and almost physical relationship with markets and shareholders. Of course, this involves time, endurance and the management of sometimes passionate feedback, but these are the rules of the game. All honest, passionate and full communication leads mechanically to shareholder or fund manager disinhibition because these people are constantly subjected to the dictates of sterile press releases and so when they hear or read something « real », they sometimes go with Artprice.
Boursica: Let’s talk again about the law of 20 July 2011 which transposed the European Services Directive into French law, and about its impact on online auctions. What does this mean for you?
Thierry Ehrmann:
It represents a huge victory for us after eleven years of legislative hell, European lobbying and a merciless war against a small cast of individuals that was hell-bent on perpetuating this monopoly which has survived since 1556 to the 21st century. All kinds of twisted strategies have been thrown at us… but they have only strengthened our confidence that we had, in the form of Artprice’s Standardized Marketplace and the behaviour logs of our 1.3 million members in accordance with European laws on data personal, a very important share of the global art market. The legal allegation of concerted practices that Artprice has filed with the anti-trust authorities is currently being investigated and it contains some highly incriminating information for our opponents. This case will no doubt generate some very interesting news in the near future.
Boursica: This hard-headed determination to resist change by what you call a « cast », does it have its roots in an economic logic or in a simple loss of social status?
Thierry Ehrmann:
An old rule says that the degree of aggressiveness of the opponent tells you, in real time, the distance you are from the vault where he reigns supreme. From this point of view, with 126 trials of which 117 have been won on different continents (see the first interview), we were sure, without a shadow of a doubt, that we were extremely close to acquiring, legally, this monopoly without an abuse of a dominant position. I would liken our war with the old guard to the process described in Tomasi of Lampedusa’s The Leopard – a perfect metaphor for what we have experienced.
Boursica: This law is applicable since 1 September 2011. What are you waiting for?
Thierry Ehrmann:
Indeed, 1 September 2011 is the date of application of the law, but I invite you to read Article 5 where are obliged to wait for a joint Order from the Ministry of Justice and the Ministry of Culture concerning the movement of cultural assets. This Order will soon be declared. I should clarify that an Order is not subject to any legislative debate and, as its name suggests, allows uniquely for the determination of the applicative methodology of a given piece of legislation. There is therefore no risk that a third party could slow down in any manner whatsoever this unilateral communiqué.
Boursica: Some of our members told us the Figaro newspaper had decided to launch itself in the auction world.
Thierry Ehrmann:
Nothing new… I remind you that the Dassault family is both the owner of Figaro and one of France’s major auction houses, Artcurial. For years, the Figaro has run full-page advertisements for Artcurial. It was therefore natural that the Figaro, under its own brand, should promote the sales of the auction houses in its own group (amongst others), but the Figaro, as a legal entity, is not an operator within the meaning of the Act of 20 July 2011. I remind you that for several years now Artprice, through a partnership, has been providing almost all the data and text for the Special Issue of Figaro Fine Art – Guide to the Art Market.
Boursica: Specifically, how will auctions on Artprice actually take place? Will it be like eBay?
Thierry Ehrmann:
Absolutely not! For many reasons: the average hammer price being, according to our studies, around 12,000 euros, this requires a fundamentally different legal and commercial approach. Our model is primarily based on clearly identified members. Thanks to an agreement we have signed with Interpol’s Stolen Works of Art database, on our system, buyers can check at any time, from any page in our site, whether the artwork being presented for sale is subject to any claim, search warrant or ownership dispute.
Unlike the well-known public auctions services, Artprice imposes on its customers a permanent legal presence which I believe provides the confidence necessary for the success of our Standardized Marketplace as an online auction broker operating remotely by electronic means. In effect, Artprice has been working over the past 5 years with nearly 70 criminal investigation departments around the world allowing Artprice to build an unrivalled level of Internet confidence that is strengthened by its constant collaboration with artists, beneficiaries and experts.
However, our real advantage is our decision to set up escrow accounts with release instructions in which Artprice has conceptualised all possible legal scenarios to ensure that its online sales are indisputable and can be conducted with a level of confidence rarely equalled on Internet. This escrow principle is the same principle used by notaries and lawyers in transactions.
Boursica: Can you tell us exactly how this escrow account will work?
Thierry Ehrmann:
So I will briefly describe the process: when the seller, via a series of procedures, validates the highest bidder of the auction, the buyer must physically transfer the amount, by any means of payment he may wish to use, to an escrow bank account using a unique username and account I-D number. You know the golden rule… a crook will never pay for something in advance. In our framework, the seller has a strong guarantee with the money transferred to a trusted third party. Then, after a highly codified set of procedures, the buyer will definitively validate the sale and give the instruction to release the funds so that the seller can collect the proceeds of the sale and Artprice, in turn, can receive its commission, ranging from 4.5% to 9%, depending on the products and services used in the sale. Our great strength is that we start with a database where each of our 1.3 million members is attributed a confidence index score in compliance with the European directives on personal data.
Boursica: So according to you, the security on Artprice would be almost greater than at a traditional auction house.
Thierry Ehrmann:
Indeed… I would say that our excellent knowledge of the digital economy, combined with our highly advanced computer systems and our unmatched attention to the legal dimension, means that our auctions and other services enjoy a better level of security than that which obtains in the old economy. According to the French Payment Cards Economic Interest Group, we have had, for over 10 years, one of the lowest rates of credit card rejection.
Boursica: In our first interview you described exactly how Artprice can, on its Marketplace, meet the demand of a client wishing to sell, for example, a sculpture by Armand: « Les Poubelles Organiques » by extracting from its billions of client logs all clients who are fans of Armand, his sculptures in particular and more specifically of the period in which he produced Les Poubelles Organiques. Since then however, you have reported further progress; what is that?
Thierry Ehrmann:
Once again, the art market is still way behind the global reality. We must remember that we went from 50 million Internet users in 2000 to over 2.5 billion Internet-connected people in 2011. In 2013, we will largely exceed the three billion threshold. That is why, we have received from around the world – after the law passed on 20 July 2011 – a number of highly interesting proposals from groups operating in the art market and financial groups who believe that just as the virtual stock market replaced the old trading floor, so our Standardized Marketplace is not just an option… but an obligation! I remind you that our parent Group Server, of which I am the founder, has been on the Internet since 1985.
Boursica: What exactly are we talking about here? Potential clients or potential competitors for Artprice?
Thierry Ehrmann:
In the first interview, I clearly explained that Artprice’s Standardized Marketplace is subject to massive intellectual property protection, and on a number of different continents. So we are talking about potential clients and major accounts.
Boursica: What do you mean by potential clients? Since you have said in your press releases that almost 83% of Auction Houses and art experts already work with you.
Thierry Ehrmann:
Indeed, that figure is correct and confirmed. I’m talking about new clients and groups, mainly Asian, relatively young and very wealthy, who cannot envisage the art market of the 21st century, so they say, without a business or capitalistic alliance with Artprice’s Standardized Marketplace. They bring us community networks, hundreds of thousands of buyers and sellers, because they rightly believe that the art market will take off seriously when the intermediation margin collapses, which according to the Council of Voluntary Sales, is about 37.5%.
Boursica: What is their business model and where is your advantage?
Thierry Ehrmann:
Despite a dominant position, there are still – especially in Asian countries like China, of course, (the world’s no. 1 art marketplace)… but also Singapore, Hong Kong etc. – a number of capillary networks that cannot be apprehended. Our partners have fully understood the value-added they bring us and they have integrated, contrary to what is generally believed, the insurmountable barrier of intellectual property that is indeed a very substantial barrier to entry (cf Apple vs. Samsung). So they modelled – with large sums of money that no European is able to commit – a war machine by using affinity marketing to piggyback our Standardized Marketplace. Simply speaking, we are implementing white and/or free brands. For them, the cards have been dealt, and some of them are already forecasting their IPOs. It’s not for nothing that we are patiently preparing the opening of a subsidiary and data rooms in Hong Kong which is the testing laboratory of the People’s Republic of China and the gateway to all of Asia. Hong Kong is already one of the top five capitals of the global art market.
Boursica: So does this mean in concrete terms that Artprice is going to participate in IPOs?
Thierry Ehrmann:
We need to understand that the crisis which started in 2007 is, in my opinion, a sign of the decline of the West and certainly not just another recession. I have no time to lose. While in Europe, it takes me three months to get an appointment with a key player, in Asia, we are already drafting memoranda of understanding. As such, it is clear that Artprice will use for its own account all the interest of future IPOs of these major players whose projected funding will, in some cases, be larger than Sotheby’s, which is listed on the NYSE.
Boursica: Who can exceed Sotheby’s capitalization?
Thierry Ehrmann:
I am thinking, for example, of Poly International Auction, a leading Chinese auction house that we have known physically for a number of years and which is preparing its IPO without the slightest concern for the collapse of Western financial markets. There are also a large number of players who have understood the sociological mechanism of art fairs and biennials and found in the social network, Artprice Insider (that we have been developing for nearly two years with sociologists, market players and its members) a revolutionary way to perpetuate an art fair, which by nature is an ephemeral phenomenon, but nonetheless necessary.
Boursica: Does this mean the end of Contemporary Art fairs as we know them?
Thierry Ehrmann:
Ultimately, yes… but in practice, of course not… they will still continue and will act as the highlights of art news, the continuity of which, throughout the year will be on Artprice Insider amongst other sources. Here again, we had to patiently deconstruct the socio-economic mechanism of international fairs. To understand this revolution, dealers and galleries, in the 1990s, considered international fairs as a way to boost their sales. Today, their main concern is to exchange information with their clients and colleagues and, at the very least, to earn enough to cover the cost of their stand. Again, we replace an expensive and ephemeral physical network by a low-cost and permanent digital network. We must not forget that there are more than 300 international art fairs a year, which is a heresy from an economic point of view. Only historical and powerful Fairs such as the FIAC – with whom we have jointly edited for the last 5 years the bilingual annual report on the Contemporary Art market – will survive.
Boursica: In the current economic crisis which is unprecedented, is art really a safe haven?
Thierry Ehrmann:
Many studies by economists, sociologists and researchers have been published in the 20th century on the profitability of artworks, but these researchers did not have right econometric tools. They used, in general, arithmetic tools which were based on a comparison approach; but this approach induced errors since their studies involved a heterogeneous market type, as I explained in the first interview. To recap, we can trace a work that has been identified and « standardized » by us from a sales catalogue in 1908 as it is sold at auction regularly through the subsequent decades. Our system allows us to be sure it is the same artwork. We therefore know its value and performance year by year, and for this reason, we are the only company in the world to have a flawless econometric method (base on repeat sales) that can be applied to all « homogeneous » works.
That’s why we set up indices and tools from the financial milieu that measure the performance of Old, Modern and Contemporary art. Our statistics show without any doubt that in certain price ranges and concerning certain artists or specific works, the price performance is almost constant, regardless of external factors, including the collapse of financial markets.
Boursica: That seems to suggest we could have derivative instruments based on the art market?
Thierry Ehrmann:
Indeed, we have international partners from the private banking and finance sectors who, together with our data, are preparing the securitization of artworks for which we own the entire history of prices and indices. We should not forget that artworks were involved in the launch of the first banks in Europe and for many centuries they were used as pledges and guarantees and as vehicles of fiduciary value.
Boursica: Who will be their professional buyers and their final clients?
Thierry Ehrmann:
Mainly financiers, who usually have good knowledge of the art market and who believe that these derivative products – backed by the reliable indices that we produce – give them additional protection against stock market volatility.
The first marketing tests have been very positive. Clients of private banks or family offices (more than 30 million HNWIs around the world) were very receptive to this type of financial asset.
Boursica: Why do you think that – faced with such revolutionary changes – the existing structure of the Western art market is so conservative?
Thierry Ehrmann:
I would not be quite so categorical. The older generation is indeed at least 30 years behind because it was mainly negotiating works by deceased artists. This gave them the certainty that very few new works by the artists would appear on the market. Today, mainly in Asia but also in North America and Europe, Contemporary living artists often produce more than their Modern peers who, according to art history criteria, are all dead. So we are in the presence of nearly a million recognized artists, living exclusively from their work, with an average sale price on the primary market of 8,000 to 15,000 euros (galleries) and to the secondary market (auctions) of 30,000 – 70,000 euros. Artprice is the only company in the world with full biographies and index data for these artists. Hence the fact that the primary and secondary markets are constantly on Artprice in both free and paid access. To illustrate the backwardness of the older generation, I will give you a very telling anecdote: the President of a leading French auction houses told me he was thinking this summer about the Internet, and he said « … given that we have now exceeded 200 million internet connections in the world… ». It’s terrifying to hear such nonsense from such a distinguished and otherwise learned CEO; the number of Internet users worldwide is today well over 2.5 billion! The old guard is indeed a long way behind reality.
Boursica: Under the « key person » section of the chapter on « Risk Factors » in your Registration Document, we learn that you have yourself been an artist-sculptor for 30 years. Is this intimate knowledge of artists a special advantage?
Thierry Ehrmann:
Yes indeed, my status as a sculptor-artist allows me to be at the heart of the arts community and to understand its evolution, its changing needs, its problems and its ambitions.
Boursica: Do you still find time to produce works?
Thierry Ehrmann:
Absolutely! For example, I just finished this summer a monumental 50 ton installation of 99 steel sculptures called Les Sentinelles Alchimiques (The Alchemical Sentinels) on 9000 m² that envelop like a Duchampian infra-mince my 3600 works comprising the corpus of the « Abode of Chaos » (dixit The New York Times), which is also the headquarters of Artprice and Server Group. It is currently one of the largest sculptural installations in Europe.
Boursica: How long has it taken the market to increase tenfold?
Thierry Ehrmann:
In less than 20 years we have moved from traditional oil paintings for which the drying-time on the canvas took months to a world of acrylic paint and technological and industrial innovations that allows sculptures and installations to be produced in weeks not months. Hence the volume of artworks produced in the world has been multiplied by 20 in less than 25 years. The explosion of this market – which now affects a multitude of generations and social statuses with nearly 300 million non-professional buyers, collectors and art professionals – is being fuelled by the falling unit production cost of the artworks, making them accessible to a much broader public.
Boursica: We still see very large price swings for works produced by young artists?
Thierry Ehrmann:
Yes that’s true, but these young artists, via the Internet and thanks to our Standardized Marketplace, where each has a dedicated space, know how to adapt very quickly to the market correction, by reducing their production or by moving to continents where there is a stronger economic growth. Facing them is a generation of old players who are sometimes forced to stop sales or block already printed catalogues because the price correction can occur much faster than it takes to organise a conventional auction sale, which requires a minimum of 4 to 9 months preparation. Ultimately, today’s artists have acquired, intuitively, a reaction to the market close to that of the best merchants. The myth of the « cursed artist » is gone forever.
Boursica: Is this one of the things that attracts most of the entire world’s auction houses to Artprice?
Thierry Ehrmann:
Of course, the auction houses, with Artprice’s Standardized Marketplace, will be able to build or modify their auctions on a daily basis through our secure intranet, literally sticking to the market with the certainty of growing sales in our ultra-qualified client database, which is the largest in the world today. So what used to take six months – i.e. organising a successful auction sale in proper conditions – now takes several days for both the buyer and the seller, and, with the certainty of settling the sale and transferring the cash within just a few days.
Boursica: How far will Artprice disseminate its information, free or paid?
Thierry Ehrmann:
We have colossal resources in terms of servers and bandwidth overcapacity, because we are, through Server Group, our own operator; we distribute our data free or in rare cases with very low prices to academic establishments, art schools around the world, artists’ associations, copyright companies, art historians, researchers, etc … I don’t mind saying that we aim to make any person in the world that has any relation to the art market or art history an addict of Artprice. In 2010, Artprice provided free data for nearly 54 million visitors. As long as we do not lose money, we are perfectly happy to create this addiction that has penetrated almost all the institutional and private organizations interested in art around the world. You have to be very patient, but with the growth of the Internet, Robert Metcalfe’s law applies: « the usefulness of a network is proportional to the square of the number of its users. »
Boursica: Following the first interview, you had a dispute with Artnet. What was that about?
Thierry Ehrmann:
Artnet, which is not in the same business as us, had to lower its guard on the comments contained in the interview (that we maintain in every way) as we have launched proceedings against them for violation of our intellectual property rights. By the way, I would like to adjust what I said in the first interview by indicating that in a single trading day Artprice represents a volume of transactions in the year 2011 equivalent to about 3 months of trading Artnet. In addition, we note that Artnet exited the official market in September to enter the free market in Germany, which is a terrible regression for both its shareholders and for the company.
Boursica: Speaking of the stock market, how is Artprice doing?
Thierry Ehrmann:
At 5 October 2011, Artprice posted the best stock market performance on the French regulated market with +158% and a total transaction volume of more than 702 million euros since 1 January 2011. Once again, the market is an instinctive animal. These figures clearly indicate that the market has made its own investigation, commissioned its own studies and investigations at the heart of the Art Market. You do not exchange 700 million euros in nine months of transactions by accident, especially during the worst stock market crash in history. In old stock market lingo, I would say that we spoke the truth to the market, and the market has fully heard and replied in both volume and price.
Boursica: Are your targets the same as in our first interview in June 2011, despite the crash this summer?
Thierry Ehrmann:
Absolutely! I am strongly maintaining our targets communicated in June 2011, namely, that the price has first of all returned to the levels reached in 2005/2006, i.e. 30 euros when we started talking about the transposition of the Services Directive. This price was a simple return to normal before France decided to exasperate Europe for 5 years by its pathetic refusal to transpose the reform of the auction market, particularly, the electronic aspect. I seriously maintain that our target price should be at least 67 euros which was our highest quoted price before the creation of the Standardized Marketplace in 2005. We have fulfilled all the commitments of our listing prospectus. In fact we are way ahead of the commitments in the 1999 prospectus. I remind you that we have reached 58 euros, in very substantial volumes, and there are still three months to go…
I therefore reiterate that the old stock market adage: « price seen, price re-seen » is indeed a market reality. Artprice has proved that this adage applies to it beyond any doubt… even in times of crisis.
Boursica: In all honesty, what is your vision of the Western economy?
Thierry Ehrmann:
I will answer you simply by quoting the theorist Antonio Gramsci « there is a crisis when the old world will not die and the new world cannot be born ». Remaining with the metaphor, « the world is one big family in which in Europe I find an old friend plagued by a long incurable disease. Then in Asia, I am faced with a teenager full of energy and insolence, and as I return to the States, I see an obese man who refuses to see his condition and continues his bulimic frenzy ». These words should make us understand that the crisis is now existential and it requires additional soul and history, without which we are heading straight into the wall.
Boursica: News being what it is, what do you think of Steve Jobs who has just died?
Thierry Ehrmann:
He was simply iconoclastic and had the ability to accomplish his dreams by embodying them in the computer industry that is indeed a merciless arena. His passion allowed him to imagine and conceptualize the 21st century. I would describe him more as a philosopher of the digital age and of nomadism than as an entrepreneur. I am sure that where he is today, he is already preparing the version 9.0 of the tri-dimensional iPad 7G!
Boursica: Please allow me to repeat the question I asked you in the first interview: do you have a prediction for the future of Artprice?
Thierry Ehrmann:
I reiterate that we have kept our commitments beyond the listing prospectus of 1999, passing through the crisis of the NASDAQ in 2000, the attacks of 11 September 2001, the Iraq war of 2003, the huge financial crisis that started in 2007 and that has now become a colossal state debt debacle. I know very few companies listed on the regulated market that have survived without ever having carried out capital increases, and which have gained, during this period, a world leader position! Compared with the June 2011 interview, I change my position concerning the future of Artprice because in view of the agreements and contacts that we have built in the three months since the adoption of the Law of 20 July 2011, I believe we have reached only 5% of Artprice’s story, and I believe that henceforward much of our future history will be in Asia.
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To read the first interview: 5 June 2011, Exclusive interview with Thierry Ehrmann, CEO of Artprice.com: http://serveur.serveur.com/Press_Release/pressreleaseEN.htm#20110606
Discover the Alchemy and the universe of Artprice: http://web.artprice.com/video/
Or contact Artprice for a DVD to be sent to you free of charge.
Artprice is the world leader in art market information with over 27 million auction prices and indices covering over 405,000 artists. Artprice Images® offers unlimited access to the largest database of art market information in the world, a library of 108,000,000 images and engravings of art works from 1700 to the present day. Artprice continuously updates its databases with information from 3,600 international auction houses and provides daily information on art market trends to the main financial press agencies and to 6,300 press titles worldwide. Artprice offers standardised adverts to its 1,300,000 members (member log in) and is the world’s leading market place for buying and selling works of art (source: Artprice).
Artprice is listed on Eurolist by Euronext Paris: Euroclear: 7478 – Bloomberg: PRC – Reuters: ARTF
Artprice releases: http://serveur.serveur.com/press_release/pressreleaseen.htm
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Exklusivinterview mit Thierry Ehrmann, Gründer und CEO von Artprice.com
Exklusivinterview mit Thierry Ehrmann, Gründer und CEO von Artprice.com [Jun 11]
Boursica.com: Herr Ehrmann, wie ist Artprice entstanden?
Thierry Ehrmann: Ganz am Anfang steht vor allem eine enorme kollektive Arbeit hervorragender Kunsthistoriker. Innerhalb von 14 Jahren haben wir praktisch das gesamte kunstrelevante Verlagsmaterial in Europa, den USA und seit kurzem auch in Asien erworben. Dieses umfasst Verlagshäuser, Kunstdokumentationen aus aller Welt und Vermögenswerte im Wert von über 30 Mio.€. Wissenswert ist zudem, dass wir mit der von mir gegründeten Serveur-Gruppe – der Muttergesellschaft von Artprice, die sich auf gerichtliche, juristische und wissenschaftliche Datenbanken spezialisiert – seit 1985 im Internet präsent sind. Wir waren daher in der Lage, uns vorzubereiten und unsere wichtigsten Zielobjekte im Zuge unseres Eintritts in den Kunstmarkt in den 1990er-Jahren zu identifizieren
Boursica.com: Welches waren denn diese Zielobjekte?
Thierry Ehrmann: Wir legten unser Augenmerk auf legendäre Gesellschaften und Werke, wie z.B. den Guide Enrique Mayer (1962/1987), den renommierten Dictionnaire des Ventes d’Art 1700-1900 von Dr. H. Mireur, das führende US-Verlagshaus Sound View Press mit seinen mehr als 50 Datenbanken über die USA (1991), die Editions Franck Van Wilder (1970), die Schweizer Xylogic, ein globales, auf Kunstmarktindizes spezialisiertes Unternehmen (1985), die Datenbank von Bayer zum anglosächsischen Kunstmarkt von 1700 bis 1913, Caplans Enzyklopädie der Signaturen und Monogramme (USA), ein globales Referenzwerk (1976), L’Argus du Livre de Collection et des Manuscrits (France), ein weiteres globales Referenzwerk (1982); usw. und so fort…. Wir haben sie alle aufgekauft. Seit 14 Jahren betreiben wir zudem eine systematische Kaufpolitik, in deren Rahmen wir Manuskripte und Kataloge, vor allem aus der Zeit zwischen 1700 und 1970, aus aller Welt erwerben. Wir können gar nicht anders als dieses historische Wissen zu kaufen, denn ohne dieses ließe sich der Kunstmarkt nicht mit Sicherheit normieren, und die Werke könnten weder lückenlos zurückverfolgt noch korrekt der Biographie des betreffenden Künstlers zugewiesen werden. Wir sind weit über die Millionen Arbeitsstunden der Historiker, Forscher und Journalisten am Kunstmarkt hinausgegangen, welche die Werke aus diesen Manuskripten und Katalogen von 1700 bis zum heutigen Tag dokumentiert und beschrieben haben. Aus diesem Grund verfügen wir heute über die umfassendste Datenbank zum weltweiten Kunstmarkt. Diese Datenbank ermöglicht die Verfolgung der Kunstwerke im Laufe der Jahrhunderte. Sie umfasst 108 Millionen Bilder und Gravierungen von Kunstgegenständen des genannten Zeitraums sowie von unseren Kunsthistorikern verfasste Kommentare. Darüber hinaus aktualisiert Artprice ihre Datenbanken in Echtzeit mit Informationen, die wir von rund 4‘500 Auktionshäusern zusammentragen. Zudem veröffentlichen wir laufend Beiträge zu den Trends am Kunstmarkt, die wir den wichtigsten Agenturen und weltweit rund 6‘300 Kunstpublikationen zukommen lassen. Auf diese Weise sind wir mit unserem Copyright und unserer Internetadresse tagtäglich und völlig kostenlos in der Presse rund um den Erdball vertreten. Da bleiben in Bezug auf Bekanntheitsgrad und Kommunikation kaum noch Wünsche offen.
Boursica.com: Wie ging es mit der Entstehungsgeschichte von Artprice weiter?
Thierry Ehrmann: Wir gingen zu Beginn zu den Ursprüngen des Kunstmarkts um das Jahr 1700 zurück. Erst um diese Zeit wurden die Künstler von Aufträgen der Kirche und des Adels unabhängiger und schufen ihre Werke auf Basis einer weiter gefassten Nachfrage. Die Entstehung eines Kunstmarkts im ökonomischen Sinn lässt sich auf diesen Zeitraum festlegen. Seit 14 Jahren verfügen wir über Experten und Händler, die in der ganzen Welt für uns tätig sind und uns informieren, wenn sie auf Manuskripte und Kataloge stoßen, die wir erwerben können. Wir haben so viele davon gekauft, dass das Angebot mittlerweile ziemlich knapp geworden ist. Zu Beginn bezahlten wir teuer dafür, aber wir etablierten uns zusehends, und die jüngsten Publikationen erwerben wir jedes Jahr zu äußerst vernünftigen Preisen … Dieser Fundus ist weltweit einzigartig. Wir überprüfen in selbst und machen ihn dann Forschern aus aller Welt zugänglich.
Boursica.com: Worin besteht denn der Mehrwert dieses Dokumentarfundus?
Thierry Ehrmann: Unsere Arbeit in den Datenbanken von Artprice gleicht in erster Linie dem Bergbau: Man muss tagtäglich in die Mine hinabsteigen und schürfen, was wir seit 15 Jahren tun. Mit über hundert Mitarbeitern stießen wir so ins neue Jahrtausend vor. Zurzeit beschäftigen wir noch 45 Mitarbeiter, weil unsere gesamte Arbeit nun in den Datenbanken stattfindet. Im vergangenen Jahrzehnt haben wir die Anzahl Mitarbeiter um zwei Drittel reduziert und unsere Serverkapazität nahezu verdreißigfacht. Um den Kunstmarkt zu standardisieren, mussten wir zuerst das gesamte bestehende Inventar an Kunstwerken sowie die Biographien Hunderter von Künstlern vom 4. Jahrhundert vor Christus bis zum heutigen Tag aufarbeiten. Dabei stießen wir bisweilen auf Hunderte von Homonymen, denen es die jeweils richtigen Werke zuzuordnen galt.
Boursica.com: Wie erstellen Sie Ihre Referenzpreise im