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Artmarket.com: global press release on PRNEWS GLOBAL GENERAL NEWS and ACTUSNEWS on 11.18.2021
Following its recent press release of November 9, 2021 with CEO/Founder thierry Ehrmann, Artprice by Artmarket will publish a global press release on PrNewswire Global General News (54 countries + multilingual) + ActusNews.com on Thursday November 18, 2021 (after market)
Reminder of the November 9, 2021 press release:
#ArtMarket by #ARTPRICE $PRC #NFT #CryptoArt #metaverse #DigitalArt #NFTs #MarketPlace #BTC #ETH #CBI $ALCBI #OpenSeaNFT #raribleNFT #Ethereum

In accordance with the regulations, the multilingual press release PRNEWS GLOBAL GENERAL NEWS / CISION will be preceded by a press release by the Actusnews.com platform approved by France’s Financial Markets Authority, the AMF.
Copyright 1987-2021 thierry Ehrmann www.artprice.com – www.artmarket.com
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Artmarket.com : 3T 2021 croissance à double chiffre, un immense potentiel de CA pour la Marketplace NFT d’Artprice-nft.com par sa caution.
Chiffre d’affaires en K€ | 3T2021 | 3T2020 | Variation en % |
Internet | 1 721 | 1 696 | +1 |
Indices et autres prestations | 30 | 39 | -23 |
Total 3ème Trimestre | 1 751 | 1 735 | +1 |
Variation des produits constatés d’avance* | 226 | ||
Total CA 3ème trimestre | 1 977 | 1 735 | +14 |
(*) changement de méthode comptable pour l’enregistrement du Chiffre d’Affaires depuis le 30/06/2021 – Voir « Artmarket.com : Rapport financier S1 2021, les capitaux propres bondissent de +49% passant de 19,8 millions d’euros à 29,5 millions d’euros, RN à +78,50 % »
Chiffre d’affaires en K€ | 1S2021* | 1S2020 | Variation en % |
Internet | 3 432 | 3 310 | +4 |
Indices et autres prestations | 159 | 179 | -11 |
Total 1er Semestre | 3 591 | 3 489 | +3 |
Variation des produits constatés d’avance* | 232 | ||
TOTAL C.A. CONSOLIDÉ | 3 823 | 3489 | +10 |
(*) changement de méthode comptable pour l’enregistrement du Chiffre d’Affaires depuis le 30/06/2021 – Voir « Artmarket.com : Rapport financier S1 2021, les capitaux propres bondissent de +49% passant de 19,8 millions d’euros à 29,5 millions d’euros, RN à +78,50 % »
Événements futurs
Il est possible que la Marketplace NFT ® d’Artprice by Artmarket puisse réaliser dans le futur un chiffre d’affaires de plusieurs dizaines de millions d’euros, pour les raisons suivantes :
thierry Ehrmann, PDG d’Artmarket.com, Fondateur d’Artprice et du Groupe Serveur : « Depuis leur création en 1987, Artprice et Groupe Serveur (l’actionnaire de référence) possèdent une forte légitimité dans la connaissance de la cyberculture et celle du Marché de l’Art, en contribuant pleinement à leur essor par la validation de leur postulat initial, à savoir la dématérialisation et la transparence de ce Marché de l’Art historique. »

Le Metavers d’Artprice by Artmarket s’inscrit comme une destination immersive pour les collectionneurs et amateurs d’art numérique, avec une sélection rigoureuse de NFT et les cautions nécessaires pour établir cet écosystème, dans lequel Artprice et son actionnaire de référence Groupe Serveur sont présents en tant pionniers de l’Internet depuis 1987. Peu de groupes ont été cités dans le Time Magazine en tant que tels.
Depuis près d’un an, Artprice by Artmarket a reçu spontanément de nombreuses demandes de partenariats, de rapprochements, de participations ou fusions acquisitions pour le marché émergent et considérable des NFT (Non Fungible Token) qui est un objet de collection numérique stocké sur une blockchain.
Il ressort, de manière incontestable, que les opérateurs NFT sont chacun à la recherche d’une crédibilité et d’une logique de création de valeur propre au Marché de l’Art sur Internet et, bien sûr, trouver des artistes déjà identifiés par leurs performances ainsi que des acheteurs et des vendeurs ayant une crédibilité et des moyens financiers certains.
En synthèse, ils recherchent dans leurs demandes, à tout prix la caution légitime d’Artprice en tant que Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art avec ses 5,4 millions de membres et sa Marketplace créée en 2005 avec désormais plus de 72 000 œuvres en ligne en temps réel et 765 000 artistes. Pour les compétiteurs acharnés des NFT, Artprice by Artmarket est la garantie parfaite d’une réussite mondiale, leur donnant une avance incroyable sur leurs concurrents.
Afin de répondre aux besoins urgents et vitaux des compétiteurs des NFT ainsi que les acteurs du Marché de l’Art dans ce nouveau paradigme et comme annoncé lors des derniers communiqués financiers, Artprice by Artmarket.com, prépare sa plateforme NFT intégrant l’ensemble des process et services industriels avec des DNS et marques déjà déposés (artprice-nft.com, artmarket-nft.com, etc.)
Il est possible que la Place de Marché Normalisée ® d’Artprice puisse réaliser dans le futur un chiffre d’affaires de plusieurs dizaines de millions d’euros avec une capitalisation en adéquation avec celles des valeurs NFT cotées (exemple Crypto Blockchain industrie CBI), basée entre autres, sur les différents postes récurrents payables en devises physiques, tout au long de la chaîne des process industriels et services formant l’économie des NFT.
Nous assistons à une déferlante médiatique et une obsession de tous les grands acteurs du Marché de l’Art à incorporer, quel qu’en soit le prix, les NFT dans leur modèle économique, comme Christie’s ou Sotheby’s qui a annoncé sa plateforme NFT, Sotheby’s Metaverse le 14 octobre 2021.
Artprice by Artmarket, par ses différents départements spécialisés, a mené des audits et études très poussés et constate que le phénomène NFT est bien plus complexe qu’il ne paraît.
Il faut d’abord acquérir le savoir-faire de la Blockchain sur lequel Artprice travaille depuis plusieurs années, notamment par le label « Entreprise innovante » que lui a décerné à deux reprises la Banque Publique d’Investissement (BPI).
Bien sûr, il faut posséder ses propres salles blanches et l’ensemble des OS en mode propriétaire. Puis, il faut connaître parfaitement l’historique et le maniement des crypto-monnaies et le système Wallet pour éviter les pièges. Enfin, il faut effectuer un travail d’historien de l’Art pour diagnostiquer, à travers la cyber culture depuis les origines d’Internet, ce qui relève réellement du fine art numérique. Ces différents savoirs requièrent des compétences tant verticales qu’entrecroisées entre elles, que maîtrise parfaitement Artmarket.com.
Dans ses différents audits et recherches, Artprice by Artmarket a examiné les véritables centres de profits sur toute la chaîne des process et savoirs des NFT, à savoir l’analytique d’une plateforme avec les émetteurs primaires de NFT, les buy side et sell side de NFT du second marché et a bien évidemment identifié et validé quels étaient les différents postes de recettes récurrents ou soumis aux aléas du marché. Il est intéressant de voir que les postes récurrents et rémunérateurs sont principalement accessibles en dollars ou en euros.
Il apparaît très nettement que les principaux acteurs des NFT sont avant tout de grands acteurs des crypto-monnaies. Écarter cette filiation serait une erreur tragique pour la compréhension de cet écosystème que peu de gens maîtrisent réellement.
Artmarket.com a donc soigneusement examiné les principales ventes qui ont contribué à la légende des NFT et constate qu’elle retrouve les mêmes acteurs tant dans les crypto-monnaies que dans les NFT qui sont une porte de sortie de la crypto-monnaie par un actif non fongible. Cette grille de lecture est indispensable, car elle met en lumière les forces et faiblesse de ces jeunes acteurs de l’univers des crypto.
Et pour cause, la vente de la première œuvre digitale chez Christie’s a eu l’effet d’un véritable séisme en propulsant BEEPLE (alias Mike Winkelmann), inconnu aux profanes de l’art numérique, sur la troisième marche du podium des artistes vivants, après Jeff Koons et David Hockney. Après la vente record de Everydays: The first 5000 Days, un fichier numérique au format JPEG de cet artiste emporté au prix exorbitant de 69,3m$ le 11 mars 2021, l’art digital doit être considéré comme un courant créateur de grandes valeurs.
Le but de cet achat de Everydays: The first 5000 Days de 69,3m$ par deux hommes d’affaires indiens était donc de revendiquer l’égalité entre tous les pays du monde et de montrer qu’acheter de l’art n’était pas l’apanage des collectionneurs occidentaux. Cette égalité serait permise par l’émergence des cryptomonnaies, une posture logique de la part de ces deux hommes qui ont bâti leur fortune sur l’achat d’Ethereum, une des centaines de cryptomonnaies en circulation dans le monde.
Dans les audits et études d’Artprice by Artmarket sur le marché des NFT, il apparaît alors une somme importante de questions juridiques auxquelles quelques rares acteurs comme Artprice peuvent répondre.
Un exemple est donné en termes de droit de la propriété intellectuelle : tout le monde est d’accord pour considérer que les différentes cessions d’un NFT en tant qu’œuvre d’art enregistre de manière certaine les actes de propriété mais faut-il encore être certain du détenteur de droits (droit d’auteur, droits patrimoniaux, droit moral, droit de reproduction etc.) dans l’émission primaire du NFT. Artprice, par sa caution et son expertise, peut répondre à ce vide en créant ainsi la passerelle obligatoire entre le NFT et le Marché de l’Art physique.
À l’Adagp où Artprice by Artmarket est un des principaux contributeurs financiers (société des Auteurs Dans les Arts Graphiques et Plastiques) : « On est attentif aux NFT tout en gardant la tête froide. Il est nécessaire de sécuriser juridiquement le lien entre le NFT et l’artiste et ses ayants droit, de structurer les pratiques et de prévoir des tiers de confiance », recommande son directeur juridique Thierry Maillard. Ses propos abondent dans le sens d’Artprice.
De même, l’émission d’un NFT primaire doit manifestement répondre aux dispositions du Code Monétaire et Financier (actifs numériques en droit français ou en droit européen des crypto-actifs) selon Blanche Sousi, Professeure émérite de l’Université Lyon 3. Titulaire de la Chaire Jean Monnet en Droit bancaire et monétaire européen et Directeur honoraire de l’Institut de droit et d’économie des affaires (cf : Institut Art et Droit dont Artprice est un membre historique).
Concernant enfin la naissance d’un nouveau mouvement, nous pouvons faire sienne de l’analyse de l’historien Michael Maizels qui a déclaré : « I am an art historian who has carried out extensive research on the evolution of the market for “recent art.” And I can tell you that something generational is now happening with NFTs. » Dont voici la traduction française : « Je suis un historien de l’art qui a mené des recherches approfondies sur l’évolution du marché de « l’art récent ». Et je peux vous dire qu’il se passe quelque chose de générationnel avec les NFT. »
À ce stade, il faut une solide connaissance de la cyber-culture et de son interaction sur le Marché de l’Art depuis désormais près de 40 ans, pour là aussi définir l’émergence de nouveaux artistes contemporains dont les œuvres NFT parlent à de nouveaux collectionneurs.
Tout l’enjeu, à travers ce déluge médiatique et élogieux, est d’identifier et posséder ces différents savoirs qui ne s’acquièrent qu’avec le temps, puis détenir sa propre Marketplace NFT pour s’accaparer les produits récurrents et fortement rémunérateurs, en monnaie physique (Euro / Dollar) afin de se couvrir d’un risque de change propre aux crypto-monnaies et d’une fiscalité en cours de qualification.
La clientèle mondiale d’Artprice est donc prête à franchir le cap à partir du moment où elle se sent sécurisée dans sa transaction, au même titre que les artistes référencés par Artprice pour la création de leur NFT sur le marché primaire de l’émission.
De même, il ressort que tous les gros opérateurs éprouvent le besoin impératif d’appuyer leur crédibilité sur des données macro et microéconomiques avec une analyse pointue du marché que seule Artprice by Artmarket peut leur amener par sa position de Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art depuis près de 25 ans par ses rapports, ses indices, graphiques et data qui sont utilisés par plus de 7 200 médias de presse écrite et numérique.
La confiance dans les NFT ne peut venir que par un acteur maîtrisant naturellement l’économie du Marché de l’Art et son évolution exponentielle depuis 2000 (+2 700 % pour l’Art Contemporain).
L’objectif final d’Artprice by Artmarket est de considérer qu’il s’agit indiscutablement d’un changement de paradigme mais que seuls quelques rares acteurs pourront proposer l’intégration de toute la chaîne industrielle des process et services avec les bons environnements juridiques, la véritable analyse économique et financière et bien sûr, la pédagogie client, élément indispensable pour créer la confiance dans ce Métavers, future version d’Internet initiée par la vision de Neal Stephenson en 1992 dans l’univers cyberpunk post apo du Samouraï virtuel.
Artprice by Artmarket saura mettre en lumière les véritables protagonistes de la cyber culture qui bien avant tout le monde étaient immergés dans le monde digital. Artprice et Groupe Serveur, son actionnaire de référence, ont vu naître dès 1987 ce nouveau monde.
Pour information, le siège social d’Artprice by Artmarket est le Musée d’Art Contemporain L’Organe, mondialement connu, gérant la Demeure du Chaos/ Abode of Chaos dixit the NYT, qui est cité dans les ouvrages d’histoire de l’art comme une des références majeures de l’univers cyberpunk post apo (plus de 3600 reportages internationaux en 22 ans). Le Musée d’Art Contemporain La Demeure du Chaos/Abode of Chaos sera lui-même émetteur de milliers de NFT par son auteur unique qui est thierry Ehrmann, sculpteur plasticien, Fondateur d’Artprice et du Groupe Serveur (lien biographie Who’s Who in France : Biographie_nov2020_WhosWho_thierryEhrmann.pdf)
Ce changement de paradigme demande un véritable engagement de plusieurs dizaines d’années pour pouvoir définir les instances de légitimation et la définition de la valeur cognitive de l’œuvre d’art numérique. À ce niveau, Artprice by Artmarket et quelques rares acteurs peuvent répondre à un tel engagement.
Artprice by Artmarket va sélectionner ses artistes et œuvres NFT de sa Place de Marché pour transmettre sa vision de l’art digital.
Selon l’étude d’Artprice by Artmarket, les plateformes NFT les plus prisées par les artistes sont OpenSea, SuperRare, Nifty Gateway, Rarible, Known Origin, Hic et Nunc (la moins énergivore).
Pour rappel : « (AFP) 2021 Les enchères d’art contemporain dopées par les NFT (rapport Artprice)
Les ventes en ligne font désormais pleinement partie de la stratégie des Maisons de Ventes. Christie’s, Sotheby’s et Phillips ont dématérialisé un peu plus de la moitié de leurs opérations. Il en est de même sur l’ensemble des Maisons de Ventes mondiales avec 41 % de ventes en ligne pour 2021. Un nouveau pas est franchi avec l’arrivée tonitruante des NFT.
Les ventes aux enchères d’art contemporain ont atteint un niveau historique de 2,7 milliards de dollars sur l’exercice 2020-2021, dopées par les NFT et les ventes aux enchères en ligne, selon le rapport annuel de la société Artprice, publié lundi. »
Pour Artmarket.com, toutes les options sont sur la table y compris l’autre hypothèse, à savoir un partenariat immédiat avec une plateforme majeure de NFT. Ce serait dans ce cas un gain de temps et donc un gain financier immédiat, par l’économie d’échelle avec pour conséquence du résultat net instantané qui viendrait s’ajouter à un bilan très nettement bénéficiaire et, de ce fait, serait un relais de croissance significatif.
La Marketplace NFT d’Artprice by Artmarket ® bénéficie notamment des DNS génériques « Artmarket.com, Artmarket.net, Artmarket.org » qui captent naturellement les recherches sur le Marché de l’Art, la langue anglaise étant la langue du Marché de l’Art. Sur la requête « art market », il apparaît que les 12 premiers résultats naturels non sponsorisés sur 3,33 milliards de résultats sur Google.com pointent sur les banques de données d’Artprice by Artmarket.
Enfin, il est essentiel de rappeler que la Marketplace d’Artprice by Artmarket bénéficiera avec Artprice et Cision® (PR Newswire), de la première agence de presse dédiée à l’information sur le Marché de l’Art : Artpress agency ®, qui est l’agence de presse, née en 1999 et détenue à 100 % par Artprice, Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art.
Depuis 120 ans, Cision PR Newswire a bâti peu à peu un réseau mondial de diffusion d’informations, reconnu par plus de 100 000 clients notoirement connus sur les marchés financiers. Cision est le Leader mondial du logiciel de RP & Influence et de la recherche média.
Avec sa base de données de 1,6 million de journalistes et de médias, Cision diffuse pour Artprice by Artmarket, sur l’ensemble des 5 continents sans aucune exception, une information qualitative, sur une cible de 450 millions de contacts les informations quotidiennes de ses agences de presse Artpress Agency et Artmarket Insight® dans la langue native de chaque pays.
L’accord est le résultat direct d’une longue relation qui s’étend sur deux décennies entre Artprice et Cision, deux leaders puissants sur leur marché respectif
Image : [https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/11/NFT-bill.jpg]
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Artmarket.com : Les ventes de plusieurs jeunes artistes foudroient les estimations, Artprice analyse ce phénomène
Le 14 octobre 2021, juste avant sa célèbre vente du soir d’art contemporain londonienne, Sotheby’s estimait le prix de la toile I’ll Have What She’s Having (2020) de Flora Yukhnovich entre 80 000$ et 110 000$. Mais l’oeuvre a finalement dépassé les 3 m$. Rien ne justifie ce résultat 30 fois supérieur aux estimations, sinon la concurrence entre les enchérisseurs bien sûr, enflammée par l’enthousiasme actuel du Marché de l’Art pour la jeune création. L’artiste de 31 ans a bien trop peu de résultats pour qu’Artprice et Sotheby’s expliquent la logique d’une telle adjudication.
Evolution du produit de ventes aux enchères des artistes de moins de 35 ans

Le Rapport Artprice 2021 du Marché de l’Art Contemporain, disponible en trois langues gratuitement

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice : « L’art est habituellement considéré comme un investissement peu volatile, dont la valeur évolue sur le long terme avec un changement progressif des goûts et des préférences. Mais depuis quelques années, cette théorie est ébranlée par le phénomène « red-chips » : les collectionneurs se passionnent pour les toutes dernières stars du Marché de l’Art, jusqu’à faire brusquement passer le prix de leurs œuvres de quelques milliers à plusieurs millions de dollars ».
Acheter avant qu’ils ne soient connus
Si vous ne connaissez pas encore Flora Yukhnovich, (1990) ou Jadé Fadojutimi (1993), c’est normal. C’est peut-être l’une des raisons d’ailleurs pour lesquelles leurs œuvres valent si chères aujourd’hui et dès que vous les connaîtrez ils seront un peu moins à la mode. En effet, l’une de leurs plus grandes qualités est de ne pas encore faire partie de la chasse gardée des plus prestigieuses galeries d’Art Contemporain. Les œuvres de ces jeunes artistes sont donc proposées dans les sessions de ventes de Phillips, Sotheby’s et Christie’s, sans véritables filets de sécurité.
Ainsi depuis qu’elle a été peinte en 2020 (il y a moins de deux ans), la toile I’ll Have What She’s Having a déjà été vendue par la galerie Parafin et revendue chez Sotheby’s à Londres. La plateforme Artsy présente la jeune peintre anglaise (31 ans) comme une artiste blue-chip, car Flora Yukhnovich est « représentée par des galeries reconnues internationalement ». Cependant, Artprice la considère plutôt comme une artiste red-chip, notion introduite par le journaliste du Art Newspaper Scott Reyburn en janvier 2021, pour désigner ces très jeunes artistes qui déboulent sur le devant de la scène internationale.
https://www.theartnewspaper.com/2021/01/08/blue-chip-artists-move-over-here-come-the-red-chips
Peintures super fraîches aux enchères
Avec la crise sanitaire, les Maisons de Ventes ont repoussé les limites du second marché auquel elles étaient historiquement dédiées. Aujourd’hui, les montants à six ou sept chiffres semblent parfois plus faciles à atteindre pour des œuvres super fraîches (créées moins de deux ans avant la revente) que pour des classiques modernes. Aussi, les grandes maisons prennent-elles de plus en plus souvent le parti de jouer le jeu du flipping, c’est-à-dire de la revente très rapide d’oeuvres tout juste sorties du studio d’un jeune artiste à la mode.
Cette pratique est régulièrement décriée par les galeries et les artistes eux-mêmes, aux yeux desquels des changements de prix trop rapides déstabilisent l’équilibre fragile entre l’offre et la demande. L’an dernier, le peintre d’origine ghanéenne Amoako Boafo confiait à Bloomberg ses craintes et ses réticences face à la revente hautement spéculative de ses toiles aux enchères.
Une nouvelle stratégie
Au S1 2021, les Maisons de Ventes ont franchi un cap supplémentaire en mettant en vente les œuvres NFT de Beeple, Larva Labs, PAK, Mad Dog Jones, etc. qui ne sont pour l’instant pas encore représentés par de grandes galeries. Les Maisons de Ventes collaborent alors directement avec ces artistes, mais aussi avec des plateformes spécialisées (à l’instar de Nifty Gateways ou Opensea) pour bénéficier de tous les supports technologiques. Toutefois, sans recul sur le marché des NFT, les estimations que les Maisons de Ventes fournissent sont parfois faites un peu au hasard. Résultat : le prix de départ de l’oeuvre 5000 days de Beeple avait été fixé à 100$, alors que son prix final a frôlé les 70 m$.
Bien sûr, ce n’est pas la première fois que les Maisons de Ventes s’invitent sur le premier marché. Elles y mettent régulièrement un pied lors des ventes caritatives par exemple, pour lesquelles les artistes donnent une ou deux œuvres inédites pour la bonne cause. Il y a aussi des cas particuliers, comme en 2008 lorsque Sotheby’s a organisé la vente Beautiful Inside My Head Forever avec le sulfureux Damien Hirst.
Grâce aux NFT, les Maisons de Ventes mettent en circulation des œuvres qui échappent aux galeries, mais pour lesquelles une immense demande existe déjà et a même été trop longtemps réfrénée. Cette révolution fait partie d’une stratégie plus générale des grandes Maisons de Ventes, qui cherchent à présenter des œuvres capables de séduire de nouveaux acheteurs et pour lesquelles les prix peuvent s’envoler. C’est sur la base de cette nouvelle dynamique que se développent actuellement les phénomènes NFT et red-chips.
Images :
[https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/11/image1-artists-under-35.png]
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Artmarket.com: as the health crisis recedes, the FIAC keeps one foot in the virtual world while promoting the Parisian marketplace, the world’s fourth most dynamic in Artprice’s latest report
This year, the FIAC (Paris’s International Contemporary Art Fair) is taking place in the Grand-Palais Ephémère at the opposite end of the Champs-de-Mars park from the Eiffel Tower and is hosting 170 of the world’s most prestigious galleries until Sunday 24 October. But Jennifer Flay, the fair’s Artistic Director, has not forgotten the crisis which forced the cancellation of the 2020 edition and called into question much of the way our society (and the art market) functions. She has therefore decided to maintain an online version.
Breakdown of fin e art auction turnover by medium in H1 2021

Robert Delaunay, La Tour Eiffel (1928)

According to thierry Ehrmann, CEO and Founder of Artmarket.com and of its Artprice department: “The FIAC online may not be the main event, but this version (which has 40 additional galleries) reflects a profound change in the art world, with the coexistence of two m arkets: the physical one with the FIAC (and its extra-mural shows/installations including a majestic sculpture by Alexander Calder in Place Vendôme) , and the other, fully online, that everyone can visit from their homes on fiac.viewingrooms.com”.
The art market is not just about NFTs…
For the last six months the art world has been super-excited about blockchain, a technology that made a sensational entry to the auction world in March 2021 with the sale of Beeple’s NFT Everydays for $69.4 million at Christie’s New York. This was followed by Pak’s NFTs at Sotheby’s and Mad Dog Jones’s NFTs at Phillips, all of which prompted massive media commentary and substantially rocked the notion of what artistic creation is and how it circulates in the early 21st century.
In its H1 2021 Art Market Report (https://www.artprice.com/artprice-reports/the-contemporary-art-market-report-2021) Artprice nevertheless point outs that public sales of NFTs only accounted for 2% of global fine art auction turnover, a niche market, divided between New York (90%) and Hong Kong (9%) and represented less than 100 lots in total during the first six months of 2021.
The traditional market for painting therefore remained 35 times larger than that of NFTs. However, in just six months of existence, the latter is already twice as prosperous as the market for photographic art works, which saw 10,000 lots sold, but only generated $66 million (half the NFT market over the same period).
Paris: cautious but not backseat
Like every autumn, the French capital hosts an extraordinary range of exhibitions, covering almost the entire history of art: from Botticelli at the Jaquemart-André Museum to Georg Baselitz and Georgia O’Keeffe at the Pompidou Center, through to the Morozov Collection at the Louis Vuitton Foundation and the newly-opened Pinault Collection at the Bourse de Commerce.
At the same time, Almine Rech and Galerie Perrotin are presenting the work of one of the most talented representatives of current French artistic creation, Claire Tabouret. Two other galleries, Lévy Gorvy and Nathalie Obadia, are showing work by the African-American artist Mickalene Thomas.
Top 3 living French artists by auction turnover (H1 2021)
1 – Pierre Soulages (1919): $30,680,000
2 – Claire Tabouret (1981): $3,011,000
3 – Robert Combas (1957): $2,820 000
Paris wants to be eclectic and forward-looking as reflected in the award this year of the Marcel Duchamp Prize (which Artprice is very proud to support) to Lili Reynaud Dewar. Meanwhile, the 4th International Digital Arts Biennial is currently taking place at Centquatre-Paris.
Still behind London
The Parisian art market hopes to benefit from Brexit and a number of prominent galleries like Lévy Gorvy and David Zwirner have opened Parisian outlets in anticipation of a certain isolation of the UK market and Larry Gagosian is inaugurating a third space in the French capital. But since the UK’s official exit from the EU, the balance between the two capitals has not changed that much.
During Frieze Week high-quality works by Basquiat, Richter and Hockney were successfully auctioned in London bringing a measure of reassurance to the local market. And the reappearance of Banksy’s Girl with Balloon, re-baptized Love is in the bin (the one that partially self-destructed in 2018 after selling for $1.4 million) generated a spectacular ‘event’, and a very spectacular result at $25.4 million.
In Paris, no lot offered by Christie’s or Sotheby’s is expected to reach such heights during the FIAC, despite the sale of some excellent Avant-Garde pieces by Magritte, Manet and Picabia, among others… So while the galleries show the best Contemporary creations at FIAC and in their respective outlets, the auction houses continue reminding us that Paris was long the artistic capital of the world…
Images: [https://imgpublic.artprice.com/img/wp/sites/11/2021/10/image1-artmarket-artprice_categories-NFT.jpg]
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Artmarket.com : La FIAC se dédouble avec une édition dans le monde virtuel post-Covid tout en faisant briller la place de marché parisienne, classée 4ème dans le rapport Artprice
La Foire Internationale d’Art Contemporain prend ses quartiers au bout du Champs-de-Mars, à quelques centaines de mètres de la Tour Eiffel : 170 galeries, parmi les plus prestigieuses au monde, sont rassemblées dans le Grand-Palais Ephémère jusqu’au dimanche 24 octobre. Mais la directrice artistique de la foire, Jennifer Flay, n’oublie pas la crise qui a forcé l’annulation de l’édition 2020 et remis en question une bonne partie du fonctionnement de notre société. Elle a donc décidé de maintenir une version online.
Répartition des ventes aux enchères par catégorie au S1 2021

Robert Delaunay, La Tour Eiffel (1928)

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice : « La FIAC online n’est peut-être pas l’événement principal, mais cette version (qui compte 40 galeries supplémentaires) atteste d’un profond changement dans le monde de l’art, avec la coexistence de deux Marchés : l’un physique représenté par la FIAC et la FIAC hors les murs (dont une majestueuse sculpture de Calder installée Place Vendôme) ; l’autre entièrement dématérialisé, que chacun peu visiter de chez lui sur fiac.viewingrooms.com ».
Parce qu’il n’y a pas que les NFT dans la vie
Depuis six mois, le monde de l’art se passionne pour la blockchain : cette technologie qui a fait une entrée fracassante aux enchères en mars 2021 avec la vente d’une œuvre numérique de Beeple, pour 69,4 m$ chez Christie’s New York. La vente de ce NFT, suivie par celle de Pak chez Sotheby’s et de Mad Dog Jones chez Phillips, a fait couler énormément d’encre, reposant la question de ce qu’est la création artistique et comment celle-ci circule au début du 21ème siècle.
Dans son rapport du Marché de l’Art au 1er semestre 2021, (https://fr.artprice.com/artprice-reports/le-marche-de-lart-contemporain-2021) Artprice tient tout de même à préciser que les ventes aux enchères publiques de NFT ne pèsent encore que 2 % du produit de ventes mondial. Un marché de niche, réparti entre New York (90%) et Hong Kong (9%), et qui compte moins d’une centaine de lots au total au S1 2021.
Le marché de la peinture traditionnelle reste donc 35 fois plus important que celui des NFT. Cependant, en six mois d’existence, ce dernier est déjà deux fois plus faste que le marché de la photographie, qui compte 10 000 lots vendus mais pour seulement 66 m$ (deux fois moins que le produit de ventes des NFT sur la même période).
Paris capitale prudente mais non pas attentiste
Comme chaque automne, la capitale française accueille la plus incroyable palette d’expositions, couvrant à peu près toute l’Histoire de l’Art : de Botticelli au Musée Jaquemart-André à Georg Baselitz et Georgia O’Keeffe au Centre Pompidou, en passant par la Collection Morozov à la Fondation Louis Vuitton et l’ouverture de la Collection Pinault à la Bourse de Commerce.
Au même moment, Almine Rech et la Galerie Perrotin présentent le travail d’une des plus talentueuses représentantes de la création artistique française actuelle, Claire Tabouret. Deux autres galeries, Lévy Gorvy et Nathalie Obadia présentent quant à elles le travail de l’artiste afro-américaine Mickalene Thomas.
Top 3 des artistes français vivants par produit de ventes aux enchères (S1 2021)
1 – Pierre Soulages (1919) : 30 680 000 $
2 – Claire Tabouret (1981) : 3 011 000 $
3 – Robert Combas (1957) : 2 820 000 $
Paris se veut éclectique et résolument tournée vers l’avenir, comme en témoigne le Prix Marcel Duchamp que la société Artprice est très fière de soutenir, décerné cette année à Lili Reynaud Dewar. Enfin, la 4ème Biennale Internationale d’Arts Numériques se déroule en ce moment même au Centquatre-Paris.
Toujours après Londres
La capitale française espère pouvoir tirer profit du Brexit sur le Marché de l’Art. De proéminents galeristes, à l’instar de Lévy Gorvy et de David Zwirner, ont ouvert un espace parisien pour anticiper l’isolement du marché britannique. Larry Gagosian inaugure quant à lui un 3ème espace dans la capitale française. Mais depuis la sortie officielle du Royaume-Uni de l’UE, la rivalité entre les deux capitales n’a pas tellement évolué.
Durant la Frieze Week, de très belles pièces signées Basquiat, Richter, Hockney ont été adjugées à Londres. De quoi rassurer en partie le marché local. L’événement a même été créé avec la réapparition de l’oeuvre Girl with Balloon de Banksy, celle-là même qui s’était autodétruite en 2018 après avoir été vendue 1,4 m$. Trois ans plus tard, l’oeuvre a changé de titre (Love is in the bin) mais aussi de prix : 25,4 m$.
A Paris, aucun lot proposé par Chirstie’s ou Sotheby’s ne devrait atteindre de tels sommets pendant la FIAC. Pourtant de très belles pièces de l’Avant-Garde seront mise en vente dans les salles parisiennes : Magritte, Manet, Picabia, … Ainsi pendant que les galeries montrent le meilleur de la création contemporaine à la FIAC et dans leurs espaces respectifs, les maisons de ventes continuent de rappeler que Paris a longtemps été la capitale artistique du monde.
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Artmarket.com: Can Frieze 2021 revive London’s weakened position on the international Contemporary art market? (see latest Artprice Report)
As the Hong Kong art market develops at a phenomenal pace, London is relatively less attractive than it was ten years ago. Christie’s, Sotheby’s and Phillips are now selling certain Western masterpieces – for example, by Basquiat, Still, Richter and Ghenie – in Asia rather than in London, reflecting a general shift of the global art market towards the East. Artprice looks more closely at this phenomenon in its latest Contemporary art market report.
Fine Art auction turnover: Hong Kong vs. London

Calmed Tensions (1937) by Wassily Kandinsky, $29.4 million at Sotheby’s London, the best UK auction result so far this year:

thierry Ehrmann , CEO and Founder of Artmarket.com and its Artprice department: “The U K (generating 17% of global auction turnover in H1 2021) has little to fear from France (7%), but is seeing Hong Kong (14%) attract a growing share of the high-end market , particularly works of Contemporary and Post-War Art which have greater soft power significance. I expect to see London make a concerted effort to retain its hold on this segment of the market”.
Market tipping to the East
The most important painting by Gerhard Richter to be auctioned over the past three years, Abstraktes Bild (649-2) (1987), was sold by Sotheby’s in Hong Kong for $28 million. Initially marketed in the late 1980s by Galerie Löhrl in Düsseldorf, the painting was resold in New York by Galerie Barbara Mathes. However, on 6 October 2020, Patrick Drahi’s auction firm (Sotheby’s) chose to include it in a prestigious evening sale in Hong Kong where it fetched $10 million more than its high estimate of $18 million.
The itinerary of this painting clearly reflects Richter’s success on the international art market, but it also reflects a fundamental reality of the global art mMarket: Hong Kong is fast becoming what New York was for European artists ten years ago: a formidable accelerator. The major auction houses are seeing Hong Kong as a new market for iconic pieces but also as a marketplace capable of rapidly boosting young emerging stars.
This year – for the first time ever – Christie’s and Sotheby’s offered a total of three major works by Jean-Michel Basquiat in Hong Kong where they either reached or substantially exceeded their estimates. Together, the three paintings generated over $100 million, a third of the artist’s total auction turnover so far this year. Hong Kong is therefore becoming the world’s second marketplace for this ‘devilish’ signature, after New York.
Two completely different structures
Politically, London and Hong Kong are both experiencing pivotal moments in their histories… but while the former has seen its art sales declining over the last five years, the latter has been experiencing exceptional growth in this domain.
True, the two marketplaces still have very different structures. The UK may be seeing its former colony catching up in terms of fine art auction turnover, but it retains a much more dynamic and diversified offer thanks to its long art market history. The British capital has been at the center of international art auctions since the 19th century, whereas Hong Kong has only been an important market hub since the beginning of this millennium …i.e. not more than 20 years.
This is more or less the global art market context as London’s Frieze Art Fair resumes this week, and there can be no doubt that many of its organizers and participants will be hoping to bring London back into the International art market limelight, offering a savvy mix of Old Master and Ultra-Contemporary artworks.
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Artmarket.com : La Frieze 2021 doit réaffirmer la place fragilisée de Londres dans le Marché de l’Art Contemporain, étudiée par le dernier Rapport Artprice
Face à la montée en puissance de Hong Kong, la capitale anglaise n’est plus aussi attractive qu’elle pouvait l’être il y a dix ans. Christie’s, Sotheby’s et Phillips choisissent aujourd’hui de mettre en vente certains chefs-d’oeuvre occidentaux en Asie plutôt qu’à Londres, alors qu’ils sont signés Basquiat, Still, Richter ou Ghenie. Cette situation reflète un pivotement du Marché de l’Art vers l’Est, qu’Artprice a étudié dans son tout dernier rapport.
Évolution du produit de ventes de Fine Art aux enchères : Hong Kong Vs. Londres

Tensions calmées (1937) de Wassily Kandinsky, enchère record à Londres en 2021 : 29,4 m$ chez Sotheby’s

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice : « Le Royaume-Uni (17 % du produit de ventes mondial aux enchères au S1 2021) n’a plus grand chose à craindre de la France (7%), mais voit Hong Kong (14%) attirer en revanche une part de plus en plus importante du Marché haut de gamme. Il s’agit de ne pas laisser filer vers l’Asie les plus belles pièces, en particulier en matière d’Art Contemporain et d’Après-Guerre, qui concentrent les plus grands enjeux culturels ».
Un marché qui pivote vers l’Est
La plus importante toile de Gerhard Richter proposée aux enchères au cours des trois dernières années, Abstraktes Bild (649-2) (1987), a été vendue par Sotheby’s à Hong Kong, pour 28 m$. Elle avait été initialement mise sur le marché à la fin des années 1980 par la Galerie Löhrl de Düsseldorf puis avait été remise en vente à New York par la galerie Barbara Mathes. Or, le 6 octobre 2020, c’est en Asie que la Maison de Ventes de Patrick Drahi a choisi de l’inclure dans une prestigieuse vente du soir. Estimée entre 15 m$ et 18 m$, Abstraktes Bild (649-2) (1987) y a dépassé de 10 m$ l’estimation haute.
Les pérégrinations de cette toile ne soulignent pas seulement le triomphe de Gerhard Richter à l’échelle internationale, mais aussi des jeux d’influences sur le Marché de l’Art. Hong Kong est en passe de devenir ce que New York était pour les artistes européens il y a 10 ans : un formidable accélérateur. Les grandes Maisons de Ventes y voient une marché friand de pièces iconiques et capables de faire grimper les enchères pour les jeunes stars.
Cette année, Christie’s et Sotheby’s ont pour la première fois mis en ventes à Hong Kong trois belles toiles de Jean-Michel Basquiat, où elles ont chacune atteint au minimum leurs estimations ou les complètement dépassées. Elles totalisent plus de 100 m$ à elles trois, soit un tiers du produit de ventes de l’artiste. Hong Kong devient ainsi la deuxième place de marché pour cette signature sulfureuse, après New York.
Deux structures profondément différents
Londres et Hong Kong vivent, toutes les deux, un moment charnière de leur histoire. Toutefois, la situation qui en résulte sur le Marché de l’Art est très différente : tandis que la première voit les ventes d’oeuvres se tasser depuis cinq ans, la deuxième connaît un essor exceptionnel dans ce domaine.
La structure des ces deux places de marché est toutefois encore sans commune mesure : si le Royaume-Uni voit son ancienne colonie la rattraper en termes de chiffre d’affaires, elle conserve une offre beaucoup plus dynamique et beaucoup mieux diversifiée, grâce à un marché profondément ancré dans son histoire. La capitale britannique se trouve en effet au centre des ventes internationale aux enchères d’oeuvres d’art depuis le 19ème siècle, alors que Hong Kong n’y brille que depuis le début de ce millénaire … donc depuis 20 ans essentiellement.
C’est dans ce contexte que la Frieze Art Fair revient cette semaine, avec l’ambition de faire à nouveau briller Londres sur le Marché de l’Art international, en tentant d’allier le meilleur de l’art ancien avec l’ultra contemporain.
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Artmarket.com: Artprice registers a record number of Fine Art auction transaction in H1 2021
Throughout the first half of 2021, still seriously inhibited by the health crisis, the Fine Art auction market secured the continued circulation of artworks. In fact, the auction majors managed to project a substantially more attractive image of their activities by a savvy mix of online sales, thematic and charitable sales and a daring collaboration with what would traditionally be called the ‘primary’ market. In addition, the auctioneers have at last opened their doors to dematerialized artworks and have been surfing on a wave of ultra-Contemporary art that has also caught the attention of the mainstream media.
Weekly evolution of global Fine Art auction turnover
Comparison between the last five years

thierry Ehrmann, CEO and f ounder of Artmarket.com and of its Artprice department:
“Artprice has registered the highest -ever number of successful Fine Art adjudications in the world , up +10.5% compared with H1 2019, which already set a historic record.
The absence of international fairs has clearly redirected some collectors to the auction houses (live or online), but the growth in the volume of transactions predates the health crisis and is basically just re-starting again . ”
High-end market vs. affordable market
After a chaotic year 2020, the art market’s auction agenda essentially returned to normal, notably with the resumption of New York’s spring sales. The sessions organized during week 19 (from 10 to 16 May 2021) totaled $1.5 billion in New York, equivalent to 21% of global art auction turnover in H1 2021.
However, our data for the H1 period suggests the art market is still relatively affordable: of the 302,100 lots auctioned around the world, 51% were acquired for less than $1,000, including buyers’ fees. And, unlike the ultra high-end market, these affordable works have been offered and sold very evenly throughout the year. Online sales now even ensure a low level of art market activity during the months of July and August, which are usually marked by a complete standstill.
Fine Art lots sold at auction filtered by price range (H1 2021)
Hong Kong bucks the trend…
The former British colony is now playing a vital role in the international strategies of the auction majors like Christie’s, Sotheby’s, Phillips and Bonhams, but also of China Guardian and Poly Auction, and together they have made Hong Kong the most luxurious art marketplace on the planet.
Only 3,200 Fine Art works were sold in Hong Kong in H1 2021, but they totaled nearly $1 billion ($962 million). In fact, the average price of an artwork in Hong Kong auctions during H1 2021 was $300,000! A price that sets Hong Kong apart from New York (average price $41,000), London ($32,000) and Paris ($10,600), and from the rest of China ($94,000).
In just six months, 18 lots fetched over $10 million in Hong Kong although none reached $50 million. Today, Hong Kong’s ultra high-end market is as intense as London’s, and nine times bigger than the Paris market (where two lots crossed the $10 million threshold in the same period). In mainland China, only eight lots sold for more than $10 million over the same period, but the $50 million threshold was once again breached (for an 18th century work by Xu Yang).
First “unlimited” sale
Sotheby’s sale entitled “The Fungible Collection” was a perfect example of the creativity shown by the major auction houses in H1 2021. The international auction company acquired by Patrick Drahi in 2019 worked directly with the anonymous artist Pak and the web platform Nifty Gateway (without going through a gallery) to sell an unlimited series of NFTs.
Core to the collection was the Open Editions, which allowed collectors to purchase as many fungible cubes as they wished during the sale period for fixed prices. The duration of the sale was three times 15 minutes, spread over three days, and the price rose each day. It resulted in the sale of 23,598 digital cubes: 19,737 cubes at $500 on Day 1; 3,268 cubes at $1,000 on Day 2 and 593 cubes at $1,500 on Day 3. In addition to these small works, there were two unique lots (The Switch for $1.44 million, and The Pixel for $1.35 million) as well as several ‘awards’. Some NFTs (potentially worth several million dollars) were awarded to the best buyers, as well as to anyone who managed to solve a puzzle invented by Pak.
This extraordinary session questioned not only the notion of a digital artwork and its ‘ownership’, but also the notion of value creation in the ‘Art Market 2.0′, in which the offer can be multiplied at a lower cost.
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Artmarket.com : Nombre d’enchères record enregistré par Artprice au S1 2021
Les Maisons de Ventes ont assuré la circulation des œuvres d’art pendant tout le premier semestre 2021, encore entravé par la crise sanitaire. Des ventes en ligne, des sessions thématiques et caritatives ainsi qu’un rapprochement audacieux avec le premier marché ont donné aux salles de ventes une image beaucoup plus séduisante.
Les commissaires-priseurs ont enfin ouvert leurs portes aux oeuvres dématérialisées et surfent sur une vague d’art contemporain, portée par l’actualité.
Evolution hebdomadaire du produit de ventes aux enchères de Fine Art dans le monde
Comparaison entre les cinq derniers exercices

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice :
« Artprice enregistre le plus grand nombre d’adjudications de l’histoire des enchères, en hausse de +10,5 % par rapport au S1 2019, qui avait déjà établi un record historique.
L’absence des foires internationales a certainement redirigé une partie des collectionneurs vers les salles de ventes (live ou en ligne), mais l’accélération des échanges est antérieure à la crise sanitaire et ne fait au fond que repartir de plus belle ».
Marché haut de gamme vs. Marché abordable
Après une année 2020 chaotique, l’agenda du Marché de l’Art retrouve un rythme normal en salles de ventes, en particulier grâce au retour des ventes new-yorkaises de printemps. Les sessions organisées pendant la semaine n°19 (du 10 au 16 mai 2021) ont totalisé 1,5 Mrd$ à New York, soit 21 % du produit de ventes mondial au S1 2021.
Le Marché de l’Art se montre pourtant toujours très abordable : parmi les 302 100 lots vendus aux enchères dans le monde, 51 % ont été achetés à moins de 1 000$, frais acheteurs inclus. Ces œuvres abordables sont, à la différence du Marché très haut-de-gamme, réparties de façon très homogène tout au long de l’année. Les ventes en ligne assurent désormais même une faible activité sur le Marché de l’Art durant les mois de juillet et d’août, habituellement marqués par la trêve estivale.
Distribution des lots Fine Art aux enchères par gamme de prix (S1 2021)

Hong Kong à contre-courant
L’ancienne colonie britannique joue un rôle essentiel dans la stratégie internationale des grandes Maisons de Ventes comme Christie’s, Sotheby’s, Phillips et Bonhams, mais aussi China Guardian et Poly Auction, qui en ont fait la place de marché la plus luxueuse de la planète.
Seulement 3 200 œuvres Fine Art ont été vendues à Hong Kong au S1 2021, alors qu’elles totalisent près d’un milliard de dollars (962 m$). Cette antinomie fait grimper le prix moyen d’une œuvre à 300 000$ ! Une situation exceptionnelle qui distingue Hong Kong de New York (prix moyen 41 000$), Londres (32 000$) ou Paris (10 600$) ainsi que du reste de la Chine (94 000$).
En six mois, 18 lots ont dépassé les 10m$ à Hong Kong, sans jamais toutefois atteindre les 50m$. Le Marché très haut de gamme y est aujourd’hui aussi intense qu’à Londres et neuf fois plus important qu’à Paris (où deux lots ont passé les 10m$). En Chine continentale, huit lots seulement ont été vendus plus de 10 m$ sur la même période, mais le seuil des 50 m$ y a été de nouveau dépassé, par une oeuvre de Xu Yang (XVIIIème).
Première vente illimitée
La session « The Fungible Collection » organisée par Sotheby’s démontre à elle seule toute la créativité des grandes Maisons de Ventes au S1 2021. La société acquise par Patrick Drahi en 2019 a directement collaboré avec l’artiste anonyme Pak et la plateforme Nifty Gateway (sans passer par une galerie) pour mettre en vente une série illimitée de NFT.
Au centre de cette vaste opération, l’Open Editions n’avait de limite que la durée de la vente : trois fois 15 minutes, réparties sur trois jours avec un prix progressif. Elle s’est soldée par la vente de 23 598 cubes digitaux : 19 737 unités à 500$ au J1 ; 3 268 unités à 1 000$ le J2 ; 593 unités à 1 500$ le J3. À ces petites œuvres s’ajoutent deux lots uniques (The Switch, 1,44 m$ et The Pixel, 1,35 m$) ainsi que plusieurs récompenses. Certains NFT (d’une valeur potentielle de plusieurs millions de dollars) ont en effet été offerts aux meilleurs acheteurs ainsi qu’à celui qui parviendrait à résoudre un puzzle inventé par Pak.
Cette session extraordinaire interroge non seulement la notion d’œuvre d’art digitale et son acquisition, mais aussi jusqu’à la notion de création de valeur sur le Marché de l’Art 2.0, où l’offre peut être démultipliée à moindre coût.
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Artprice présente le classement n°30 des Musées d’Art Contemporain en France selon les avis Google
Méthodologie : Artprice, leader mondial de l’information sur le marché de l’Art a souhaité mesurer l’empreinte sur Internet la plus fiable possible des musées d’Art Contemporain en France.
Artprice présente le classement n°30 des Musées d’Art Contemporain en France selon les avis Google

A ce titre, un consensus est né avec les statisticiens et économètres de groupe Serveur et d’Artprice sur le fait que seul l’écosystème Google (moteurs de recherche, Google Maps, Google Street View, Google Earth, Google Photos, et les autres applications Google) est légitimement le support Internet de référence, tant en termes de nombre d’utilisateurs que de visibilité, de fiabilité et en temps réel avec des mesures de sécurité que Google maîtrise pour éviter toute forme de fraude.
La méthodologie retenue est de prendre les Musées d’Art Contemporain français quel que soit le lieu, dès lors où ceux-ci ont recueilli un nombre d’avis supérieur à 1000 afin d’éviter toute manipulation ou manque de fiabilité sur un nombre d’avis trop faible.
Les avis sur Google ne sont pas impactés par des actions commerciales de Google ou de tiers. Ce cas est rare dans l’Internet et plus encore chez les GAFA.
Ce classement qui fait l’objet d’un constat mensuel par Huissier de Justice ne doit en aucun cas être considéré comme un quelconque classement qualitatif ; il restitue seulement une analyse factuelle et économétrique des grands flux d’information en provenance des banques de données de Google.
Notre siège social le Musée d’Art Contemporain l’Organe est n°2 en France, derrière le Centre Pompidou suivi par la Fondation Louis Vuitton et le Palais de Tokyo, selon les données Google et Flickr en nombre de visiteurs uniques virtuels en 360°4K et 8k (4,5 millions) relatif à l’Art Contemporain.
Toutes les marques et dénominations citées dans le présent classement, notamment le descriptif de l’écosystème Google, sont la propriété de leurs auteurs respectifs.
Méthodologie et constat d’Huissier de Justice (2 novembre 2021 SELARL Estelle PONS – Sarah MERGUI). Intégralité des constats mensuels :
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