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Artprice présente le classement n°25 des Musées d’Art Contemporain en France selon les avis Google
Méthodologie : Artprice, leader mondial de l’information sur le marché de l’Art a souhaité mesurer l’empreinte sur Internet la plus fiable possible des musées d’Art Contemporain en France.
Artprice présente le classement n°25 des Musées d’Art Contemporain en France selon les avis Google

A ce titre, un consensus est né avec les statisticiens et économètres de groupe Serveur et d’Artprice sur le fait que seul l’écosystème Google (moteurs de recherche, Google Maps, Google Street View, Google Earth, Google Photos, et les autres applications Google) est légitimement le support Internet de référence, tant en termes de nombre d’utilisateurs que de visibilité, de fiabilité et en temps réel avec des mesures de sécurité que Google maîtrise pour éviter toute forme de fraude.
La méthodologie retenue est de prendre les Musées d’Art Contemporain français quel que soit le lieu, dès lors où ceux-ci ont recueilli un nombre d’avis supérieur à 1000 afin d’éviter toute manipulation ou manque de fiabilité sur un nombre d’avis trop faible.
Les avis sur Google ne sont pas impactés par des actions commerciales de Google ou de tiers. Ce cas est rare dans l’Internet et plus encore chez les GAFA.
Ce classement qui fait l’objet d’un constat mensuel par Huissier de Justice ne doit en aucun cas être considéré comme un quelconque classement qualitatif ; il restitue seulement une analyse factuelle et économétrique des grands flux d’information en provenance des banques de données de Google.
Notre siège social le Musée d’Art Contemporain l’Organe est n°2 en France, derrière le Centre Pompidou suivi par la Fondation Louis Vuitton et le Palais de Tokyo, selon les données Google et Flickr en nombre de visiteurs uniques virtuels en 360°4K et 8k (4,5 millions) relatif à l’Art Contemporain.
Toutes les marques et dénominations citées dans le présent classement, notamment le descriptif de l’écosystème Google, sont la propriété de leurs auteurs respectifs.
Méthodologie et constat d’Huissier de Justice (2 juin 2021 SELARL Estelle PONS – Sarah MERGUI). Intégralité des constats mensuels :
Artmarket.com: A Q1 as strong as before the Covid crisis, but Artprice identifies five big changes
With $1.6 billion hammered around the world in fine art auctions during the 1st quarter of 2021, the art market may look like it has already returned to a “normal” rhythm. True, the Q1 total is exactly the average Q1 total over the ten Q1 periods preceding the health crisis (2010 – 2019). But this impression, based on auction turnover alone, hides a very different situation from that which prevailed two years ago.
Q1 fine art auction turnover since 2000

Fine art lots sold and unsold in Q1 auctions since 2000

thierry Ehrmann, President and Founder of Artmarket.com and its Artprice department, acknowledges that “it is still a little early to disentangle the effects of each of the powerful factors currently shaking the art market: Covid, Brexit, NFTs, etc. But their consequences are already visible”.
Artprice is therefore redoubling its efforts to ensure continuous monitoring of the market’s most sensitive indicators and keep a close eye on its overall health. Artprice wishes to share the conclusions of its econometrics department in order to contribute to the market’s transparency.
1. A record number of transactions
Despite the logistical complications linked to the health crisis, fine art auction transactions have never been as numerous as in Q1 2021. In total, 112,200 lots were sold around the world, i.e. 6% more than in Q1 2019 (105,600 lots sold). The digital transition undertaken by the major auction houses has enabled the emergence of an online market that is particularly suited to the middle market.
2. A declining unsold rate
An key indicator of the balance between supply and demand in the market, the unsold rate varied only very slightly over the period 2010-2019, fluctuating between 31% and 34%. In other words, the art market has become accustomed to seeing a third of the lots offered for auction fail to reach their reserve prices. But in Q1 2021, only one in four sales (25%) failed: demand is therefore increasing a little faster than supply!
3. A gradual geographic rebalancing
Q1 turnover figures are usually dominated by London, which hosts the first prestige sales of the year. In 2021 the agenda had to be postponed by several weeks but nevertheless went ahead. However, the dominance of the UK capital appears weakened: London accounted for 37% of global sales revenue in Q1 2021 versus 48% in Q1 2019. New York, which managed to generate 27% of the global turnover in the first three months of the year, appears to be the main beneficiary.
4. The NFT revolution
The sale of Beeple’s NFT Everydays marked the start of a possible revolution on the art market. The work was purchased for $69 million in a Christie’s online auction using the Ether cryptocurrency. Indeed, this new market appears to have become even more ‘intangible’ since Sotheby’s generated $16.8 million by selling “The Fungible Collection”, a digital work offered online in unlimited quantities and created by the anonymous and mysterious Pak.
5. Red-chips dethrone blue-chips
Since the end of 2020, art auctions around the world have hammered some surprising results for extremely recent works. Journalist Scott Reyburn (in The Art Newspaper) cites, as an example, Christie’s “20th Century: Hong Kong to New York” sale on 2 December 2020 and says he was surprised to see Dana Schutz’s canvas Elevator (2017) fetch $6.5 million and Andy Warhol’s “classic” Campbell’s Soup Can (1962) sell for just $6.1 million (especially as the latter reached $7.4 million in 2014). Reyburn concludes that the arrival of new collectors, in search of the latest novelties (“red-chips”) is overtaking the desire to possess “blue-chip” artworks.
www.theartnewspaper.com/analysis/the-rush-for-red-chip-art
Images:
Copyright 1987-2021 thierry Ehrmann www.artprice.com – www.artmarket.com
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Artmarket.com : Un T1 aussi performant qu’avant la crise du Covid, mais Artprice identifie cinq bouleversements
Avec 1,6 Mrd$ totalisés aux enchères pendant le 1er trimestre 2021, le Marché de l’Art donne l’impression d’avoir déjà retrouvé un rythme “normal”. En effet, ce résultat correspond très précisément à la moyenne enregistrée sur les dix exercices qui ont précédé la crise sanitaire (2010 – 2019). Mais cette impression, basée sur le seul produit des ventes, cache une situation bien différente de celle qui prévalait il y a deux ans.
Produit des ventes aux enchères de Fine Art au 1er trimestre, depuis 2000

Lots Fine Art vendus et invendus aux enchères au 1er trimestre, depuis 2000

thierry Ehrmann, Président et Fondateur d’Artmarket.com et de son département Artprice, reconnaît qu’ “il est encore un peu tôt pour démêler les effets de chacun des puissants facteurs qui bouleversent actuellement le Marché de l’Art : Covid, Brexit, NFT, etc. Mais leurs conséquences sont déjà visibles”.
Artprice redouble donc ses efforts pour assurer une observation, en continu, des indicateurs les plus sensibles et ainsi contrôler la santé du Marché de l’Art. La société tient à partager les conclusions de son département d’économétrie, afin de contribuer à sa transparence.
1. Un nombre de transactions record
Malgré les complications toujours liées à la crise sanitaire, les ventes aux enchères de Fine Art n’ont jamais été aussi nombreuses qu’au T1 2021. Au total, 112 200 lots ont été adjugés dans le monde, soit 6 % de plus qu’au T1 2019 (105 600 lots vendus). La transition numérique, opérée par les maisons de ventes, a permis d’activer un marché en ligne particulièrement adapté au milieu de gamme.
2. Un taux d’invendus en baisse
Indicateur essentiel de l’équilibre entre l’offre et la demande, le taux de lots invendus n’a varié que très faiblement sur la période 2010-2019, oscillant entre 31 % et 34 %. En d’autres termes, le Marché de l’Art s’est habitué à voir un tiers des lots proposés aux enchères ne pas atteindre leur prix de réserve. Mais au T1 2021, une vente sur quatre (25 %) seulement n’a pas abouti : la demande augmente donc un peu plus rapidement que l’offre !
3. Une lente redistribution géographique
Le T1 appartient habituellement à Londres, où les premières ventes de prestige sont organisées chaque année. Une tradition à laquelle l’exercice 2021 n’a pas dérogé, bien que l’agenda ait dû être décalé de plusieurs semaines. Toutefois, la suprématie de la capitale anglaise est fragilisée : Londres pèse 37 % du produit de ventes mondial au T1 2021, contre 48 % au T1 2019. Cette perte de puissance profite à New York, qui est parvenue à concentrer 27 % du Marché de l’Art en ce début d’année.
4. La révolution NFT
La vente de l’oeuvre Everydays de Beeple symbolise le début d’une possible révolution sur le Marché de l’Art. Cette NFT a été achetée 69 m$ dans une vente en ligne au moyen de la cryptomonnaie Ether. L’intangibilité de ce nouveau marché a gagné un cran de plus encore, avec la vente de “The Fungible Collection” chez Sotheby’s pour 16,8 m$. Il s’agit d’une œuvre digitale mise en vente en quantité illimitée, créée par l’artiste anonyme et mystérieux, Pak.
5. Les “red chips” détrônent les “blue chips”
Depuis la fin de l’année 2020, les ventes aux enchères sont marquées par des résultats surprenants pour des œuvres extrêmement récentes. Le journaliste du Art Newspaper Scott Reyburn prend comme exemple la vente “20th Century: Hong Kong to New York” organisée par Chirstie’s le 2 décembre 2020.Il s’étonne qu’au cours de cette vente le prix (6,5 m$) de la toile Elevator (2017) de Dana Schutz ait pu dépasser celui (6,1 m$) d’une “classique” Campbell’s Soup Can (1962) d’Andy Warhol (dont la valeur avait d’ailleurs atteint 7,4 m$ en 2014). Scott Reyburn voit dans ce phénomène l’arrivée de nouveaux collectionneurs, à la recherche des dernières nouveautés (les “red chips”) au détriment des “blue chips”.
www.theartnewspaper.com/analysis/the-rush-for-red-chip-art
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